• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 14 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Les intérieurs au cinéma – 1/4

Un petit air de série B

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
13 avril 2025
dans Art(s), Cinéma(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Black Sabbath Mario Bava © Galatea Film Warner Bros. 1963
Black Sabbath Mario Bava © Galatea Film Warner Bros. 1963

Un petit air de série B

Visiter un espace, voyager dans le temps

L’intérieur au cinéma : c’est d’abord le décor, bien sûr, mais aussi le travail de la lumière, le cadrage, les mouvements de caméra, la mise en scène qui choisit de placer ici ou là tel détail, tel tableau accroché au mur, de filmer telle rampe d’escalier spiralant autour d’un vestibule, de laisser au hasard telle chaise esseulée dans un espace, de laisser flotter une matière de papier-peint au fond du regard. Ou c’est encore la couleur extravagante des films des années soixante, qui fit la gloire des adaptations des nouvelles d’Edgar Poe par Roger Corman, nous offrant au passage quelques chefs d’œuvre mémorables en espace clos, tels que “La chute de la maison Usher” (1960) ou “Le corbeau” (1963), ou encore celle du “giallo” italien, un genre “haut en couleur” s’il en est (“giallo” signifie “jaune” en italien). C’est ainsi que « Les trois visages de la peur » (1963), de Mario Bava, un film presque entièrement tourné en intérieur, nous fait suivre à la trace des jeunes femmes terrifiées par une menace protéiforme et dotée d’ubiquité dans des appartements aux multiples éclairages, parfois même zébrés d’éclairs bleus et réguliers lancés par un orage aux fenêtres. Dans le même temps, les studios Hammer connaissent leur âge d’or. Comme chez Bava, les couleurs vives et l’architecture gothique des décors jouent là un rôle à part entière. Elles participent beaucoup du plaisir un peu nostalgique que l’on a à revoir « La Gorgone » (Terence Fisher, 1964), même si l’épouvante n’est plus la même : une poésie s’en dégage, indissociable d’une décennie qui a si vite vieilli, renforçant à leur insu le charme suranné mais toujours flamboyant de ces œuvres. Plus tard, Dario Argento reprend l’héritage en conférant aux couleurs (notamment, le bleu et le rouge, dans « Suspiria » ou « Inferno ») une épaisseur autonome, détachée de la narration, une qualité onirique et abstraite qui fait la marque de son esthétique stylisée, baroque et violente.

De façon générale, les intérieurs au cinéma recèlent sans doute le secret caché des choses qui vieillissent, plus ou moins bien. Plus encore que le panorama d’une ville, d’un quartier, d’une rue dont on se plairait à relever les évolutions en comparant son aspect dans tel ou tel film avec celui d’aujourd’hui, en remarquant des magasins d’un autre âge, des marques de vêtements disparues à tout jamais, des flippers rutilants dans les cafés de la France des années quatre-vingt, des sex-shops qui foisonnent autour du Times Square des années soixante-dix à New York, ou les “drive-in” de l’Amérique d’Eisenhower, c’est le plateau d’intérieur, filmé en studio, qui donne une couleur temporelle aux scènes de films, même, et peut-être surtout, quand ce sont les films les plus anecdotiques, car les plus représentatifs de leur temps. D’ailleurs, le seul souvenir que je garde de certains films oubliés, obscurs, de certains épisodes de séries, de leurs scènes relativement statiques dans des décors insignifiants, ce sont précisément… ces décors. Tout simplement parce qu’ils contiennent un effet de réel, du fait qu’ils s’obstinent là dans leur insignifiance comme une trace involontaire de la présence des choses au-delà d’une intrigue souvent factice ou du jeu médiocre des acteurs. Une porte, une commode, un téléphone, une penderie à l’angle, un miroir, une cuisine… : nous savons que ces objets n’ont pas d’existence en-dehors du plateau de tournage, et pourtant, ils semblent dotés d’une vie propre. Ils témoignent d’un monde.

Les intérieurs chez James Bond : loin du pittoresque

De la même façon, chaque film de la saga James Bond de l’époque de Sean Connery ou Roger Moore parvient à nous replonger dans un monde ancien, autant que tout chef d’œuvre. Les plateaux de Ken Adams, qui doivent beaucoup à Kubrick (celui-ci donna même des conseils en sous-main, durant le tournage de “L’espion qui m’aimait”), pourraient servir de maquette à l’ensemble du cinéma postérieur à 1945. Forteresse amphibie, repère de « méchant » bondien paré à toute attaque, salle de conférence internationale dans un style postdamien… : tout y est iconique et immense, tant dans les dimensions que par l’éclairage, qui semble tomber de nulle part sur le coeur souterrain de la citadelle volcanique de Bloefeld dans “On ne vit que deux fois” (Lewis Gilbert, 1967). Et pourtant…

Et pourtant, ce sont les intérieurs plus ordinaires, moins spectaculaires, qui donnent aux anciens épisodes de James Bond leur grain particulier, leur teinte exotique. On sent bien que le Japon de carte postale d'”On ne vit que deux fois” n’est qu’un fantasme hollywoodien plaqué sur un pays en pleine effervescence économique et culturelle. Il semble au fond que James Bond déplace partout avec lui ses coordonnées spatio-temporelles : le Japon est le Japon vu par un espion anglais, il se résume à une scène de combat de sumo ou à quelques rencontres avec de belles espionnes du Levant. Paravents et murs coulissants, voilà tout le décor dont il fut besoin pour figurer un Japon d’opérette. En fait, on n’y est pas vraiment plus dépaysé que lorsqu’on se trouve dans la salle d’audience du MI6 à Londres, ou mieux : dans le bureau de M., dont le mobilier fleure bon le studio Pinewood (où furent plantés les décors rocambolesques et exotiques de Ken Adams). Ce mobilier fort britannique change à peine d’un film à l’autre de la série. Il sert invariablement à poser le personnage de James Bond et celui de M, en pitreries réciproques. L’introduction du nouvel avatar de James Bond en la personne de Roger Moore, dans le “Vivre et laisser mourir” de 1973, est aussi une belle introduction à l’appartement de l’espion, jusque-là jamais vu, et… aux années soixante-dix : là aussi, un mobilier en bois, plutôt dépouillé, fonctionnel ; la prise de vue privilégie toujours un cadre dans le cadre, deux montants, deux pans de mur symétriques ou le dénivelé d’une marche, signifiant la transition entre deux pièces, la chambre en arrière-plan et le séjour au premier, le tout sans séparation ; la cuisine, à la fois moderne pour l’époque et légèrement « vieux jeu », est du même type. Un décor rassurant, presque, à l’image du nouveau James Bond, plus décontracté, plus désinvolte. Le format de l’image est différent : 1/85. On est loin du panoramique “larger than life” d’On ne vit que deux fois”. On y trouve aussi plus d’intérieurs, moins de scènes à grand spectacle en extérieur. On est à échelle plus humaine.

La fausse évidence du quotidien

Film d’épouvante, film d’aventure, film d’espionnage : c’est là précisément où l’on s’attend le plus aux paysages icôniques, aux plans larges filmés à l’extérieur, que le décor d’intérieur acquiert peut-être son plus grand charme. L’exotisme des intérieurs n’est certes pas évident : il est temporel plus que spatial et géographique, aussi bien dans l’univers de James Bond que chez les réalisateurs qui, de près ou de loin, ont côtoyé cet univers, comme Hitchcock ou bien Kubrick. Ces derniers, cependant, ont su faire du décor un personnage à part entière et le doter d’une inquiétante proximité. Peut-être justement parce que les objets, les espaces qui nous entourent, qui nous suivent à la trace, parfois, ou semblent nous contempler de loin, avec leur fausse quiétude, leur bonhomie ancrée dans l’ordinaire, sont porteurs d’une menace sourde, d’un possible décalage avec la réalité.

Suite la semaine prochaine – Les intérieurs au cinéma 2/4 :

Les intérieurs lynchiens : entre l’amnésie et la nostalgie

Tags : Alfred Hitchcockcinémacritique cinématographiqueDario ArgentoEdgar PoeJames BondKen AdamsMario BavaMiguel CoelhoRoger CormanStanley KubrickTerence Fisher
Article précédent

L’impartagée

Article suivant

Palestine Je te chéris

Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

Article suivant
Palestine Je te chéris Salah Al Hamdani Editions Al Manar 2025

Palestine Je te chéris

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?