• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 13 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ?

Antoine Fratini Par Antoine Fratini
9 octobre 2022
dans Inclassable(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Peinture de l’Inquisition Espagnole © Jim Linwood – CC –

L’esprit d’ouverture de la Renaissance allié au renforcement de la Raison déclamée par le siècle des Lumières ont créé le climat favorable à la suppression de cette véritable institution criminelle qu’a été la «Sainte Inquisition». Il aura fallu quand même attendre plusieurs siècles pour que cela se réalise. Et encore, partiellement, car le Vatican a voulu maintenir une Congrégation pour la doctrine de la foi qui représente de fait une émanation du précédent Tribunal de l’Inquisition. Mais l’Inquisition est aussi une attitude particulière fondée sur la terreur et la torture morale. En ce sens, sommes-nous sûrs qu’elle ait disparu? Notons qu’il existe encore des chasses aux sorcières promulguées par les médias et les autorités à l’endroit des sectes religieuses, des guérisseurs, de toute figure défiant une certaine orthodoxie et même, notamment en Italie, des psychanalystes. Prises dans leurs contextes, il est probable que ces opérations aient la fonction de déplacer l’attention de la population de problèmes sociaux plus importants. Créez un monstre, le peuple y projettera son Ombre.

Une affaire soufferte mais instructive

L’affaire succinctement exposée ici a duré environ neuf ans et m’a contraint à faire face à des accusations aussi infamantes qu’infondées et à subir divers mauvais traitements d’ordre moral. Elle débuta par la visite dans mon cabinet d’un commissaire de police accompagné de deux acolytes. On m’interrogea sur le métier que j’exerçais, les livres que je lisais, les articles que j’écrivais, en posant parfois quelques questions-pièges du genre: «je vois dans votre bibliothèque des livres de psychologie analytique, donc vous pratiquez la psychologie?» Ma bibliothèque contient des livres en tous genres, même de chimie. Ceci ne permet pourtant pas d’en déduire que j’exerce la profession de chimiste! Il me fut aussitôt clair que l’autorité n’était pas venue pour une simple visite de contrôle, mais pour tenter d’interrompre mon activité sur le champ. Je lui demandais naturellement le motif de sa présence, mais en guise de réponse je dus me contenter de la phrase, quelque peu énigmatique: «nous conduisons une enquête, nous ne pouvons rien vous dire de plus pour le moment». J’expliquais que je
n’étais ni psychologue, ni psychothérapeute, mais que j’exerçais simplement (pour ainsi dire) l’activité de psychanalyste.

Précisons qu’en Italie seules les professions de psychologue et de psychothérapeute sont réglementées par une loi faite approuvée en 1989 par le psychiatre et parlementaire Adriano Ossicini. La parole (le mot ?) « psychanalyse» (ou alors «la parole psychanalytique») et l’expression «psychothérapie analytique» qui faisaient partie du texte avant l’approbation du décret avaient été ensuite supprimées grâce à l’intervention unanime des associations de psychanalyse interpellées à l’époque et qui ne se reconnaissaient pas dans le statut des psychothérapies. J’expliquais également en quoi consistait mon travail, comment se déroulaient les séances et quelles étaient les principales différences entre psychanalyse et psychothérapie. Je fis noter par exemple que l’analyste, contrairement au psychothérapeute, ne partage pas les critères médicaux, qu’il n’a pas de «patient» mais des «analysants», qu’il ne croyait pas à la maladie mentale et qu’il ne faisait pas de diagnostic ni de pronostic. Je lui fournissais également les coordonnées de l’association psychanalytique où je m’étais formé pour qu’il puisse poursuivre son enquête.

Des interrogatoires pas vraiment drôles

Convoqué successivement au poste de police, le commissaire me confessa «ne rien piger» à la psychanalyse mais que selon ses informations j’exerçais illégalement car j’étais dépourvu d’une inscription à la Liste des psychothérapeutes de l’Ordre des Psychologues. Sa certitude, en flagrante contradiction avec sa précédente confession, m’intrigua. Je lui demandais où il avait trouvé ces données et s’il avait bien contacté l’association que je lui avais signalée. Il me répondit qu’il avait considéré suffisant l’avis du président de l’Ordre des Psychologues, l’institution qui m’avait pointé du doigt (sans qu’elle se constitue partie civile) comme jadis on signalait les sorcières! Notre commissaire venait de ce pas renverser le vieil adage populaire «deux avis valent mieux qu’un». Ce fut ensuite au tour de mes analysants de se voir soumis à un interrogatoire, d’abord chez le commissaire et ensuite à la cour du Tribunal. «Fratini vous a-t-il prescrit des médicaments ou des thérapies ? Comment avez-vous fait sa connaissance? Vous a-t-il dit qu’il était psychologue ou psychothérapeute? Saviezvous qu’il n’était pas diplômé? Comment se déroulaient les séances ?»

Heureusement, je pus compter sur la bonne foi d’analysants pas trop détraqués! Enfin, au cours d’une seconde visite improvisée les enquêteurs m’ordonnèrent d’enlever mes cartes de visite affichées sur ma boîte aux lettres et sur la porte de mon cabinet. En cette occasion le commissaire laissa échapper quelques paroles de fausse stupeur en constatant que sa cible était restée à sa place. Il se serait probablement attendu à ce qu’elle déserte et se cache comme un truand démasqué en proie à la peur et à la honte. Il est certes tranquillisant de prendre ses préjugés pour des vérités. La même attitude rendrait impossible tout progrès en analyse. Une écoute débarrassée de préjugé est en premier lieu ce que demande un analysant. Et c’est aussi la condition pour que le travail d’analyse puisse progresser. En conclusion de cette première tranche d’enquête, on formulait le chef d’accusation «d’abus du titre de psychanalyste». Mais comment peut-on abuser d’un titre qui n’existe pas ?

Psychanalyse ou psychothérapie?

Le juge comprit l’équivoque portant sur la superposition de psychanalyste et de psychothérapeute et annula la disposition. Freud soutenait que l’élimination des symptômes ne doit pas être poursuivie comme un but et que la cure intervient comme effet du travail d’analyse. La santé psychique est une condition subjective qui n’a rien de médical. Il n’existe aucune preuve scientifique de maladie dans ce que l’on nomme «troubles psychiques», aucune lésion des tissus cérébraux, aucune dégénérescence cellulaire anormale, tout comme il n’existe aucun virus de la schizophrénie. La maladie en psychiatrie est diagnostiquée sur la base de comportements bizarres, apparemment incompréhensibles et souvent dérangeants pour la société. La fonction de l’analyse n’est pas de normaliser les individus, ni de soigner une maladie imaginaire ou de faire le commerce de sa cure, mais d’éclairer la signification inconsciente des symptômes et d’offrir à l’analysant une voie privilégiée pour les entendre et les surmonter.

Abus de la profession de psychologue

Insatisfaits de cette première sentence, nos enquêteurs confectionnèrent un nouveau chef d’accusation: «abus de la profession de psychologue». Le fait qui apparemment légitima leur acte fut trouvé dans la publication de mon nominatif dans la catégorie «psychologues» de l’annuaire téléphonique. Or, à l’époque des faits contestés une telle insertion se réalisait d’une manière automatique, sans que l’intéressé ait à faire quelque demande spécifique. Et, étant donné qu’il manquait une catégorie spécifique pour les psychanalystes, mon nom fut rangé dans la catégorie des psychologues, laquelle rassemblait déjà des activités très variées.

La terreur des sectes et des gourous

Malheureusement pour mes détracteurs, les enquêtes effectuées à mon cabinet, auprès du directeur de l’Université où je tenais des cours et auprès de mes analysants ne donnèrent pas les fruits désirés. Ils parcoururent alors des voies plus improbables, démontrant la faiblesse de leur position et l’acharnement envers ma personne, en contrôlant si l’association culturelle que j’avais fondée pouvait être rangée parmi les sectes et si son président n’était pas un gourou qui «influence» ses victimes.

Ainsi, pendant plusieurs jours, deux agents cachés derrière la haie du parc situé en face de mon cabinet, surveillèrent la porte d’entrée de mon immeuble, arrêtant les personnes qui en sortaient et leur demandant si elles s’étaient rendues chez Fratini et si elles avaient connaissance du fait que celui-ci exerçait la psychanalyse illégalement. Une de ces personnes me téléphona aussitôt pour m’en avertir, ajoutant que les agents lui avaient demandé de taire leur rencontre. Le soir, alors que je rentrai mon auto dans le garage, Holmes et Watson sortirent promptement de leur cachette, me demandèrent si j’étais bien le Fratini président de telle association culturelle et prétendirent visiter mon domicile. Je demandais à revoir leurs cartes de police, mais probablement cette revendication, formulée par un simple citoyen seul au milieu d’une cour et arrêté par deux inconnus à l’attitude pas vraiment sympathique, dût leur paraître un affront. Étant donné que je mettais en doute leur parole, au lieu de sortir leurs cartes, ils préférèrent appeler à leur secours les carabiniers. Comme il est facile d’imaginer, cette manœuvre fut pour nos deux agents une tentative pour me mettre en défaut aux yeux du voisinage. Après leur avoir régulièrement présenté les documents de l’Association, je fus invité à les suivre au poste pour la rédaction d’un acte. La motivation qu’ils attribuèrent à leur enquête fut une opération de contrôle dans le domaine de la lutte contre les sectes.

En gros, cette histoire, fâcheuse mais instructive, comporta trois procès, dont le dernier à la cour d’Appel de Bologne, tous remportés par la défense. Outre son aspect carrément grotesque, elle donne toutefois à réfléchir sur la terreur des sectes religieuses éclatée ces derniers temps. Il semble effectivement qu’en certains cas ces suspects aient pris la place que l’on réservait au Moyen Âge aux sorcières et aux hérétiques. Semer ainsi l’idée qu’une personne embarrassante soit un gourou à la tête d’un groupe d’adeptes manipulés devient aujourd’hui une manœuvre particulièrement efficace pour tenter d’éliminer l’ennemi. Le soi-disant danger représenté par les sectes offre une puissante légitimation à la volonté des états d’encadrer les disciplines psy encore libres dans de nouvelles réglementations.

En France, dans le texte de l’amendement proposé il y a quelques années par le sénateur Bernard Accoyer, il est écrit que «… certaines techniques psychothérapeutiques sont un outil au service de l’infiltration sectaire» et on y recommandait d’encadrer ces disciplines pour le bien de la santé mentale des patients.

Une heureuse (mais tardive) conclusion

Je dois toutefois m’estimer heureux que mes idées n’ont pas rencontré un succès tel qu’il suscite de sérieux embarras pour quelques institutions politiques, ce qui aurait pu transformer une affaire privée en un procès contre la psychanalyse. Et aussi qu’aucun de mes analysants ne vivait un transfert négatif et ne profita de la situation pour défouler son agressivité inconsciente sur leur analyste, car j’aurais alors pu devenir la cible de nouvelles accusations, comme par exemple celle d’«abus de faiblesse» qui fut le lot de mon illustre prédécesseur Armando Verdiglione, élève de Lacan et auteur d’une élaboration originale de la pensée freudienne, dont le procès date de 1988 et a certainement été pris comme prétexte pour renforcer la volonté d’arriver à une réglementation des professions psy en Italie.

En cette occasion, Bernard Henri Levy déclara: «ceci est un procès du Moyen Âge… on confère à la science quelque chose de magique… Si j’étais un psychanalyste italien, j’aurais très peur…»

Tags : Antoine FratiniArmando VerdiglioneBernard AccoyerItalielibertés publiquesMoyen-Ageprocès en sorcelleriepsychanalysepsychiatriepsychothérapieSigmund Freud
Article précédent

Orthographe, sexe et cinéma

Article suivant

La radicalité est une exigence de liberté

Antoine Fratini

Antoine Fratini

Psychanalyste clinicien, président de l’Association Internationale de Psychanalyse Laïque, membre de l’Académie Européenne Interdisciplinaire des Sciences et de la New York Academy of Sciences. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont La statue du psychanalyste ? Jung animiste ? Psyché et Nature, et La psychanalyse au bûcher. Il gère le blog « psychoanimisme, quand la psychanalyse rencontre l’animisme ».

Article suivant
IMG 3469 scaled

La radicalité est une exigence de liberté

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?