• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 20 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

«Ce n’est pas du Zola mais on pourrait y croire»

À la ligne – Feuillets d’usine, de Joseph Ponthus, ou quand la littérature sauve... momentanément

Eric Desordre Par Eric Desordre
15 février 2022
dans Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
A la ligne – Feuillets d’usine, de Joseph Ponthus, La Table Ronde, 2019, 18 euros. Poche : Folio, 2020, 7,50 euros –

Récit existentiel d’une expérience destructrice du corps, découverte du monde de l’usine par un travailleur social qui, jusque-là, encadrait une jeunesse ne rêvant pas d’être encadrée, A la ligne est un livre magnifique. On le lit d’une traite, comme un roman passionnant. Ce n’est pas un roman, contrairement à ce qu’indique le texte en quatrième de couverture. Pourtant bien imprimé au-dessous du titre et voulu comme tel par l’auteur Joseph Ponthus, ce sont des feuillets, composant une chronique quasi quotidienne du travail ouvrier. Sa poésie puissamment évocatrice vous laisse assommé par la révélation de la souffrance et les hoquets de drôlerie.

Joseph Ponthus, éducateur, ne trouve pas de boulot dans son métier. Il a besoin de sous pour vivre, il embauche dans l’industrie agro-alimentaire. Il embauche « à la ligne », dans l’usine. Ce sera une usine de poissons à Lorient, puis un abattoir dans le Morbihan. C’est du brutal.

Ce qu’on lit, c’est la description d’une condition ouvrière qu’on avait oubliée au milieu des années 80. Depuis cette époque, les forçats du salariat ont surtout été exploités dans le tertiaire, centres d’appels, salles de marché, open space à cloisons de verre et organisations à plafond du même matériau. Retrouvant les bienfaits du panoptique des frères Bentham, les superviseurs y sont omniprésents, distribuant via les processus informatisés directives et consignes dans un délire régulateur et monitorant. L’œil qui voit tout est déjà au-dessus de nos têtes.

Pour les usines, le capitalisme avait mis ses espoirs de profit dans les robots. Jamais en grève mais souvent en panne ; toujours d’accord mais rarement enthousiaste, le robot s’avéra imparfait. Finalement tout comme nous. Après de nombreux tâtonnements, le manager dû réintroduire de vraies jambes et de vrais bras dans le ballet de la production et, prolongeant ceux-ci, de vraies mains dans le cambouis. Un savant équilibre entre robotisation et présence humaine s’avéra plus efficace pour assurer durablement la productivité.

On croyait qu’avec les délocalisations, toutes nos usines avaient foutu le camp en Asie en général et en Chine en particulier, donnant du boulot, des salaires et des troubles musculo-squelettiques aux prolétaires-de-tous-les-pays-unissez-vous mais qui préfèrent rouler en BMW plutôt que chanter les lendemains qui chantent. En fait, des usines, il en reste encore dans notre vieux pays. N’ayant pas la chance d’être intérimaires de l’industrie agro-alimentaire, on est étonnés d’apprendre, innocents que nous sommes, qu’il existe – à Lorient et ailleurs – des lieux où des gueux sidérés se font exploiter de la belle façon.

C’est dans cet univers industriel bien actuel avec des morceaux de misère dedans que notre guide Joseph Ponthus constate, non pas la mort de la classe ouvrière, mais celle de sa conscience de classe. Corollaires : plus de combat social, plus de rapport de forces générateur de partage de la valeur ajoutée, plus de recherche même douloureuse de l’équité. Retour au XIXème siècle.

« Ce n’est pas du Zola mais on pourrait y croire » – la formation littéraire de l’auteur le sauve. En égouttant du tofu, il pratique le sarcasme du lettré, l’indignation du rebelle, l’auto-ironie du tendre. Ca l’aide à tenir. Le regard distancié est un puissant antidote à la douleur morale, à défaut d’un anti-inflammatoire apaisant les douleurs articulaires. Mais comment faire comprendre, ressentir, la nouvelle condition ouvrière ? Joseph Ponthus cite avec un à-propos saisissant et une justesse confondante – ça sert donc, la littérature ! – les auteurs qu’il connait et qu’il aime. Tour à tour convoqués pour éclairer les situations vécues, Apollinaire, Dumas, La Bruyère ou Trenet se succèdent, mais aussi les vedettes populaires dont les chansons, les sketches ou l’évocation des exploits aident à tenir la cadence : le Johnny et la Sylvie, Julien Doré, Fernand Raynaud, Zidane… Marcel (Proust, pas Hamon) a même droit à quelques considérations bien senties. Citer l’Odyssée dans une usine de poissons peut éventuellement le faire, mais le Vicomte de Bragelonne, c’est infiniment élégant. Nous apprenons aux dernières pages que Pontus de Tyard, membre de la Pléiade, ami de Ronsard et du Bellay, est un ancêtre de Joseph Ponthus. Il arrive donc que bon sang ne sache mentir ; fort justement comme souligné, « Qu’incessamment en toute humilité / Ma langue honore et mon esprit contemple ».

Ponthus nous raconte avec une verve poignante la séparation des individus sur la chaîne de production, à cause ou plutôt grâce aux horaires décalés, sur des postes semi-automatisés. Suffisamment autonomes pour être quasi-seuls toute la journée – quitte à courir partout ; suffisamment dépendants de machines défaillantes pour ne pas pouvoir s’octroyer par instants les petits relâchements de l’esprit et du corps. Elles sont loin, les lignes souvent peu automatisées d’antan, qui offraient des espaces de liberté mesurés mais réels. Pas le rêve, mais une zone de confort qu’on préservait avec l’expérience du geste, l’entraide des collègues, la bienveillance de certains agents de maîtrise. Ils n’étaient pas encore passés par les formations à la gestion industrielle, du juste à temps au lean management.

Résultat de ces chouettes innovations, le nouveau serf est trop crevé pour réfléchir, pour échanger, pour s’organiser, dans l’incapacité de seulement songer à lutter. Quant à se plaindre… Si l’intérimaire l’ouvre, l’agence ne lui proposera pas de réembauche. Un rêve de congressiste à Davos. Il n’y a donc pas que chez Apple en Chine, ou chez Amazon partout dans le monde qu’on bosse dur pour pas un rond. Un libéralisme comme on l’aime, avec des sandwichs néerlandais* juteux et des petits noirs bien serrés.

Un staccato d’angoisse – Vais-je être embauché ? Vais-je assurer sur la ligne de production ? Vais-je terminer ma journée sans me casser le dos définitivement ? Vais-je être réembauché ? – comme si vous y étiez. En fait, c’est lui qui y est. C’est ça qui est bien avec la littérature, on n’a pas besoin d’y être ; il suffit d’avoir un écrivain bien placé, capable de cuire du bulot à la tonne et d’écrire un témoignage bouleversant.

Ce livre est un grand livre. D’une densité poétique inattendue dans un récit d’expérience ouvrière ; introspection d’un homme qui sait réfléchir, même si le rattrapage du retard accumulé sur le planning de décorticage des crabes ou de nettoyage de l’abattoir des bovins lui laisse bien peu de temps pour le fignolage des phrases. Il écrit en arrivant chez lui, en ayant oublié, parce qu’il est trop fatigué, la moitié de ce qu’il avait en tête d’écrire. Il fait court, il va « à la ligne ». Et, peut-être aussi pour cette raison, c’est splendide.

La débauche / Quel joli mot / Qu’on n’utilise plus trop sinon au sens figuré / Mais comment comprendre / Dans son corps / Viscéralement / Ce qu’est la débauche / Et ce besoin de se lâcher se vider se doucher pour se laver des écailles de poissons mais l’effort que ça coûte pour aller à la douche quand tu es enfin assis dans le jardin après huit heures de ligne

Dans ce journal mélangeant expressionisme poétique et réalisme gore, on en apprend un rayon sur les variétés de crevettes et les techniques d’équarrissage des vaches. Une vache, c’est lourd, quand bien même carcasse pendue au croc d’un rail d’abattoir. Re-re-triées, les crevettes qui ont chacune une destination spécifique ont pour noms Coaxial, Ishida, Multivac, Arbor, Bizerba. Bizarre, on dirait de la tringlerie informatique ou des termes d’ingénierie climatique.

Vu le livre que je referme à regret – j’aurais bien aimé lire plus longtemps les souffrances et les joies de Ponthus, quelle indécence chez le lecteur ! – tous ces textes qu’il n’a pas écrits parce qu’il les a oubliés, il va les retrouver plus tard, c’est sûr. Sûr qu’on sera là pour les lire.

PS Quand ces lignes ont parus initialement dans Rebelle(s), le magazine papier, Joseph Ponthus était encore de ce monde. Il est mort en février 2021 des suites d’un cancer, à 42 ans. Si la littérature peut sauver de l’épuisement et du désespoir, elle ne peut pas réparer l’usure du corps. On a la chance d’être encore là, mais on ne lira pas les lignes oubliées de Joseph Ponthus.

*Le « sandwich néerlandais » est une méthode d’optimisation fiscale basée sur des accords d’imposition entre les états. Les entreprises ayant des activités en France installent leurs sièges sociaux aux Pays-Bas et y remontent leurs profits, d’où ces derniers repartent ensuite vers des holdings de contrôle situées dans les Antilles Néerlandaises, paradis fiscal. Le taux d’imposition y est (beaucoup) plus bas qu’en France. Les profits réalisés chez nous étant déjà imposés au paradis ne peuvent pas être imposés par le fisc français. Grâce à ce met prisé des financiers, le gain final est supérieur au quart des bénéfices.

Tags : classe ouvrièreéditions Folioéditions La Table RondeEric Desordreexpérience ouvrièreindustrie agro-alimentaireJoseph Ponthusl'Odysséelutte des classes
Article précédent

John Lee Hooker – Boogie-Woogie Anyhow

Article suivant

Foutez la Paix à Orelsan !

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié aux éditions Unicité, au Nouvel Athanor ou chez Transignum, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
Orelsan lodeur de lessence

Foutez la Paix à Orelsan !

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?