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La mort du Héros

Toute ressemblance avec la vie de bureau serait purement fortuite

Abdel Chougui Par Abdel Chougui
4 mai 2025
dans Littéraire(s)
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©photo Eric Desordre –

– Hagen ? Hagen ! Tu m’entends ? Hagen… Alors, as-tu réussis ? Hagen, relève-toi !

Cette voix qui me tire de l’inconscience, c’est la voix de Gunther, mon Roi. J’ouvre les yeux, il est au-dessus de moi, ses bottes royales entourant mon buste, le corps penché en avant, une main tenant sa cape et le manche de son épée, l’autre me secouant vigoureusement la tête. Il semble rassuré en me voyant ouvrir les yeux, mais une inquiétude subsiste sur son visage. Je dois être pas mal abîmé.

– Alors, as-tu réussi ? Où est-il ? Je ne vois pas son cadavre. Et toi, comment te sens-tu ? Il ne t’a pas raté ! ajoute-t-il en plissant les yeux de compassion et en souriant nerveusement.

Je me redresse en prenant garde de ne pas le bousculer. Une vive douleur me saisit alors à l’épaule droite, je dois avoir la clavicule brisée. J’essaie d’ouvrir la bouche pour parler à mon Roi, mais je sens qu’elle est tuméfiée et engourdie. J’ai un goût prononcé de sang sur la langue, confirmé par les traces sur ma tunique. Mes idées reprennent leur place.

– Il a dû partir par-là. Regardez votre majesté, ces traces sur la neige. Il a pris cette direction.

– Mais as-tu réussi ?

– Oui, ça j’en suis certain. Il n’ira pas bien loin. Voyez sur les empreintes, il perd du sang. Suivons-le, nous finirons bien par le rattraper.

Je regarde autour de moi et cherche mon arme. Je ne trouve qu’un morceau de ma lance, l’autre moitié étant restée fichée dans le dos de Siegfried. Je ramasse ce bout de manche, avant de le jeter au sol en pestant. Gunther me tend sa dague, une arme au manche serti de pierres précieuses et à la lame faite d’un métal pur et effilé.

– Tiens, me dit-il, ramène-moi sa dépouille, mais ne l’abîme pas trop. Nous devrons certainement l’exposer à Worms. Sois prudent, car même blessé, il reste extrêmement dangereux et tu as l’air toi-même sérieusement atteint. Siegfried doit me payer l’humiliation qu’il m’a fait subir et il la paiera de sa vie. Je retourne au camp. Qu’Odin soit avec toi Hagen.

Je saisis la précieuse dague et le regarde retourner vers le camp, comprenant que je devrai finir seul ce que j’ai commencé. Je me mets alors à suivre les traces de Siegfried. Ses pas semblent être encore vigoureux car l’espace entre ses foulées reste net et important. Son sang a coulé chaud et abondant sur la neige, la creusant telle de la lave en fusion, en un magma rouge brun. Le sang de cet homme n’est définitivement pas comme le nôtre. Je me remémore les derniers évènements comme pour légitimer le meurtre que je vais commettre, ou plus exactement, finir de commettre.

Siegfried était un soi-disant valeureux guerrier, dont la principale qualité était de savoir allier une force physique banale à une ruse et un art du combat hors pair. Il s’était rendu célèbre dans toutes les terres et tous les royaumes environnants en terrassant d’un seul coup d’épée le Dragon Fafnir, gardien du trésor maudit. Cette épée, Balmung, forgée par Mime lui-même, ne pouvait que lui donner la victoire. N’importe quel homme sur cette Terre, avec un peu de malice et un bon maître d’arme aurait pu réussir cette piètre prouesse. Ce pseudo exploit revint à Siegfried, comme il aurait pu revenir à n’importe lequel d’entre nous. Avec Balmung, tout devient possible. Il me faudra d’ailleurs mettre la main sur cette épée quand j’en aurai fini avec lui.

Siegfried était aussi connu pour un autre exploit : celui d’avoir terrassé Alberick le nain, frère de Mime et de Fafnir (lui-même devenu dragon). Il eut au préalable la fourberie de le détrousser de sa cape magique qui prodiguait l’invisibilité à son détenteur. Quel guerrier pourrait se targuer d’une victoire obtenue contre un adversaire de petite taille, incapable de voir son ennemi le frapper ?

Je m’arrête un instant et me penche sur les traces de sang figées sur la neige. Je remarque que l’espace entre ses pas se réduit. Il a dû perdre de la vigueur. Le sang qu’il laisse est autant de vie qu’il n’aura plus dans les veines et qui ne protègera plus son corps du froid glacial. Je trempe mes doigts dans cette bouillie de neige rougie. Je l’observe et la renifle. Elle est assez tiède, il ne doit pas être bien loin. Je reprends un peu de cette bouillie et la regarde avec attention. Qu’a-t-il de divin ce sang ? Il s’écoule comme n’importe quel sang. Je relève la tête, le vent s’est levé, soufflant un givre tranchant, comme une poussière de diamant. Je ne vois plus qu’à deux mètres devant moi, pas plus. Les traces de pas semblent se diriger vers les ruines de la muraille d’Asgard. Pourquoi se dirige-t-il dans cette direction ? Pense-t-il pouvoir s’abriter du froid au milieu des ruines ? Ou est-ce que ces mêmes ruines pourraient lui offrir un lieu propice à un ultime duel contre moi ? Sait-il que je le traque encore ?

Siegfried, son épée et sa cape magique terrorisaient tous ses ennemis. Et ils étaient nombreux depuis qu’il avait acquis le trésor maudit de Fafnir. L’attrait de la richesse.

Lorsque le Roi s’était adressé à moi pour tuer Siegfried, j’en avais été honoré. La raison de leur différend m’importait peu. Qu’il ait pensé à moi pour affronter un héros légendaire était déjà une reconnaissance en soi. Que de chemin parcouru pour parvenir à cette victoire, qu’il me fallait maintenant conclure.

Je savais par l’enseignement reçu de mon père, que si je voulais vaincre mon ennemi, il me fallait réussir à en devenir très proche. J’avais donc été présenté à Siegfried lors d’une fausse annonce de bataille contre le roi de Saxe, bataille pour laquelle nous lui avions demandé son soutien. Nous fîmes alors campagne ensemble, une campagne montée de toute pièce par Gunther, durant laquelle j’avais pris le temps de connaître mon futur adversaire, de l’observer, de l’apprivoiser, afin de bien comprendre quel genre d’homme ou de demi-dieu il était. Il commit l’erreur de me donner son amitié et sa confiance. Je lui racontais des exploits inventés, lui me contait les siens, notamment la manière dont il avait vaincu Fafnir, le terrible Dragon.

Il s’était dissimulé dans un trou qu’il avait creusé, sur un passage régulièrement emprunté par la bête. Odin lui-même lui aurait conseillé de creuser plusieurs cavités, afin d’y recueillir le sang du dragon, une fois son cuir perforé. C’est ce qu’il fit. Ce barbare sanguinaire s’était ensuite baigné puis abreuvé du sang de Fafnir. C’est ainsi qu’il obtint son invulnérabilité et le pouvoir de comprendre les oiseaux. Ce sang lui conféra une peau indestructible, résistant aux meilleures épées, aux pointes des plus belles flèches, aux carreaux les plus affutés tirés des plus puissantes arbalètes. C’était comme s’il portait une armure à même le corps. Une peau transformée, devenue le meilleur des cuirs d’Asgard. Un cuir de dragon. Mais quelle cruauté pour obtenir un tel pouvoir… se baigner dans le sang du cadavre de son adversaire. Jamais aucun guerrier divin d’Asgard ne se serait abaissé à une telle barbarie.

Mais tous les héros, aussi divins soient-ils, gardent un point faible… Afin d’atteindre celui de Siegfried, j’eus l’habileté de me rapprocher de Brünnhilde, sa femme, qui, toute valkyrie qu’elle fut, n’avait rien décelé de mes intentions. Me pensant être un proche de son héros, elle me confia la mission de le protéger. Elle me révéla alors que, lorsque Siegfried s’était baigné dans le sang du dragon, une feuille de tilleul était venue se poser sur son dos, entre ses omoplates, juste à l’endroit de son cœur. Cette partie de son corps n’avait pas été en contact avec le sang du dragon et représentait son seul point faible.

Gunther et moi avions tout prévu. Nous oubliâmes délibérément de prendre les rations d’eau pour le camp. Il nous fallait trouver un prétexte pour que Siegfried nous présenta son dos. Quoi de mieux que de le faire se pencher au-dessus d’une rivière ? Une fois le camp installé, nous annonçâmes que le roi de Saxe avait finalement renoncé à son offensive. Nous avons alors proposé à Siegfried une partie de chasse, durant laquelle il tua sous mes yeux un ours à mains nues. Je dois bien admettre que cette fois-ci, j’avais été très impressionné. Ce combat lui donna soif. Je lui proposai de m’accompagner à la rivière pour nous désaltérer. Je m’emparai alors de ma lance et nous nous enfonçâmes dans les bois en direction du cours d’eau.

Lorsque nous fûmes tout près de la rive, mes mains se mirent à trembler et je sentis mon cœur battre dans ma poitrine. Je resserrai mon emprise sur ma lance, comme pour me rassurer. Lui ne remarqua rien. Il s’approcha de l’eau, mit un genou à terre, posa son bouclier au sol et se pencha au-dessus sur la rivière. Il m’offrit ainsi une cible immanquable. Son dos était là, juste devant moi, à portée de lance. L’aboutissement de tous ces jours de stratagème me tendait enfin les bras. Je devais faire vite et ne pas le rater, au risque qu’il me tue. Je brandis alors ma lance en la tenant à deux mains, puis d’un coup violent je l’enfonçai dans le dos de Siegfried, à l’emplacement de son cœur. A ma grande surprise, il se redressa en retenant un hurlement. Je tenais fermement mon arme comme on s’accroche à la vie. Puis, d’un mouvement violent du bassin, il se retourna, brisant ma lance en deux. Il avait les yeux injectés de sang, mais aucun cri ne sortait de sa bouche. Il me fixa de son regard perçant en ramassant son bouclier. Puis il m’en asséna un puissant coup d’un revers de bras. Sous la violence du choc, je décollai du sol et roulai sur plusieurs mètres avant de perdre connaissance, puis d’être réveillé par Gunther.

Les traces sur la neige sont maintenant celles d’un homme qui rampe dans son sang. Je lève la tête en abritant mes yeux du blizzard. Je distingue enfin sa silhouette. Il est assis, adossé au tronc d’un arbre gigantesque. La nuit est en train de tomber. Il a les yeux levés vers le ciel. Il fixe l’étoile polaire, protectrice des guerriers divins d’Asgard. D’ici, je ne parviens pas à savoir s’il est mort ou pas. Par précaution, je sors la dague de Gunther et m’approche lentement de lui. Je sais qu’il peut être dangereux, même grièvement blessé. Je suis maintenant à un mètre de lui. Il ne bouge toujours pas, ses yeux sont grands ouverts. Je reste là à l’observer, guettant la moindre respiration, le moindre soubresaut, le moindre geste. Mais rien. Une pulsion irrationnelle et instinctive me pousse à vouloir lui enfoncer la dague dans la gorge, juste au cas où. Etant moi-même blessé, il faut que j’en finisse. Je ne serais pas en mesure de le combattre s’il reprenait ses esprits. Je m’approche et me place juste en face de lui, entre ses yeux et l’étoile polaire. C’est alors que d’un geste vif, il m’agrippe par le col et me tire à lui. Je suis tellement surpris que je lâche la dague. Je ressens alors toutes les douleurs de mon corps se réveiller : mon épaule, ma bouche, ma peau brûlée par le vent glacial. Je me sens impuissant, terrifié, tel un animal ne pouvant fuir une mort certaine. Ses yeux fixes transpercent les miens, ses mains continuent de me tirer vers lui. Je suis maintenant si proche de son visage que je sens la chaleur de son souffle.

– Dis-moi, traitre d’Hagen, sais-tu pourquoi je t’ai épargné, lorsque tu étais inconscient et à ma merci ?

Je suis terrorisé, mais très surpris qu’il me pose cette question. Je n’y avais pas pensé, mais c’est vrai qu’il ne m’a pas achevé tout à l’heure, alors qu’il aurait pu le faire. Pourquoi ?

– Réponds-moi vermine !

Je reste paralysé d’effroi, incapable de répondre. A cet instant, toutes mes pensées sont submergées par la seule crainte de mourir. Ses yeux ne cessent de me fixer.

– Hagen, sache que si je ne t’ai pas tué tout à l’heure, c’est qu’avant de mourir, je voulais voir la terreur que je t’inspire, la lire dans tes yeux comme je la lis maintenant. Tu n’es qu’un faible Hagen… Va retrouver ton maître, chien !

Sur ces mots, il me projette d’un geste ferme, sollicitant ses dernières forces. Je perds l’équilibre et m’effondre dans la neige. Je me redresse aussitôt, saisi par la panique. Je cherche la dague autour de moi, je la ramasse et me retourne vers lui. Il ne bouge pas. Mais cette fois je reste sur mes gardes, la lame effilée dirigée vers lui. Après de longues minutes, certain de n’avoir perçu aucune respiration ni aucun geste, je me penche sur lui. Il ne respire plus. Siegfried est mort. J’ai réussi. Moi, le grand Hagen, j’ai vaincu et tué Siegfried, le guerrier divin.

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Abdel Chougui

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Abdel Chougui est né en 1977 à Orléans. Ingénieur en microbiologie, il a toujours été féru de littérature en général et d'écriture en particulier, depuis plus de 25 ans : nouvelles, théâtre, scénarii de court-métrages, ou poésies. En 2006, il publie son premier recueil Camille et Autres Nouvelles aux éditions Bénévent (France Europe Editions). En 2022, il remporte le Grand Prix du Jury au concours national de nouvelles des écrivains en Provence.

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