• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 15 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

À quoi bon les poètes en temps de détresse ?

Akyn, un film de Darezhan Omirbayev

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
12 août 2022
dans Cinéma(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Akyn – “Poète”, film de Darezhan Omirbayev, nov. 2022 –

État des lieux d’un pays

« À quoi bon des poètes en temps de détresse ? », demandait Hölderlin.

Cette question angoissée taraude le réalisateur kazakh Darezhan Omirbayev dans son film Akyn (« Poète »), qui sortira sur nos écrans en 2023, et que j’ai pu voir en avant-première au centre Georges Pompidou. Omirbayev, comme ses personnages, aime contredire notre époque : il prend son temps, aussi bien dans la réalisation de ses métrages, dont l’avant-dernier datait de 2012, que dans la composition très étudiée, minutieuse, de chaque plan, chacun racontant une histoire dans l’histoire, chacun donnant un aperçu de l’état d’un pays, de l’état du monde, ouvrant sur des pans de mémoire refoulée, des fragments de rêve mêlés à la réalité la plus prosaïque.

Le film suit deux récits en parallèle. L’un se déroule aujourd’hui, dans une grande ville du Kazakhstan contemporain, standardisée, propre, avec ses quartiers d’affaires, ses quartiers résidentiels, ses centres commerciaux, sa banlieue, une ville qui pourrait être n’importe où au monde. Le personnage principal est un jeune poète, Didar, qui s’interroge sur la place de la poésie dans la société d’aujourd’hui, alors que se dresse l’implacable constat (aux dires, dès la première scène, de ses collaborateurs, dont l’un est joué par le réalisateur lui-même) de la domination internationale de l’Anglais et de la disparition croissante de familles linguistiques, avec le risque d’une régionalisation du Kazakh en tant que langue et culture. L’autre récit porte sur l’enjeu d’une filiation, celle d’un poète également, figure fondatrice de la littérature du Kazakhstan, et dont on suit à la trace le difficile rapatriement des cendres par des dignitaires du régime soviétique épris de poésie : Makhambet, qui fut assassiné en 1846 pour avoir résisté à la main-mise de l’empire russe sur son territoire.

D’un poète à l’autre

Les deux récits creusent une seule et même problématique, à deux siècles d’intervalle ou presque, l’un et l’autre contexte constituant une période charnière, de transition, troublée, instable : comment le poète, figure de résistance et d’intransigeance, avec son refus de toute compromission, son attachement passionné à la liberté, sa revendication d’une langue et de tout ce qu’elle comporte de relation au monde, peut-il affronter une réalité qui l’ignore ou le mé-comprend ? Plus simplement : comment la poésie peut-elle continuer d’exister dans un monde si peu poétique ?

Cette question est vécue bien différemment par les deux poètes. Pour Makhambet, elle prend la forme d’une résistance à l’oppression, à la disparition de son mode de vie, de sa culture. A travers la dimension orale d’une poésie qui célèbre aussi bien la terre que la liberté des habitants de la steppe contre le tsarisme ou le pouvoir des sultans corrompus, c’est son être même face à l’impérialisme des Etats ou des clans que défend Makhambet, et il est prêt à aller jusqu’au bout dans ce combat, jusqu’au sacrifice. Face à lui, le pouvoir, à travers ses sbires inféodés à la raison d’État, ne pèche pas par indifférence à la poésie, bien au contraire : si l’on s’en prend à Makhambet, si on menace sa vie et celle de sa famille, qui vit pourtant retirée, c’est que la parole a, dans sa société, un poids considérable, un statut d’autorité peut-être équivalent au pouvoir du souverain. Dans le monde de Makhambet, la poésie est politique, même quand elle ne fait que chanter un célébrer de soleil, les beautés de la nature ou bien l’amour. C’est parce qu’elle est sacrée, en tant que chant, en tant que parole de vérité, qu’elle est dangereuse, et qu’il convient de la domestiquer. Aussi bien propose-t-on à Makhambet une transaction : il lui suffirait d’écrire un poème en l’honneur du sultan pour rentrer en grâce et obtenir le pardon de sa rébellion. Si peu, en somme… quelques mots innocents suffiraient. Makhambet regarde longuement son interlocuteur… et lui crache dessus.

Cette offre qu’on ne peut refuser

Retour en 2022 (ou 2020, qui correspond à l’époque où le film fut tourné, en pleine pandémie). Un monde si différent de celui que connaissait Makhambet, qui ne connaissait pas la moindre ville. Almaty est une métropole de presque deux millions d’habitants, dimensions modestes par rapport à d’autres villes du monde, mais importantes pour un Etat de vingt millions d’habitants, même si elle n’en est plus la capitale. C’est une ville polluée, et en voie de gentrification pour certains quartiers, dont le film nous donne un aperçu. Les classes moyennes y vivent cependant fort modestement, comme le poète dont on suit le parcours, mais suffisamment bien pour éprouver de temps à autre les tentations de la société de consommation : errer dans un centre commercial rempli de produits high-tech, d’écrans digitaux de toutes sortes, de postes de télévision rutilants, de téléphones portables dernier cri, s’acheter une nouvelle paire de chaussures, une grosse voiture (qu’on imagine gourmande en carburant)… Didar éprouve plus fortement cette tentation lorsqu’un homme d’affaires richissime lui propose, à l’instar du sultan qui voulait soudoyer Makhambet, d’écrire un roman sur son histoire familiale et son ascension personnelle : un roman à sa gloire, en somme. Le jeune poète se laisserait bien acheter : « nous te ferons une offre que tu ne pourras refuser », dit le mécène sur un ton qui se voudrait facétieux…

Du sultanat au centre commercial

L’histoire semble se répéter, mais l’analogie s’arrête là, car le film bifurque aussitôt, par le biais d’un voyage dans une petite ville de province où le poète a été invité à donner une lecture de son œuvre en public. En public, c’est beaucoup dire… La grande différence avec l’époque de Makhambet, c’est qu’aujourd’hui, plus grand-monde ne s’intéresse à la poésie. Celle-ci a perdu son pouvoir de nuisance, sa dimension politique, en perdant sa popularité. Le passage de l’oralité à l’écrit serait-il en cause ? Est-ce vraiment cela, la défaite de Makhambet ? Peut-être… Mais ce qu’on voit surtout, c’est la prolifération de la laideur, de la banalité, de la médiocrité marchande dans un monde sans âme : comme la musique qu’on subit à volume élevé dans les centres commerciaux. Le réalisateur confie d’ailleurs, dans la conférence d’après-film, qu’il s’agit là d’une expérience vécue ; son fils ayant travaillé dans un centre commercial pouvait témoigner que la musique à fort volume est une stratégie de marketing assumée et imposée par les marques tant aux consommateurs qu’aux employés.

Le véritable ennemi du poète aujourd’hui n’est donc plus le sultan, mais le centre commercial.

Miracle

Paradoxalement, le film pourrait bien s’avérer optimiste malgré tout. Car Didar, lui, n’aura pas à subir le destin de Makhambet. Le fait que tout le monde l’ignore ne lui laisse pas seulement la vie sauve, mais lui donne une liberté immense, bien plus grande que celle dont pouvait rêver l’inflexible Makhambet : il peut écrire ce qu’il veut, sur ce qu’il veut, pour qui il veut. Même des poèmes politiques. Et qui sait ? Il se trouve toujours une lectrice émerveillée, à l’image de la jeune femme bègue qu’il rencontre, seule auditrice du public absent à sa conférence dans l’improbable petite ville de province où l’accueille une famille d’élus locaux avec autant d’égards que de maladresse touchante, pour donner sens à son choix de vie. Le miracle se produit alors : au moment où la bègue récite les vers de ce poète qu’elle apprécie et connaît depuis longtemps, elle ne bégaie plus, sa diction est parfaite.

« Mes amis, nous venons trop tard », écrivait Hölderlin. Et si c’était justement cela, la chance du poète ?

Tags : Almatycritique de cinémaDarezhan Omirbayevempire russefilm kazakhHölderlinKazakhstanMakhambetMiguel CoelhoPoètes
Article précédent

Une époque formidable

Article suivant

Témoignage d’un Séfarade

Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

Article suivant
Birdhouses © See ming Lee

Témoignage d’un Séfarade

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?