• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 22 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Quand son corps devient sa prison – Interview de Nadalette La Fonta Six

Martine Konorski Par Martine Konorski
30 octobre 2018
dans Société(s), Philo-spirit(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
he just got up and walked away / il s’est juste levé et a marché au loin

Entretien avec Nadalette La Fonta Six, une rebelle emprisonnée dans son propre corps. Auteur du livre Le Roseau penchant, histoire d’une merveilleuse opération, qui vient de paraître.

Martine Konorski : L’hôpital a été votre prison, pendant de longs mois, c’est ce que vous racontez dans votre livre Le Roseau penchant…

Nadalette La Fonta Six : L’emprisonnement est devenu l’écho familier de ma vie. Récemment, emmurée, embastillée pendant neuf mois – symbolique indéniable – dans un hôpital, je me suis retrouvée paraplégique à la suite d’une opération chirurgicale hasardeuse. Cet emprisonnement, cet état larvaire, sécuritaire et sécurisé, affolant et irréel, je l’ai vécu non plus comme actrice, mais comme spectatrice de ma vie. Après avoir quitté le tout carcéral hospitalier, il m’a fallu ensuite plus de deux ans pour retrouver une vie conditionnelle, semi civile, imparfaitement socialisée, sans autonomie, en liberté surveillée et commencer à penser par moi-même, pour moi-même. Avant. Étais-je libre ? je n’aurai pas l’outrecuidance de dire cela. Je menais la vie des femmes de ma génération, écartelées entre nos désirs contradictoires, les croyances qui nous encombrent, les loyautés que nous nous imposons. Travail, famille, amitiés, culture et réseaux. Cadre certain, restreint. Théâtre en cinq actes pour remplir le vide, ou se frayer chemin. Frénétiquement, certes, mais une frénésie apparemment choisie. Choisie, c’est là toute la différence entre divers emprisonnements, dont je peux témoigner. Course, hyperactivité, combats professionnels, marathons affectifs, voyages incessants, décalages horaires, épuisement, fatigue, obsessions. Mais j’avais le choix dans mes contraintes, le choix des instants, du moment, des rythmes, des mouvements, de sortir, de rentrer, de m’allonger, de courir, de danser, de jouir ou pas. Et ce jour fatidique du 15 octobre 2014, mon corps a baissé les armes devant une scoliose dégénérative gigantesque. J’ai alors dû me soumettre au verdict : sans opération, point de salut. Sans arthrodèse, mon seul horizon à terme serait mes pieds, le corps effondré, le regard fixé sur le sol, comme ces petites dames courbées à l’horizontale, en « promenade » entre leurs murs.

MK : Comment un lieu de santé peut-il devenir un espace quasi carcéral ?

NLFS : Que me proposait-on avec l’arthrodèse ? ce nom barbare n’est autre que celui d’une « cage », à l’intérieur de son propre corps. En effet, ma colonne vertébrale allait être découpée, extrudée, entourée de deux gardes- chiourmes de titane, deux tiges de métal, pour me redresser, me remettre dans le juste alignement, pour annihiler mes zig et mes zag, mes honteuses distorsions, mon anormalité préférée. J’allais avoir en permanence deux tiges de métal pour tuteurs, et hop, on haubane, on tiraille, on redresse, la colonne est allongée, normalisée, et on reboulonne tout cela, des grosses vis bardant le corps comment autant de pointes de crucifixion. Madonna harnachée, mais version gore. Et voilà qui a été fait : une « merveilleuse opération » et un emprisonnement de ma carcasse ! Et puis, l’opération ne s’est pas très bien passée…

MK : Votre capacité à transformer l’accident opératoire, à travers l’écriture est un sursaut de vie surprenant, comment avez-vous fait ?

NLS : Oui. Cet accident opératoire m’a fait basculer dans l’écriture. J’ai eu besoin de témoigner, depuis les souvenirs de l’enfance jusqu’à ma vie de femme d’aujourd’hui. J’ai soudain réalisé comment l’enfance nous dessine, couple et famille dans l’épreuve, handicap, maladie. Le livre que je viens d’écrire n’est pas àmon propos, il parle de vous, de nous, il parle de comment vivre, de l’urgence de vivre sa vie, en liberté, en conscience, la vie à côté de laquelle nous sommes tous passés, probablement, à un moment… Je crois que l’épreuve accélère cette prise de conscience. Je ne détiens nullement une vérité absolue. J’ai juste écrit « Ma » version de mon histoire et de ma libération, avec pourtant déprivation de mes libertés. Une de mes croyances est que rien ne nous arrive par hasard. Je crois au destin, non pas comme une entité toute puissante et menaçante, mais comme un fil directeur de l’acrobatie de la vie, une « belle » possible, offerte par moments. Sans enfance, on se crée la vie qu’on peut. Mon enfance a été maltraitante, à la limite du vide sidéral, enfant prisonnière du non-désir, du non-amour et de l’absence de sens. Le rêve est la première liberté dont on ne peut priver nulle prisonnière, jeune ou moins jeune. Mes parents n’ont pu me couper de mon imaginaire et de la fuite dans la littérature. La paraplégie aujourd’hui ne peut pas m’empêcher de rêver. Mon rêve d’écrire, posé à 18 ans, avait été enseveli par la nécessité de me sécuriser dans une existence sociale et professionnelle intense. Écrire a donc été un bénéfice inattendu de l’épreuve actuelle de mon opération… 40 ans plus tard.

MK : Comment fait-on pour passer de la vie de business woman à la voie de la résilience ?

NLS : Mon destin de femme, c’était de faire d’abord mentir les malheurs de l’enfance et de ne jamais souffrir ou le moins possible, de me protéger. Dans mon enfance, ma devise a toujours été, « même pas mal », pour taire ma douleur, et je suis sortie de l’adolescence vers la vie adulte grâce à cette croyance folle en ma toute-puissance. Ce n’est pas par hasard que j’ai donc choisi la voie de la réussite professionnelle et sociale, m’y enfermant, avec bracelet électronique. On troque une prison pour une autre… jusqu’à comprendre. J’ai fait partie de cette « race de femme dites fortes », que rien ne semblait pouvoir atteindre. Ce n’est pas par hasard que je n’ai pas su entendre les plaintes de mon corps ; le déni permanent de mon ressenti m’a asservie, puis desservie et je suis allée jusqu’à me mettre en danger, avec cette scoliose qui a fini par atteindre 73 degrés. Peut- être que ces étapes étaient nécessaires pour quitter le masque… Par force en 2014, j’ai donc dû lâcher ma résistance physique et mentale inlassable, ma capacité à tout faire, mon temps hyperactif, ma toute-puissance illusoire, qui me semblaient indissociables de moi, de ma vie. J’ai été dépossédée de ma liberté, de ma vie de femme, de mère, d’épouse, de pivot central et d’animatrice. Je n’avais plus de vie professionnelle, sociale, associative, je ne pouvais plus ni lire, ni écrire… Je n’étais plus le conducteur de ma vie. Mais j’ai alors découvert que, aussi douloureux qu’aient été ces pertes et ces renoncements, rien n’entamait ce que je suis vraiment. Au contraire je vivais profondément, malgré l’immobilité imposée, dans l’enfermement de l’hôpital, l’isolement, la solitude. Il me restait à réapprendre l’essentiel. Aujourd’hui, j’apprends à écrire, et à dire, à trouver mon autonomie… Paraplégique, je réapprends concrètement à marcher. Extraordinaire capacité de l’être humain à trouver en lui des ressources qu’il ignore, à une conscience nouvelle, inattendue,à évoluer. C’est différent pour chacun d’entre nous, mais c’est notre capacité à devenir, à rester libre dans sa tête et son cœur, à croire en demain, à ne pas baisser les bras et surtout à imaginer, créer, trouver un sens, à se projeter, à avoir un projet. Cela ne veut pas dire que dans l’épreuve, on échappe aux étapes inéluctables, le choc, le déni, la négociation, la colère, le chagrin puis une forme d’acceptation. C’est là qu’intervient la résilience, cette force de vie, de vivre, qui élabore un sens, fait sortir de l’ornière et du statut odieux de personne asservie, contrainte, de victime… c’est la capacité de résilience qui permet de surmonter l’épreuve quelle qu’elle soit.

MK : La rage de la rebelle que vous êtes vous laisse-t-elle un peu de répit ?

NLFS : Chaque chagrin est réel et nécessaire, on a le droit d’être révolté, triste, en colère. Mais, à un moment, il faut savoir que l’épreuve est, hélas, un enseignement, et on apprend alors à écouter et à lâcher. Lâcher le rêve d’avant, la vie d’avant, ne pas l’oublier puisqu’elle fait partie de soi, mais ne pas pleurer sur le passé ni sur soi. Aujourd’hui, une partie de mon corps reste fortement paralytique, j’ai peu d’équilibre, la marche est incertaine, mais je suis debout. Je sais que je vais trouver autre chose au bout du chemin mais je ne sais pas encore quoi. Que les autres acceptent ou pas mon état, j’apprends à vivre sans eux, ou du moins sans besoin de leur approbation. J’accepte leur compréhension, leur aide, leur amour s’ils le veulent bien, c’est tout. J’ai un regret, j’aimais, danser le rock, mais c’est un rythme trop déséquilibrant pour un corps douloureux et une chute peut être fatale, mais si je suis dans des bras et des mains accueillantes, respectueuses, le rythme est toujours là, le rythme c’est la vie. Et puis, j’avais peur de l’eau, elle est devenue apaisante, portante, nous nous apprivoisons, c’est lent mais nouveau. Je suis obligée d’oublier ma rébellion, pour trouver le répit. Je ne peux plus faire mille choses par jour et je fais des choix qui tiennent compte de moi, au lieu de m’ajuster aux désirs des autres, ou à la convenance sociale. Je me dis que je suis finalement libérée. Mais je rage encore de ne pouvoir prendre mes pieds et sortir seule, libre dans la rue, à ma guise ; passer cet hiver, enfermée chez moi, m’a vidée. Je veux absolument arriver à sortir seule de nouveau… j’aurai mis trois ans à accepter le déambulateur !

MK : Comment être libre dans sa tête et prisonnière de son corps ?

NLFS : Les choses vont bien, songez, d’où je viens ! 59 premières années qui ont été
difficiles mais riches. Et puis je pense à ceux qui m’entourent et qui m’aiment. Je revois mon réveil, emmurée dans mon corps, embastillée pendant neuf mois dans un lit. J’ai changé ma relation à moi-même, en étant obligée de ne plus rechercher la perfection, de ne plus répondre aux attentes convenues, de lâcher la toute puissance, l’obligation de réussir (le gros mot !), je suis forcée aussi de changer ma relation aux autres. Je n’ai plus d’attentes démesurées, à la hauteur de l’exigence que j’avais vis-à-vis de moi ; Les autres sont ce qu’ils sont et je fais avec, ou pas, si cela ne me convient pas. Je n’attends plus, je n’espère plus, je suis contente de ce qui est, et pour ce qui n’est pas, c’est à moi de trouver ma solution. Bizarrement, je me sens libre dans ma tête, inaliénable, libérée d’une certaine dépendance psychologique ou affective, et par conséquent je ne me considère pas comme une victime. Entendons-le bien, j’ai un réel handicap qui m’amène à trouver ses solutions, mais je ne suis pas réduite à mon handicap et à sa prison, et je ne me définis pas comme handicapée. Parfois je demande de l’aide, je n’aime toujours pas demander, car cela me semble discourtois et je crains toujours le rejet, mais je vois bien que c’est parfois nécessaire et j’apprends à le faire : « merci, s’il vous plaît, merci » ! Et quand l’aide n’est pas possible, j’invente un plan B sans état d’âme. Je ne me sens pas frustrée, je suis libre. Mon ego est désormais ailleurs, axé sur l’essentiel… Victime d’un accident opératoire, je ne suis aujourd’hui prisonnière de rien, ni de personne.

Entretien réalisé par Martine Konorski

Tags : handicapinterviewLe roseau penchantMartine KonorskiNadalette La Fonta Sixprisonrésiliencescoliose dégénérativetémoignage
Article précédent

Fermer les prisons, c’est possible

Article suivant

L’évadé d’Alcatraz

Martine Konorski

Martine Konorski

Martine-Gabrielle KONORSKI est de nationalité française et suisse. Elle est auteure de poésie et musicienne. Ses derniers livres : Adesso (Black Herald Press), Instant de Terres (L’Atelier Du Grand Tétras), Et si c’était là-bas (livre d’artiste Les Cahiers du Museur-Coll. A côté), Bandes d’Artistes (livre d’artiste-Lieux Dits), Bethani suivi de Le bouillon de la langue (Le Nouvel Athanor), Une lumière s’accorde (Le Nouvel Athanor), Je te vois pâle … au loin (Le Nouvel Athanor- Prix Poésie Cap 2020), Sutures des Saisons (Caractères). Ses textes sont aussi régulièrement présents en revues. Martine-Gabrielle KONORSKI réalise également des créations au théâtre : soirée autour de Bethani au Théâtre Les Déchargeurs (Paris). Lectures musicales pour percussions et voix au Théâtre du Nord-Ouest (Paris). Accords, dialogue entre ses textes et la musique de Federico Mompou au Théâtre Les Déchargeurs. Par ailleurs, elle est administrateure de L’Union des Poètes & Cie, membre du comité de rédaction de la revue Les Carnets d’Eucharis, a été présidente du jury du concours « Faites des mots en prison » organisé par le Ministère de la justice. Après des études d’anglais, de droit et de sciences politiques, elle a mené une carrière internationale dans la communication en France et aux Etats-Unis. Elle est Chevalier dans l’Ordre national du mérite.

Article suivant
Image extraite du film

L'évadé d'Alcatraz

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?