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Blake Edwards

La fête et le désenchantement

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
1 septembre 2022
dans Cinéma(s), Art(s)
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The Party – film de Blake Edwards – United Artists, 1968 –

La fête sans fin

Aucun cinéaste ne sait filmer une fête comme Blake Edwards. Personne n’a su traduire comme lui l’esprit de la fête, sa folie douce, ses rythmes contrastés, son tempo. Un tempo en deux temps, comprenant une phase ascensionnelle plus ou moins lente suivie d’une vertigineuse descente teintée de mélancolie, comme dans Breakfast at Tiffany’s (1961), ou ponctuée de catastrophes en chaîne comme dans The Party (1968), avec, entre ces deux moments, un point d’équilibre, le point culminant de la soirée, le moment précis où le délire prend forme.

La fête est omniprésente chez Blake Edwards. Tantôt simple intermède musical, comme dans La Panthère rose (1963), quand les convives font la chenille au rythme endiablé de « Meglio stasera », chantée par Fran Jeffries ; une scène confirmant par ailleurs la merveilleuse efficacité du tandem que formaient Henri Mancini et Blake Edwards ; un trio, si l’on ajoute Peter Sellers. Tantôt illustration satirique d’un milieu social, comme les scènes « d’orgies » alcoolisées de S.O.B. (1981). Tantôt mise en branle d’un véritable film-catastrophe comme dans The Party. On pourrait dire, au fond, que tous les films de Blake Edwards sont une seule et même fête continuée d’un film à l’autre, une fête qui se prolonge indéfiniment pour se teinter à chaque fois d’une nuance différente.

L’engrenage implacable de la fête

C’est que la fête est à l’image du cinéma. Et plus précisément, du cinéma comique. En effet, toute fête s’articule en séquences que dirige un mécanisme inaperçu mais toujours prêt à jaillir en plein jour, comme dans un gag. Parfois, sa durée s’étend sur la totalité du film : cas exemplaire, The Party. Mais même alors, elle se différencie en épisodes qui montrent tout particulièrement son déterminisme imprévisible, sa cruauté, sa rigueur potentiellement cataclysmique : ainsi, la scène où, pris au piège d’une succession d’actions ayant chacune des conséquences imprévues et incontrôlables, le pauvre Hrundi V. Bakshi détruit de fond en comble la luxueuse salle de bains d’une villa, avec la prouesse de provoquer en même temps une gigantesque inondation et un début d’incendie en essayant de débloquer une chasse d’eau. Cette scène contient en condensé le mouvement d’ensemble du film, qui évolue d’un rythme poussif, celui d’une soirée qui ne promet que l’ennui, vers la catastrophe du dénouement final, quand surgit la troupe des danseurs russes, accompagnée d’éléphants de cirque, pour précipiter tout ce petit monde dans la piscine, sous le regard stoïque et imperturbable du propriétaire des lieux.

The Party, un film existentialiste

The Party, chef d’œuvre absolu, dont l’art renoue avec la tradition du burlesque (on pense, bien sûr, à Buster Keaton), est presque un film muet : les dialogues y sont, jusqu’au dernier tiers du film, quasi inexistants. C’est pourtant un film de son temps : on dirait que Blake Edwards parodie Antonioni en faisant de l’incommunicabilité le coeur de sa mise en scène. Hrundi V. Bakshi est un acteur indien qui a été invité par erreur à une soirée très mondaine suite à un « accident » provoqué par sa maladresse sur un plateau de tournage. Le personnage apparaît d’emblée parfaitement déplacé ; il ne trouve littéralement pas sa place (et pour cause, puisqu’il n’en a pas) ; à table, il doit siéger sur une chaise trop petite. Toute l’amorce de The party nous décrit les tentatives infructueuses de l’invité indésirable pour entamer une conversation, par des remarques intempestives qui tombent à plat, des sourires auxquels ne répondent que des sourires gênés, des regards en coin qui manquent invariablement leur cible. Même les animaux n’ont aucune commisération pour lui (le fameux « birdy nam-nam », tragique et désopilant à la fois). Sa solitude existentielle est infinie.

Le ressort de The Party repose tout entier sur l’impossibilité pour ce personnage de trouver sa place dans le milieu de circonstances où il évolue : il est condamné à rester « hors contexte », comme une liberté sartrienne jetée dans un monde hostile. Ce pourrait être un drame métaphysique, c’est la comédie la plus hilarante que je connaisse. Son comique impitoyable tient en particulier à l’absence totale d’humour de ces producteurs et acteurs qui passent leur temps à jouer un rôle. Leurs réactions, ou absence de réactions, aux pitreries involontaires de Hrundi V. Bakshi, sont irrésistibles. Plus ils sont sinistres, plus le film est drôle. The Party, c’est l’envers facétieux de l’existentialisme : à l’instar du garçon de café, évoqué par Sartre dans L’Être et le Néant, qui joue au garçon de café, chaque participant de la fête tient ici son rôle avec obstination, comme à la perfection, comme une caricature de lui-même ; c’est alors celui qui n’en a pas (l’acteur raté, le figurant congédié !) qui, par son incapacité à trouver le sien, révèle, non pas tant l’absurdité de la condition humaine, que le ridicule accompli et la vacuité profonde de l’existence sociale des participants. Jusqu’à la chute finale dans la piscine, libératrice, qui déchaîne enfin le potentiel de délire de cette société pathétique, coincée, obsédée  par le souci permanent de la compétition, du rang et du statut, où des messieurs bedonnants et portant la perruque pour cacher leur calvitie racontent des histoires pas drôles à des femmes qui font semblant de rire.

Producteurs en folie

Image du cinéma, la fête devient alors une image de la vie. Elle se double, chez Blake Edwards, d’une méditation désabusée sur ses déboires et ses échecs, comme dans S.O.B., où le ton se fait beaucoup plus sombre, mêlant le registre de l’humour noir à celui du gag : ainsi, l’homme victime d’un infarctus qui se traîne sur la plage pendant toute la durée du film en cherchant de l’aide et dont personne n’aperçoit la présence, suggère un contrepoint sarcastique à l’histoire principale, puisqu’il est question d’un producteur qui, à l’inverse, cherche désespérément à se donner la mort mais rate toutes ses tentatives de suicide. Si la fête, à la différence de The Party, ne constitue pas l’objet principal de S.O.B., elle y figure tout de même en bonne place, à l’occasion d’une satire de mœurs traduisant avec amertume la contradiction entre la pruderie des films américains de l’époque et le dévergondage des producteurs alors que la vague hippie déferle encore sur les plages californiennes. Au passage, une toute jeune Rosanna Arquette y fait sa première apparition.

La fête et son désenchantement

C’est pourquoi la fête se teinte volontiers de mélancolie chez Blake Edwards. La meilleure illustration en serait Breakfast at Tiffany’s, romance douce-amère dont la toile de fond est le destin contrarié d’une jeune femme idéaliste récemment installée à New York. Même là, cependant, la fête  ne perd jamais sa folie, une folie douce qui la traverse discrètement, avec, toujours, ce contraste entre la montée et la descente, mais un contraste étiré en longueur, ayant la fluidité du plan-séquence, comme le porte-cigare de Holly qui circule en dansant sous les yeux héberlués du chat, comme cette encombrante rousse qui s’amarre à la façon d’une ventouse sur tous les hommes qui passent dans son voisinage, comme cet improbable chapeau à la mousseline foisonnante qui prend feu sur la tête de sa propriétaire puis qu’on éteint en renversant un verre de whisky sans qu’elle se soit aperçue de rien, séquence qui trouve sa réplique dans le moment de The Party où le morceau de poulet va se poser délicatement sur la couronne princière d’une convive, également à son insu. Comme dans The Party, la soirée chez Holly culmine en catastrophe (l’arrivée de la police), mais de façon plus légère : Holly s’absente à temps de son appartement, le mafieux brésilien parvient à s’échapper par la sortie de secours, tout finit bien.

Préparez vos mouchoirs

Pourtant, c’est bien au cours de cette soirée que commence à se nouer la romance malheureuse entre Holly et Paul, quoi que jamais de façon explicite. On retrouve le chat dans le dénouement, pathétique et larmoyant, certes, mais… qu’importe. Quant au Brésil, c’est la destination où Holly disparaît, peut-être définitivement. Aussi bien, Breakfast at Tiffany’s est tout sauf une comédie (en dépit de quelques scènes humoristiques avec le voisin japonais, qui n’ont pas très bien vieilli). C’est un mélo.

D’ailleurs, le ton élégiaque est donné dès la première scène : sur la Cinquième Avenue, au petit matin, Audrey Hepburn descend d’une limousine noire, s’arrête devant la vitrine de Tiffany, y contemple longuement son reflet en rêvant peut-être d’une autre vie. Elle porte des lunettes de soleil. Aux premières notes de « Moon river » (Henri Mancini, déjà !), tout est dit : coeurs sensibles, s’abstenir !

N’est-ce pas que la fête nous parle d’autre chose que la fête ? La fête ne contient-elle pas au fond une arrière-pensée : à savoir, le pressentiment que la jeunesse, avec ses soirées festives, ses rencontres, sa ronde folle de plaisirs et d’aventures, ses tourments, son ivresse et ses brusques accès de fièvre, doit tôt ou tard s’achever ? Qui dit « fête » dit aussi « lendemain de fête » . La fête annonce la gueule de bois et le désenchantement. Toute fête doit par conséquent s’achever sur une « descente » (à défaut d’une descente de flics), sauf à vouloir rester scotché dans son extase pour l’éternité.

Que la fête continue !

Ainsi se loge au coeur de la soirée festive le sentiment amer et désabusé que le restant de nos jours va s’engouffrer dans  son « après », comme si en chaque fête s’épuisaient toutes les fêtes du monde. Et rien n’est plus poignant que d’éprouver cette certitude lorsque la fête bat son plein : car la suite, on la connaît, on la pressent. C’est dans ces moments-là que les rires des convives, le tintement des verres, le bruit continu de la vie, sa musique de fond, tout le fracas familier dont on s’entoure, dont on aime à s’enivrer, annoncent douloureusement la solitude qui vient, ou bien la solitude qui est déjà là, au fond de l’existence humaine. Et le cinéma de Blake Edwards s’apparente à une élégie dont le projet, l’idéal, l’utopie, ou mieux, la prière, serait de prolonger indéfiniment la fête, de faire en sorte qu’elle ne s’arrête jamais. Alors… que la fête continue !

Breakfast at Tiffany’s (la soirée chez Holly)

https://www.youtube.com/watch?v=IxqAfIGpaVc

La panthère rose (« meglio stasera ») :

https://www.youtube.com/watch?v=paWt-vWYbyU

The party (scène du poulet)

https://www.youtube.com/watch?v=H3mDOHGBRs8

Tags : Audrey HepburnBlake EdwardsBreakfast at Tiffany'sClaudine Longetfilm américainfilm de 1968Henri ManciniLa Panthère roseMiguel CoelhoPeter SellersS.O.B.United Artists
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Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

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