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Les rébellions dans Star Wars VII

Christophe Diard Par Christophe Diard
2 janvier 2016
dans Geekologie(s), Philo-spirit(s), Société(s)
3
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© photo : "stormy parade" par leg0fenris
© photo : “stormy parade” par leg0fenris

Avertissement : l’article contient une analyse du film qui peut gâcher le plaisir de sa découverte, ce que d’aucuns appellent « spoiler ». Si vous n’avez pas encore vu le film, il est formellement déconseillé de lire ce texte…

Dans le nouveau Star Wars, la rébellion est à l’honneur. Que ce soit collectivement, dans la résistance à la marche du « Premier Ordre », dirigé par les Siths ; ou individuellement, lorsque certains personnages font des choix qui changeront leur vie à jamais.

Le film tourne autour de cette notion : changer son destin, pour s’accomplir ; changer son destin, pour devenir soi-même.

Comment la rébellion peut-elle nous amener à l’oracle de Delphes, à « connais-toi toi-même » ?

Rebelle(s) s’intéresse à cette question, au travers du prisme de la notion de rébellion dans le nouvel opus de cette saga intemporelle.

La vie suit tranquillement son cours dans l’univers Star Wars, trente ans après la disparition de Dark Vador et de l’empereur des Siths. La vie, ou plutôt, la mort…

En effet, la République n’a pas pris le contrôle de la galaxie, loin de là, puisque les Siths n’ont pas disparu avec leur chef. Un « Premier Ordre » s’est crée, non sans rappeler au spectateur, par sa gestuelle, le conditionnement de ses troupes, ses crimes de masse et sa volonté d’absolutisme, le troisième Reich ou certaines formes du terrorisme.

Ce nouvel ordre apparaît presque plus organisé et plus terrifiant que lors des deux premières trilogies. Leur volonté de destruction de toute forme de lumière est menée par un trio complémentaire et très puissant : Snoke, dont l’identité reste mystérieuse dans cet épisode, grand manitou – tête pensante qui nous fait penser aux descriptions passées de l’ancien grand maître Sith Dark Plague ; Hux, le commandant d’armée interprété par un rouquin dictatorial et last but not least Kylo Ren, chevalier Sith, chef de l’ordre des Ren, héritier de Dark Vador…

Pour lui, toutes les exactions sont bonnes, les massacres sans justification également. Kylo Ren semble obsédé par la disparition de toute positivité dans l’univers. Et pour lui, le dernier rempart contre la victoire du côté obscur s’avère être… Luke Skywalker. Celui-ci a disparu depuis bien longtemps, dans des circonstances qui demeurent mystérieuses et qui seront élucidées, au moins en partie, pendant le film.

Plutôt une bonne cuvée

Voilà pour le décor de ce Star Wars, plutôt une bonne cuvée surtout comparée aux trois précédents volets. L’obsession passée pour les effets spéciaux et les personnages secondaires manquant de sérieux ou de charisme, ou uniquement plantés là, sur l’écran, pour faire vendre des figurines (Jar Jar Binks…) aura créé un schisme entre beaucoup de fans et cette « franchise » (oui, un terme malheureux, également utilisé pour les fast-foods ou les magasins de vêtements).

Cette fois-ci, il y a plus d’application dans le scénario, et une plus grande rigueur dans le développement de l’histoire. On retrouvera les mêmes poncifs que dans les précédents volets : le rapport au père, voire le parricide, la volonté de puissance, le bien contre le mal et un mimétisme certain se dégagera si on compare avec le tout premier Star Wars sorti au cinéma. Mais quitte à manquer d’imagination pour créer un univers qui tienne la route, autant s’inspirer de quelque chose de beau, et qui a marqué les esprits, plutôt que de se contenter d’accumuler les courses poursuites ou les combats au sabre laser.

Parlons un peu, donc, de la notion de choix chez des personnages souvent torturés

Mais ne lisez pas ce qui suit, vraiment, si vous voulez découvrir le film par vous-mêmes.

La notion de choix dans Star Wars VII

Car c’est ce qui nous intéresse précisément, ici : le choix.

Les personnages sont mis devant leur destin et le film bascule véritablement lors du premier véritable choix, effectué par un Stormtrooper faisant partie de l’armée du Premier Ordre. Ce guerrier sera le premier héros du film : jusque-là condamné au tri des poubelles, puis affecté en tant que fantassin, le numéro FN-2187 ne supporte pas les exactions, ni l’injustice. Alors, il va faire le choix de s’enfuir, et d’échapper à son destin de tueur de masse. C’est ici la rébellion d’un mouton dans le troupeau, une rébellion positive, pour ne plus être mouton, et pour ne pas devenir non plus berger (pour lui, un jour avoir une promotion pour devenir chef de massacre, comme ce Stormtrooper différencié des autres uniquement par une petite épaulette rouge…)

Au départ, il va agir en fuyard, en lâche aussi, puisqu’il va se contenter de vouloir fuir le plus loin possible, jusqu’à sa rencontre avec le deuxième héros du film, plus précisément une héroïne, la très énigmatique Rey. Cette guerrière courageuse ne sait pas qu’elle l’est, et va « poser son regard comme personne ne l’avait jamais fait auparavant » sur lui, le simple numéro FN-2187, dorénavant doté d’un prénom : Finn.

Ce premier choix initie véritablement la trilogie et reprend un thème déjà vu maintes et maintes fois dans l’univers Star Wars : passer de l’obscurité à la lumière, et inversement. La frontière est mince entre les deux : si le chemin vers la Force peut paraître tourné vers l’émancipation, il cache une réalité plus sombre qu’il n’y paraît, surtout lorsqu’on parle des Jedis.

Rébellion lumineuse et positive contre rébellion obscure

En effet, si les Siths paraissent sombres et uniquement concentrés sur leur volonté de contrôle et de domination du monde, eux-mêmes pensent que leur cause est juste : faire régner l’ordre par la force. Alors que les Jedis ne font que se défendre, en sortes de moines guerriers. Mais qu’en est-il en réalité ? Devenir un Jedi implique une vie consacrée à la Force, dénuée d’amour humain, puisque tout est Force, et sans réel attachement, sans réelle émotion, sans finalement d’autre humanité que le sabre laser et la cause de la défense de la Lumière.

Mais cette lumière peut aveugler, et on peut vouloir la fuir, tout comme Anakin l’avait fait pour devenir Dark Vador, par colère. Et cette colère mène en effet au crime, à une rébellion noire, négative, et marquée par les massacres. Elle mène vers le côté obscur de la Force, qu’il faut entendre ici par une volonté de puissance destructrice, presque « contre nature ».

Le cas des Siths est de toute façon entendu : ils choisissent la voie de la domination, de la négation, une sorte de nihilisme en action.

Mais ce sont les Jedis qui intriguent le plus : souvent plongés dans une volonté d’exil, de tempérance, lorsque la situation devient trop difficile à soutenir (Yoda et Obi Wan, après leurs combats contre l’empereur et Anakin à la fin de la première trilogie ; ici, Luke, qui part méditer lorsque Ben, le fils de Han Solo et Leïa, en pleine formation pour devenir un Jedi, se rebelle, se révolte et détruit tout, passant du côté obscur).

Les Jedis ne sont pas parfaits, loin de là. Qu’en est-il, pour eux, de la rébellion qui libère ? Pour domestiquer leur part d’ombre, leur solution est bien souvent de se tourner vers la Force, et de méditer, de s’exiler, dans une volonté quasi comparable au bouddhisme. Mais pendant ce temps-là, des choses se passent, et par exemple, Ben, le fils rebelle, devenu Kylo Ren, détruit le monde autour de lui, autant qu’il le peut. Sa rébellion à lui est purement adolescente, négative, et son personnage en devient d’ailleurs caricatural et parfois ridicule (destruction d’un tableau de bord entier lorsqu’il échoue une mission, comme un enfant qui casse un jouet ; colères mémorables pour finalement pas grand-chose ; se frapper le torse et sa blessure pour en vider du sang à la fin du film, et montrer une forme de virilité, comme un gorille se tape dessus pour montrer sa force) : il ne semble que binarité, sous couvert d’une complexité que finalement il n’a pas du tout. Il n’est pas tiraillé entre le bien et le mal, il a clairement choisi son camp, et un retour du côté lumineux semble très lointain, contrairement à Dark Vador, dont il se réclame, qui a finalement choisi, lui, à la fin, sa part de lumière plutôt que sa part de colère.

Kylo Ren, pour des raisons encore obscures dans ce premier nouvel opus, a justement basculé du côté obscur, et pour le moment, il n’est évoqué qu’une rébellion adolescente, bien que compréhensible, on l’a vu, contre l‘ordre des Jedis. On se demande d’ailleurs pourquoi : parce qu’on lui a refusé d’aimer, ou d’avoir des attaches ? Par manque de savoir-faire de son formateur, Luke ? Parce que son père l’a déçu ? On en saura probablement davantage dans la suite des épisodes de la saga. Ce fut en tout cas, de sa part, une rébellion contre l’autorité, non pour affirmer des valeurs qui lui soient propres, mais pour fuir simplement un carcan qui l’étouffait sans doute. Il ne lui restait que le choix du côté obscur. Ce qui peut être reproché, d’ailleurs, l’existence dans cet univers de seulement deux voies, le bien et le mal, la lumière qui peut éblouir, ou le pouvoir absolu et absolutiste. Un peu binaire, tout de même.

Kylo Ren vouant un culte à son grand-père, qui pourtant avait fait le choix de la lumière à la fin, veut achever « ce qu’il avait commencé »…

Une rébellion d’autodidacte(s)

Les deux choix purement rebelles, et positifs, effectués dans le film sont finalement assez clairs, et tendent vers une lumière nettement plus autodidacte que dans les premières trilogies : nos deux héros n’ont reçu aucune formation, et c’est en francs tireurs absolus qu’ils vont contribuer à sauver la Résistance.

Un simple « stromtrooper », on l’a vu, qui a une révélation, une prise de conscience, un véritable hapax existentiel face à un massacre, confronté à la mort d’un compagnon qui lui laisse une marque de sang sur son casque. À jamais le conditionnement opéré sur lui est brisé, et il s’enfuit, se montrant de plus en plus courageux et de moins en moins lâche, prenant son destin en mains, devenant finalement lui-même.

Il rencontre, dans sa quête, la jeune Rey, qui elle-même attend quelque chose, comme le retour d’une famille qui l’aurait abandonnée, et qui va faire le choix de quitter son trou perdu, tout comme Luke dans la première trilogie (coïncidence ?), de suivre un petit droïde et d’accompagner Finn, pour accéder à un savoir sur elle même qu’elle n’aurait jamais obtenu autrement. Elle est un héros, elle est elle-même potentiellement un Jedi, et elle s’emparera du sabre de Luke (son père ?) pour combattre Kylo Ren, et ainsi devenir complètement elle-même : une guerrière innée, (les Midichloriens sont-ils passés par là ?) au style de combat au sabre laser, si on observe attentivement l’écran, bizarrement très proche de celui de… Dark Sidious… L’ancien Empereur des Siths, décédé…

Le bien et le mal : un manichéisme simpliste, réducteur mais universel

La rébellion dans Star Wars 7 est donc protéiforme : négative pour l’antéchrist de cette nouvelle série d’épisodes, positive pour les deux nouveaux héros que sont Finn et Rey.

Elle nous offre une réflexion sur la possibilité du choix, le bien ou le mal, le bon ou le mauvais pour soi et pour les autres. Une réflexion à première vue simpliste et réductrice. Il est évident que tout ne se résume pas dans la vie à deux directions, et penser de cette manière ne permet pas de s’élever intellectuellement. Néanmoins, dans tout grand mythe, ou grande saga, il existe toujours des représentations du bien et du mal, incarnées par des personnages charismatiques, et créant des repères efficaces ainsi que des mises en abîme permettant au lecteur ou au spectateur de se projeter dans ces histoires.

D’où le côté universel de Star Wars.

Enfin, les choix effectués pour raconter cette aventure donnent du grain à moudre aux fans, des possibilités multiples aux scénaristes pour créer diverses suites concernant cette saga intemporelle.

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Christophe Diard

Christophe Diard

Né à Paris en 1983, Christophe Diard est écrivain. Il travaille sur des thèmes comme l’angoisse, la mémoire et la survie. Ancien collaborateur de la revue Books, ex-rédacteur en chef du magazine Rebelle(s), il est également scénariste et parolier. Auteur du livre UN CERTAIN FRÉDÉRIC PAJAK.

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