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La solitude

Christophe Diard Par Christophe Diard
16 avril 2023
dans Tribune(s) Libre(s)
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© Micael
© Micael

« Dans la solitude, le solitaire se ronge le cœur ; dans la multitude, c’est la foule qui le lui ronge. Choisis donc ! »
Friedrich Nietzsche, Humain trop humain

Les gens sont devenus des îles, isolées les unes des autres par des océans qui forment des mares d’incompréhension. Notre époque nous incite à communiquer, partout, tout le temps, et paradoxalement, elle nous plonge dans un abîme de solitude. Cette communication permanente détruit le lien d’homme à homme, le lien qui unit deux solitudes entre elles pour en former une troisième. Cet aphorisme de Nietzsche «À force de contempler l’abîme, c’est l’abîme qui finit par te contempler» illustre mieux que quiconque ne pourrait le faire ce qu’est en réalité la solitude: un refuge sans fond. Comme une grotte dans laquelle on n’aurait jamais fini de s’enfoncer.

De l’enfance à la solitude

Tout part de l’enfance, ce moment de la vie où Dieu est partout, tout le temps. Ce temps de l’innocence, où la solitude a du mal à se faire sentir. Sortir de l’enfance, c’est faire face à la solitude. Sortir trop tôt de l’enfance, c’est plonger dedans à pieds joints. C’est l’abîme qui guette. Dieu meurt alors dans nos vies. Comme il est mort dans notre société. J’ai perdu Dieu, mon innocence et mon enfance tout à la fois à l’âge de cinq ans. Ma première confrontation consciente à la notion de solitude se présente devant moi à cet âge-là, lorsque ma grand-mère meurt subitement. Cette femme qui jusqu’alors m’élevait, disparaît, un jour. Elle quitte l’appartement, et avec elle tous mes repères s’en vont. Personne ne me dira qu’elle est morte, personne ne me l’expliquera, ce qui me plongera dans une immense solitude, et dans une tristesse sans nom, jusqu’à ne plus me nourrir. Je dois comprendre et accepter, tout seul, la mort, et la solitude en même temps. C’est dur à avaler, et je passerai beaucoup de temps ensuite à roter mon enfance perdue, voire à la vomir. Car comme le disait Victor Hugo, «l’enfer est tout entier dans ce mot: solitude».

De l’exclusion à la solitude

On peut alors parler de solitude subie. Celle de l’exclusion, par les autres, qui peut intervenir à tout âge, tout petit comme plus tard, quand on est considéré comme un étranger. Ou quand, aux yeux des autres, on ne correspond pas aux canons de la «normalité». L’«anormal» sera condamné à la solitude. Dans les yeux des autres, il sera jugé, moqué, rejeté. Il sera lapidé, au moins moralement. C’est en général au moment de l’adolescence, et aujourd’hui de la préadolescence, que ce phénomène prend de l’ampleur. Ce moment de la vie où le conformisme règne en masse, à l’image, là encore, de notre société actuelle. Les premières confrontations à la notion d’isolement apparaissent alors. Le premier réflexe sera de s’interroger, de se demander ce qu’on a fait de mal, pourquoi on est «différent», et de vouloir faire «comme les autres», pour pouvoir de nouveau prétendre à intégrer le «groupe», la multitude chère à Nietzsche. C’est un réflexe universel, nul n’aime subir une solitude qu’il n’a point choisie. Deux chemins s’offrent alors : celui de cultiver son unicité, comme le conseillerait Max Stirner, ou celui de faire comme tout le monde, de suivre le troupeau. En devant souvent avaler les couleuvres des moqueries et en subissant des dégâts irréversibles ayant un impact crucial sur les destins particuliers. Bien plus tard, si on ne se conforme pas aux choix des autres, si on n’obéit pas au Diktat du conformisme absolu, alors on peut tout aussi bien finir à la rue, clochard ou ermite sans l’avoir choisi. L’enfer c’est les autres. Et de plus en plus.

De la nécessité de la solitude

Karl Kraus disait «La solitude serait un endroit idéal si on pouvait choisir les gens qu’on évite.» La misanthropie est une solitude choisie. Pouvoir faire le choix de cette misanthropie est un luxe, il faut être fort pour être seul. Pour imposer son univers, prendre ses propres décisions. Le monde actuel protège les faibles contre les forts. Il devient de plus en plus ardu de se montrer sûr de sa volonté de puissance, de cultiver son «quant à soi», de se plonger dans une solitude salvatrice qui puisse nous tirer vers le haut. Mieux vaut être seul que mal accompagné, est une lapalissade totalement avérée. Car le paradoxe est là: seul, nous ne serions rien, nous avons besoin des autres pour exister, pour se former, pour échanger, pour se construire. Mais nous ne pouvons pas devenir réellement nous-mêmes en nous plongeant dans la multitude, en obéissant, en écoutant un entourage, ou pire, les médias, en permanence, et en disant amen à tout. L’oracle de Delphes repris par Nietzsche «Connais-toi toi-même», implique en luimême la solitude. Comme la lecture, qui se fait rarement à plusieurs et en discutant. Ou la contemplation, qui implique le silence, ou un bruit, mais un bruit qui nous resterait étranger. Il faut savoir faire preuve de cette force pour exiger la solitude, il faut savoir se montrer misanthrope et oser combattre la mélancolie qui découle naturellement de l’isolement. C’est seul, en prenant du recul, qu’on cultive son unicité, et qu’on devient quelqu’un d’accompli. C’est en acceptant le paradoxe entre la solitude et la multitude qu’on parvient à une forme d’équilibre. Ou de déséquilibre productif. Et avec un peu d’imagination, d’ennui, et de chance, on peut parvenir à créer. C’est-à-dire, enfanter une œuvre.

De la solitude à la création

Goethe s’exprimait ainsi «Toute production importante est l’enfant de la solitude». Une des issues à la solitude est la création. «La vie est un pendule qui oscille de la souffrance à l’ennui», ou avec un peu plus d’entrain que Schopenhauer on pourrait dire «de l’ennui à la création». L’ennui qu’implique parfois la solitude ouvre une porte invisible aux yeux de beaucoup sur la création. On peut même s’interroger: serait-ce par ennui que des hommes, par le passé, ont peint dans des grottes, un déclic se serait-il établi qui les aurait entraînés à évoluer parce qu’ils tournaient en rond? L’ennui est proprement humain, trop humain. La solitude et le fait de «ne rien faire», comme le considèrent les profanes de la notion même de création, mènent, à terme, et avec un cheminement particulier, au fait même de créer. Que ce soit par inspiration, par nécessité, avec la volonté simple de reproduire son environnement, de faire passer un message, ou par souffrance, la création est au bout du chemin. Ne manquent qu’une volonté de s’exprimer, et le choix du moyen approprié pour le faire. Ce n’est évidemment pas une loi universelle valable pour tous. Le talent entre ensuite dans la balance. Mais c’est une issue positive à la solitude, que celle de se projeter dans une œuvre.

De la solitude à l’amour

L’autre issue possible à la solitude, qui permet aussi, souvent, de sortir du nihilisme, est l’amour. Notion galvaudée à notre époque. Moquée, elle aussi, lapidée, au moins par les cyniques, ou les résignés. Car qu’est-ce que l’amour, la plus belle chose qui soit, ou l’infini à la portée des caniches, comme pour Oscar Wilde? L’amour, c’est la conjonction de deux solitudes. C’est le sentiment de ne plus être «seul tout seul». C’est une libération libre de soi pour atteindre quelque chose de supérieur: c’est la solitude à deux. L’amour permet aussi de créer, l’enfantement étant une création du vivant. L’amour permet l’apaisement, la création d’un équilibre, la perte de l’illusion qu’être seul est la seule issue valable. Sans l’amour, il n’est bien souvent que solitude subie et tristesse infinie. Il n’est rien de plus tonifiant, revigorant et nécessaire que l’amour partagé, et deux solitudes enfin réunies.

Tags : Arthur SchopenhauerChristophe DiardFriedrich NietzscheKarl KrausVictor Hugo
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Christophe Diard

Christophe Diard

Né à Paris en 1983, Christophe Diard est écrivain. Il travaille sur des thèmes comme l’angoisse, la mémoire et la survie. Ancien collaborateur de la revue Books, ex-rédacteur en chef du magazine Rebelle(s), il est également scénariste et parolier. Auteur du livre UN CERTAIN FRÉDÉRIC PAJAK.

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