• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 22 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Portrait du fascisme en caricature de la modernité

Patrick Lamarque Par Patrick Lamarque
9 mars 2020
dans Politique(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Mémorial du général Franco – El valle de los caidos

Nous aimerions oublier le fascisme et ses atrocités, mais il percole comme le ristretto dans les tasses. Avec le régime de Vichy, il peut clamer « je suis partout !». Il ne manque pas de résurgences et ne se limite pas aux hauts faits et méfaits d’une bande paranoïaque disparue dans les oubliettes de l’histoire ni à un assemblage idéologique justifiant l’injustifiable. Il est, avant tout, une esthétique par laquelle on entre en fascisme accompagné d’un lot d’impedimenta : médailles, bannières, armes de collection… Pour comprendre la genèse de cette mémoire toujours au travail, il faut lire le « manifeste du futurisme », publié dans le Figaro du 20 février 1909 : l’art moderne, comme la vie moderne, doit être tout de vitesse et de mouvement. Si nécessaire, la résolution des problèmes par la violence est un devoir. Quant à figurer la modernité, la ville est bien plus belle que le paysage naturel (Umberto Boccioni, in « la charge des lanceurs »). L’Homme nouveau qui en émergera sera musclé, beau et blanc. Pur. Donc non pollué par les races inférieures et à l’aise dans son lebensraum. Surhomme ou héros, il attirera à lui la gloire. En favorisant les émotions fortes, il effacera la dialectique de la raison pour imposer celle d’une foi nouvelle.

Érotisme et frustration
« Qui dit fascisme, dit avant tout beauté » proclamait Mussolini. Les films de Leni Riefenstahl, les images de Rodchenko, l’architecture d’Albert Speer l’illustrent bien, de même que les multiples symboles et mises en scène qui accompagnent le mouvement et/ou ses cousins autoritaires. Il n’est pas exagéré de soutenir que la modernité esthétique n’est pas seulement issue de Duchamp ou de Picasso mais aussi de Guiseppe Terragni, concepteur de la magnifique Casa del Fascio à Côme ou de Marcello Piacentini, l’auteur de l’EUR à Rome.
Il existe dans cet effort d’épuration, une paternité directe avec les tours de verre de la Défense, le design de plus en plus sophistiqué des produits ou encore avec l’art conceptuel qui propose d’égarer l’esprit dans un abîme. Quant au corps, le commerce l’a largement instrumentalisé dans sa nudité, féminine comme masculine, poussée au culte. Et merci à Hugh Hefner pour ses pin-up sculpturales. Certes, les canons de la beauté évoluent (de la rondeur à la maigreur, de la pâleur au métissage), mais c’est toujours la perfection d’une époque qui est recherchée à coup de séances de sport, de chirurgie plastique, voire de photoshop. À ce stade, qu’on l’accepte ou non, Barbie et Ken ne sont pas loin de représenter les meilleurs avatars contemporains de l’idéologie fasciste et les féministes ont raison d’avoir lancé la charge contre l’hyper-sexualisation et les frustrations qu’elle engendre au sein des deux sexes.

Sang et puissance
Sang et pureté forment les plus évidents marqueurs du fascisme (les fasces lictoriae symboles de l’autorité romaine) et de sa large famille de régimes autoritaires : hitlérisme, vichysme, franquisme, stalinisme, péronisme, rexisme belge, Oustachis yougoslaves, Croix fléchées hongroises, salazarisme portugais, Garde de fer roumaine, militarisme nippon… Le sang nettoie toutes les souillures. Certains des chefs emblématiques se valorisent par la force et la puissance de leur corps fascisé : Mussolini, Poutine… font « don de leur corps » à l’État en application d’une des règles fondatrices du totalitarisme fasciste où « tout (est) dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État » (Mussolini).
L’hystérisation de la beauté et du sang se manifeste, avec régularité, dans l’idée du sacrifice, généralement d’inspiration militariste. Là, c’est vers le 25 novembre 1970 qu’il faut se tourner afin de considérer le suicide de Mishima par seppuku, au quartier général du ministère de la Défense japonais. Comme le notait Marguerite Yourcenar (in, Mishima ou la vision du vide) « la mort de Mishima est une de ses œuvres les plus soigneusement préparées ». Aujourd’hui, les combattants du Djihad organisent, avec le même soin, un chemin voisin vers le paradis au sacrifice de leur vie. Ainsi, malheureusement, la beauté édifiante du sacrifice n’a pas fini de faire couler l’hémoglobine.

Modernité et classicisme
Souvenons nous un instant des architectures d’Albert Speer et des congrès nazis dans le Zeppelinfeld de Nuremberg entre 1933 et 1938. Aujourd’hui, plusieurs mouvements politiques et sociaux s’appuient, pour mobiliser leurs soutiens, sur le spectacle parfois poussé au paroxysme façon Klu Klux Klan. En termes de choix esthétique, le fascisme (tant italien qu’allemand ou portugais) hésite régulièrement entre deux options, l’une futuriste glorifiant vitesse et urbanité et l’autre, adepte des rigidités classiques. Cette bipolarité artistique travaille, encore aujourd’hui, l’art et l’expression artistique.
Voyez le tableau d’Obey Giant qui orne le bureau d’Emmanuel Macron, représenté dans la plupart de ses interventions télévisuelles. Les mots de Liberté-Égalité-Fraternité en capitales d’imprimerie, la verticalité rigoureuse des trois couleurs nationales et la Marianne cernée d’une couronne de sainteté laïque, font un chorus d’autorité, de puissance, et de verticalité du pouvoir. On ne peut manquer d’apercevoir ici la société autoritaire, placée sous le regard tantôt bienveillant, tantôt sévère du chef. Souvenez-vous de cette image de Saddam Hussein posant une main trop lourde pour être paternelle sur la tête d’un enfant américain crispé de tout son corps.

Bellicisme
Daesh, ses succursales et ses semblables partagent, par nature, l’embrigadement des hommes (et des femmes). Islam et fascisme se rejoignent dans l’assujettissement des corps et des esprits au service d’une expansion qui n’envisage qu’une voie, celle de la violence. Cette appétence au Lebensraum à horizon mondial, s’installe comme la règle de toutes les organisations. Publiques d’abord, comme celle à laquelle se prépare la Chine pour conquérir le monde. Privées ensuite, à la façon d’États hors sol, sur le modèle des GAFA ou des multinationales de générations antérieures. Ces dernières, d’ailleurs, ne répugnent pas à exercer leur tyrannie néo-fasciste, plus subtile sans doute, en vue du formatage des esprits et des comportements. Si vous n’êtes pas enthousiaste et souriant, si vous ne parlez pas la novlangue locale, si vous vous excluez des grand-messes entrepreneuriales à la façon des keynotes, si vous ne participez pas quotidiennement à la verticalité du pouvoir, vous vous excluez du groupe aussi radicalement que si vous refusez la prééminence du Parti ou la charia. Car, il existe une charia des GAFA. Et s’il faut protéger l’espace chèrement conquis, on n’hésite plus à ériger des grandes murailles, soi-disant protectrices, à la façon de ce mur qui scarifia l’Europe centrale, ou de celui que Trump s’acharne à vouloir dresser entre son Lebensraum et un Sud impur. Ah ! s’il avait lu Le désert des Tartares…

Unanimisme du troupeau
Ce dont les chefs de toutes les tyrannies rêvent, c’est d’incarner la figure du pasteur conduisant son troupeau, bêlant en chœur, vers le futur qu’ils ont décidé pour lui. L’unanimisme ainsi imposé bannit l’humanisme hérité du siècle des Lumières.
C’est Rousseau autant que Montaigne qu’on assassine à la faveur de l’érosion du débat démocratique et l’effritement du contrat social. Parallèlement, ils poussent en avant Hobbes et la vertu sagittale du commandement. Cette « conduite des affaires » rigidifie la société et porte atteinte aux corps intermédiaires, laissant les quelques hyper-riches et les dirigeants dans un face à face avec les masses déclassées.

Stasis
Dans la Grèce Antique, la stasis désignait une crise politique, morale et sociale résultant d’un conflit interne à la cité-état (la polis), entre les riches et les moins riches comme à Athènes entre les Eupatrides (les bien- nés) et les Kakoï (les mauvais, les bêtes, les laids, les honteux). Aujourd’hui encore, il ne fait pas bon être Kakoï que vous surviviez grâce au RSA, que vous espériez franchir la Méditerranée dans le sens Nord-Sud, ou encore si le malheur vous a fait latino, que vous envisagiez de goûter au rêve américain. Car, le discours d’exclusion a pris un tour naturel et sans honte.
Si les lieux de la bataille se déplacent de l’agora aux ronds-points, les enjeux demeurent : comment les sans-grades peuvent-ils exister et l’altérité être respectée ? Jacques Rancière le montre bien : c’est dans l’échange et le partage que réside la valeur fondatrice de nos sociétés, plus que dans l’agir lui-même. La croisée des chemins où nous nous trouvons nous tiraille entre efficience et humanité. Or, la doxa dominante relève de plus en plus radicalement d’un économisme exclusif de toute autre approche. Il n’est alors pas surprenant que la grande masse de l’opinion finisse par ne plus supporter cette camisole sociale. Somme toute, le fascisme s’analyse comme une caricature de la modernité et de sa foi propre, laquelle n’a pas encore fini de sévir.

Patrick Lamarque

Tags : Albert SpeerBolidismedoxa économisteesthétiquefascismefuturismeGAFAHugh HefnerJacques RancièreKakoïMarcel DuchampMarcello PiacentiniMussoliniPatrick Lamarque
Article précédent

Maïté, reviens !!… ou la cuisine des mousquetaires cernée par les vegans

Article suivant

Paroles libres

Patrick Lamarque

Patrick Lamarque

Patrick Lamarque a beau avoir eu la chance de suivre de hautes études, c’est dans les marges et les détours qu'il a appris la vie. De voyages et découvertes de l’art contemporain, du design, de la photographie et du graphisme. De la philosophie, surtout. Et de l’histoire aussi. Un cursus butiné en promenades buissonnières.

Article suivant
Michaël Lévy Bencheton

Paroles libres

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?