• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 22 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La Crise de confiance est une crise des élites

Patrick Boccard Par Patrick Boccard
31 décembre 2021
dans Société(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Ligne de police, fumée et jeunes protestantUne étude mondiale[1] récente met en lumière une défiance qui touche les citoyens d’un très grand nombre de pays, quels que soient leur culture, leur taille, leur développement ou leur organisation politique. Certains experts considèrent que cette déprime résulte de la perte d’audience et d’influence des grandes théories politiques et des affrontements qui animaient leurs partisans. Comme si les concepts de lutte de classe passaient au second rang, alors que les difficultés et frustrations quotidiennes ont pris le dessus et que les citoyens considèrent qu’il est de la responsabilité des politiques de les résoudre : « des mots et des discours non, des actes et des décisions oui ». D’autres observateurs estiment que les peuples se défient largement de leurs élites dirigeantes car elles semblent avoir perdu le contrôle de la situation avec la mondialisation, les institutions supranationales, la puissance des GAFAM, la persistance de la crise économique et sociale, les migrations à grande échelle, le terrorisme islamiste…

La France a semblé aller à contre-courant en élisant Emmanuel Macron en 2017 sur la base d’une promesse de renouvellement général des fondements et des modalités de fonctionnement du modèle hexagonal. Quelques mois plus tard les signaux sont nombreux qui laissent entendre que les citoyens considèrent que la promesse n’a pas été tenue. Il est indéniable que de nombreux nuages ont peu à peu perturbé le moral des citoyens : le mouvement des Gilets jaunes, les grèves contre la réforme des retraites, la persistance des actes terroristes, la multiplication des violences communautaristes… La dernière vague du « Baromètre de la confiance politique » publiée en février dernier[2] montre effectivement que les premiers qualificatifs « qui caractérisent le mieux l’état d’esprit actuel » des français sont « lassitude », « morosité » et « méfiance ». Ce constat résulterait du fait que les français se sentent impuissants, qu’ils n’ont pas prise sur ce qui leur arrive. Le mal vient probablement aussi des rigidités d’un État centralisé qui, de ce fait, endosse tout le poids des responsabilités, et des pratiques d’élites politico-administratives formées dans le même moule de quelques grandes écoles, déconnectées du terrain, impuissantes à apporter des solutions à des problèmes dont le citoyen pense que le simple bon sens permettrait de les régler. Ces opinions résultent également d’un système de décision très verticalisé, adopté depuis plusieurs années par ces élites fascinées par la mondialisation et l’économie libérale, essentiellement articulé autour de ses effets à court terme, annihilant toute chance de porter des visions et de mettre en œuvre des projets de long terme. Cette situation fait peser une lourde menace sur la démocratie, comme le démontre l’explosion des discours déclinistes, complotistes et communautaristes, dont les adeptes ont trouvé dans les réseaux sociaux un porte-voix extraordinairement puissant, diffusant sans nuances ni précautions aucune, points de vue élaborés et « fake news », face auxquels les réponses rationnelles et argumentées sont difficilement audibles. La récente tempête politico-médiatique déclenchée par la tribune de Généraux de l’armée alertant sur l’état de délitement du Pays en constitue une preuve supplémentaire, considéré par les Cassandre comme les prémices d’une prochaine « ère des soulèvements ».

LE VIRUS DE LA DÉFIANCE

La France semble particulièrement infectée par ce virus de la défiance. Certains font remarquer que le Pays des Lumières, comme tous ceux dont l’Histoire a été riche d’épisodes « romantico-révolutionnaires », a souvent manifesté un certain mal de vivre et entretenu une relation tendue avec ses élites, à l’inverse des nations plus dociles à l’égard de systèmes et de dirigeants avant tout soucieux d’ordre, de discipline et d’efficacité. D’autres observateurs étrangers ont rappelé que l’on a les élites que l’on mérite, soulignant l’un des travers bien français, comme cette tendance schizophrénique à réclamer quelquefois tout et son contraire : une aspiration à la verticalité d’un pouvoir qui se doit d’être exceptionnel, infaillible et vertueux et à la protection de l’État d’un côté, une passion pour l’égalité, une volonté de proximité des élites, une soif de liberté de l’autre.

La morosité constatée des français s’est aujourd’hui infiltrée dans tous les interstices de la vie sociale. Le mal se serait installé à la suite de la crise financière de 2008, alors que les français avaient plutôt bien digéré les crises précédentes, celle de 1968 comme celles des différents chocs pétroliers qui ont marqué les années 70. Les indicateurs avérés de cette inquiétude sont essentiellement liés à l’évolution de l’emploi et à ce qu’il est convenu de nommer « le déclassement » des classes moyennes. Le surgissement de la pandémie a évidemment contribué à amplifier le désarroi existant.

Aujourd’hui, les français semblent n’avoir plus confiance en rien. Dans la sphère privée, ils n’ont pas confiance dans « les autres », seule la famille échappant à ce jugement. Dans la sphère publique, ils n’ont pas confiance dans les institutions politiques nationales et leurs dirigeants – gouvernement, Présidence de la République, Parlement -, seules celles du niveau local – conseil municipal et régional – trouvant grâce à leurs yeux. Les partis politiques, les syndicats, les médias, les réseaux sociaux pour ne citer que les acteurs les plus visibles de la vie collective, sont également victimes d’une grande désaffection. Paradoxalement, les entreprises échappent partiellement – et temporairement ? – à ce désamour, touchant là les dividendes d’une attitude « décente » à l’égard de leurs collaborateurs pendant la pandémie. La plupart des français estiment que les politiques ne « se préoccupent pas des gens » et, dans une moindre mesure, qu’ils « parlent trop et n’agissent pas assez », qu’ils sont « déconnectés de la réalité et ne servent que leurs propres intérêts », certains les jugeant même « corrompus ». Ils vont jusqu’à déclarer que la politique leur inspire « méfiance », « dégout » et « ennui » et à considérer que « la démocratie ne fonctionne pas très bien ». Ce délitement traduit une perte d’une façon commune de dire et de faire société et révèle une grave crise de la démocratie représentative qui ne représente plus qu’un personnel politique discrédité, dont l’autorité à conduire le pays risque d’être durablement érodée.

Cette mosaïque de frustrations et de critiques laisse néanmoins un peu de place à des attentes concrètes et à des demandes d’avenir. Ainsi les français ont une idée assez précise du profil du bon leader politique : être « proche des préoccupations des citoyens », « dire clairement les choses, même si ça ne plaît pas à tout le monde » et « prendre l’avis du plus grand nombre de citoyens avant de décider ». Ils identifient également des chantiers qui devraient guider en priorité l’action des politiques : la réduction des inégalités de revenus, la justice dans l’attribution des aides sociales, la diminution des différences de niveau de vie, la répartition équitable des résultats économiques entre ceux qui travaillent et les patrons… De même, s’ils pensent majoritairement que la France devrait se fermer davantage sur « le plan migratoire », ils estiment qu’elle n’a pas à « se protéger davantage du monde d’aujourd’hui » et que son appartenance à l’Europe est « une bonne chose ». Ils suggèrent qu’elle doit « se réformer sur quelques points » seulement du système capitaliste, continuant à se développer « tout en préservant l’environnement pour les générations futures ». La France est « un ensemble de communautés qui cohabitent les unes avec les autres », mais elle n’est pas « une nation assez unie malgré ses différences ».

DES ÉLITES DÉCONNECTÉES

L’individualisme qui caractérise l’époque contemporaine est une des sources de la désaffection pour l’action politique et le bien commun. Mais il serait simpliste de faire reposer le mal existentiel des français sur ce seul critère. Car cette crise de confiance révèle surtout la déconnection des élites de leur base populaire. Comment d’ailleurs éprouver la vraie vie des citoyens lorsqu’on habite ou travaille à l’abri des palais de la République, que l’on se déplace en véhicule avec chauffeur, que l’on que l’on ne fait pas la queue pour acheter son pain…

En quelques mois la France a connu deux des formes traditionnelles de la prise de distance entre élites et citoyens : celle de l’affrontement adopté par le mouvement des gilets jaunes et celle du retrait représenté par de forts taux d’abstention aux élections et une désaffection croissante vis-à-vis des partis politiques et des syndicats, actualisant « la secessio plebis » pratiquée par le peuple romain mécontent se retirant sur l’Aventin jusqu’à ce que les dirigeants cèdent à ses demandes.

Cette coupure s’est déjà produite au cours de la longue et riche histoire de France[3], mais elle n’est pas inéluctable comme l’ont montré plusieurs périodes de concorde relative entre élites et citoyens : lors de la fête de la Fédération de 1790, des Trois Glorieuses de 1830, en passant par le début de la Deuxième République de 1848, l’Union sacrée de 1914, le gouvernement Poincaré de 1926 et l’apogée de la République gaullienne. Ces « moments » suivaient de graves crises : la crise de la monarchie absolue dans les années 1780, la crispation réactionnaire sous Charles X, la crise économique et sociale et l’aveuglement de Louis-Philippe et de son principal ministre Guizot dans les années 1840, l’entrée incertaine dans la Grande Guerre, la sortie douloureuse de celle-ci, la crise de la IVème République et la guerre d’Algérie.

Au fil de ces pulsations de l’Histoire, la base de l’élite dirigeante s’est fortement démocratisée. A ce titre, l’avènement du suffrage universel masculin a constitué un point de bascule notoire, qui, lors de l’éphémère Deuxième République, a conduit a multiplié le corps électoral par 37 !

Les dirigeants actuels sont un peu héritiers des élites et des notables qui ont façonné l’Histoire, consacré par des accords entre bourgeoisie et noblesse lors des Constitutions du Directoire (1795), du Consulat (1799) ou de l’avènement de Napoléon Bonaparte. Aujourd’hui, les effets des réformes de la Libération se font encore sentir, à commencer par l’existence de l’École Nationale d’Administration (ENA) voulue par le Général de Gaulle, afin de créer un corps de hauts fonctionnaires d’élite dévoué à l’État, ayant à la fois le sens de l’humain, l’esprit d’initiative et la capacité de prendre les meilleures décisions, mais au sein duquel tout esprit de caste sera évité par la variété du recrutement, la maturité des élèves à leur entrée, la nature de la formation[4]. L’acuité de la crise de confiance qui frappe les élites a sans doute convaincu Emmanuel Macron, lui-même sorti de cette couveuse à élites, de confirmer sa volonté de réformer cet emblème du pouvoir public à la française.

Soutenir les auteurs et s'abonner au contenu

C'est du premium. Abonnez-vous pour lire l'article en entier.

Login if you have purchased

S'abonner à

Accédez à tous nos contenus Premium.
+ de100 articles.
S'abonner maintenant

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.
Déverrouiller maintenant
Tags : coviddirigeantsGAFAMMACRONpandémie
Article précédent

Interview exclusive de Daniel Sibony

Article suivant

La fin du clivage gauche – droite : la mort des partis politiques ou l’enterrement de la démocratie

Patrick Boccard

Patrick Boccard

Patrick BOCCARD, de nationalité franco-suisse, est né en 1951 à Bourguignons, village situé à la frontière de la Champagne et de la Bourgogne, dans une famille de minotiers. Il est marié à la poéte Martine KONORSKI et père de trois enfants. De formation littéraire, il a effectué son parcours dans la communication et les ressources humaines, dans des institutions et des entreprises françaises et internationales, puis comme consultant indépendant. Il collabore régulièrement à des journaux et revues. Il est l’auteur de « Les femmes ne sont pas faites pour courir » consacré aux discriminations de genres dans le sport (Ed. Belin, 2015).

Article suivant
clivage gauche droite scaled

La fin du clivage gauche – droite : la mort des partis politiques ou l’enterrement de la démocratie

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?