• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 13 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Cyprien Katsaris, un grand artiste généreux

Jonathan Levy Bencheton Par Jonathan Levy Bencheton
6 août 2018
dans Art(s), Les grands entretiens rebelle(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Cyprien Katsaris est un pianiste Classique, de renommée internationale, adepte de l’improvisation en concert. Il revient aujourd’hui, pour Rebelle(s), sur sa carrière et son parcours personnel.

Jonathan Lévy-Bencheton : bonjour comment allez-vous ?

Cyprien Katsaris : Je suis un peu enrhumé aujourd’hui. Vous savez : je reviens de république populaire de Chine car j’étais dans le jury très prestigieux d’un concours international de piano, de violon et de chant. J’ai ainsi découvert une ville étonnante près de la Sibérie qui s’appelle Harbin (d’où mon rhume !). Une ville qui a près de 10 millions d’habitants, où il fait -20/-30 degrés mais qui a ceci de particulier : pendant la seconde guerre mondiale, Staline avait autorisé des juifs soviétiques à quitter l’URSS à cause de l’avancée de ces « salopards » de Nazis, et tous ces juifs soviétiques sont allés à Harbin. Il y a deux synagogues. Et ils ont créé une grande activité culturelle, et le tout premier orchestre symphonique en Chine. Dans le jury nous avions entre autre personnalité Madame Idith Svi, de Tel Aviv, qui est la directrice de la société et du concours international de piano Arthur Rubinstein.

J-L-B : Comment avez-vous commencé le piano ?

C-K : Quand ma mère était enceinte de moi, elle avait émis le souhait d’avoir un fils qui serait chef d’orchestre. Mes parents avaient quitté Chypre et s’étaient établis au Cameroun où mon père a créé une entreprise. Il est parti de rien, c’était un self-made-man. Ils faisaient partie des très rares personnes à l’époque à avoir des 33 tours de musique classique. Donc, quand j’étais tout petit, j’écoutais déjà de la musique classique. Quand j’ai eu quatre ans, ils avaient acheté un piano. Oui, je me souviens très bien du jour où les transporteurs ont apporté le piano… Ils l’avaient placé à un endroit précis du salon. J’ai été attiré comme par un aimant et j’essayais de jouer avec un doigt. Ils m’ont tout de suite mis avec un professeur, une belle dame, grande, blonde, Mme Marie Gabrielle Louwerse, décédée il y a quelques mois. À quatre ans et demi, j’ai voulu être agent de la circulation. Ma mère se lamentait et sa meilleure copine avec qui elle écoutait des disques lui disait : « mais ne te lamente pas, tu veux que ton fils soit chef d’orchestre mais le chef d’orchestre et l’agent de police font à peu près les mêmes gestes ! ». Ensuite on est venu à Paris en 1959. En 1964, je suis entré au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (le CNSM). Donc pour résumer mes débuts : un Grec chypriote au Cameroun Français !

J-L-B : Si je vous dis Olivier Messiaen, ça vous évoque quoi ?

C-K : C’est l’un des plus grands compositeurs de ce siècle qui, contrairement à ce qu’on pourrait croire par son nom, n’est pas juif mais catholique fervent pratiquant. C’était un très grand compositeur que j’ai eu le privilège de rencontrer très brièvement, il avait écrit des choses très gentilles à mon sujet, et il était marié avec une grande pianiste Française qui avait été son élève : Yvonne Loriod. Il se trouve qu’elle avait été la première pianiste à jouer ses compositions. Elle était professeur au CNSM quand j’étais élève là-bas. L’un des grands chefs-d’œuvre d’Olivier Messiaen est le quatuor pour la fin du temps. C’est une œuvre sublime qu’il avait composé dans un camp de concentration pendant la seconde guerre mondiale sur un piano droit.

J-L-B : Vous avez collaboré avec certains des plus grands Chefs. Pouvez-vous nous en dire plus ?

C-K : J’ai collaboré avec certains des plus grands chefs en effet. Nous avons un disque du concerto Numéro 2 de Brahms avec le Philarmonia Orchestra de Londres et Eliahu Inbal un très grand chef Israëlien, marié avec une Allemande non juive (soit dit en passant). On avait joué à Londres en 1978 une œuvre de Stravinsky qui s’appelle « Les noces » sous la direction de Leonard Bernstein, lequel a composé West Side Story. C’était un des plus grands chefs du xx e siècle, concurrent direct de Karajan. J’ai aussi collaboré avec Eugène Ormandy, un chef légendaire, pendant quarante-quatre ans à la tête de l’orchestre de Philadelphie qui était l’orchestre favori de Rakmaninov. Il a enregistré ses propres concertos pour piano et orchestre avec l’orchestre de Philadelphie, la moitié avec Ormandy et l’autre moitié avec Leopold Stokowski qui était son prédécesseur. Le fameux film fantasia de Walt Disney, c’était l’orchestre de Philadelphie avec Leopold Stokowski. J’ai eu le grand privilège de collaborer avec Ormandy sur un disque consacré à Liszt.

J-L-B : En parlant de Liszt, pouvez-vous nous parler de l’improvisation ?

C-K : J’ai une théorie, c’est ce que je dis au public quand je m’adresse à lui pour improviser. Encore à Londres, récemment, au début de mon récital. J’ai dit : l’improvisation est une tradition perdue chez nous, les pianistes classiques ou dit « Classiques ». Le premier grand improvisateur c’était Jean-Sébastien Bach et tous les grands compositeurs, Mozart, étaient de grands improvisateurs. Quand Mozart jouait un concerto pour piano par exemple qu’il venait d’écrire. Au cours d’un mouvement un peu avant la fin, le pianiste, le soliste, joue tout seul, c’est une cadence. Mozart improvisait ses cadences. Beethoven était un grand improvisateur et après il y a eu Chopin bien évidemment et Liszt qui était un immense improvisateur. Liszt avait arrangé pour piano les neuf Symphonies de Beethoven. J’essaye de ressusciter cette tradition car actuellement seuls les organistes et les pianistes de Jazz improvisent.

J-L-B : C’est-ce qu’on appelle des transcriptions ?

C-K : C’est tout simplement un arrangement d’une œuvre orchestrale ou d’une œuvre écrite pour chant et piano, d’un quatuor ou d’un trio. C’est donc un arrangement pour piano à deux mains ou pour piano à quatre mains. Alors les neuf Symphonies de Beethoven ont été transcrites par Liszt pour deux mains. Ce que j’avais fait dans les années 1980 quand je les avais enregistrées, c’était de comparer la transcription de Liszt avec l’originale pour orchestre de Beethoven et j’ai voulu comprendre comment Liszt avait pu effectuer ce travail absolument phénoménal. Et puis il m’a semblé que çà et là il manquait peut-être certaines choses que j’ai voulu améliorer. Ce n’était pas dans un esprit de faire mieux que Liszt, mais de me rapprocher plus de l’originale de Beethoven. Liszt avait effectué aussi des paraphrases ou des réminiscences sur des thèmes d’Opéra. La transcription est un arrangement à peu près fidèle d’une œuvre qui peut avoir par moments une petite cadence, mais la paraphrase, c’est prendre des thèmes d’Opéra par exemple et de composer un nouveau morceau virtuose qui ne suit pas exactement l’ordre de l’Opéra. C’est un peu comme une variation, comme une dissertation : on développe. C’est donc une improvisation qui est écrite et qui est élaborée.

J-L-B : Vous avez un projet autour de la musique du film « Zorba le Grec » ?

C-K : En effet, on sort ces jours-ci un disque nommé « Grande Fantaisie sur Zorba » qui regroupe des improvisations sur des chansons de Theodorakis. Voilà un exemple de paraphrase ! On peut aussi l’appeler fantaisie. Je pensais aux Rhapsodies de Liszt qui avait pris des thèmes populaires Hongrois et Tziganes, et a composé plusieurs Rhapsodies Hongroises dont la plus célèbre a été reprise dans les dessins animés « Tom et Jerry » ou « Bugs Bunny ».

J-L-B : en 1997, vous avez été élu Artiste de l’Unesco pour la paix. Pourriez-vous nous dire ce que cela signifie ?

C-K : Je vous rappelle que je suis originaire de Chypre. La république de Chypre qui est membre à part entière de l’Union Européenne, dont la capitale, Nicosie, est la seule capitale au monde divisée (puisque Berlin a été réunifiée). Ceci suite à une invasion de la Turquie en 1974, les Turcs contrôlent 38 % du territoire Nord. Ils ont créé un état qui n’est reconnu par aucun pays au monde sauf la Turquie, le seul état légitime étant la république de Chypre. Donc ma famille fait partie des réfugiés. J’ai des amis turcs bien évidemment. On fait même des concerts pour la paix avec des collègues Turcs. J’ai été invité en décembre dernier à faire un premier récital à Ankara. Je l’ai fait gratuitement pour donner l’exemple car j’ai beaucoup de fans là-bas bizarrement. Et là, je reçois de nombreuses invitations pour des festivals, des Master-class, enfin on verra bien… Donc en tant qu’Artiste de l’Unesco pour la paix, j’aimerais aussi aller en Corée du Nord, mais tout le monde me dit qu’il ne faut pas y aller. Moi je suis pour le dialogue, pour la communication. Vous savez comme le dit L. Ron Hubbard, le fondateur de la scientologie, « l’art c’est la communication ». À travers la musique, le sport, autre chose que de la diplomatie et de la politique, on peut faire des choses importantes, vous savez ! Je considère qu’un artiste en général et un musicien en particulier, a un rôle dans la société au même titre qu’un médecin va injecter un produit dans l’organisme pour le soulager. Pendant les quelques instants d’un concert, que ce soit de la musique pop, de la musique classique ou autre, si on arrive à faire oublier au public ses soucis quotidiens, alors on a réussi quelque chose d’important pour la société. Nous vivons dans un monde où il y a beaucoup de folie, Jonathan, il ne faut pas oublier ça ! Et si un homme politique appuie sur le bouton nucléaire c’est embêtant ! Donc le rôle des artistes est primordial pour calmer un peu le jeu à travers notre art. Vous savez quand Hitler a ordonné ce qu’il appelait « la solution finale », l’un de ses bras droits lui a dit : « mais que va dire l’opinion publique internationale ? ». Il a eu cette réponse terrible, il a dit : « souvenez-vous de ce qui s’est passé en 1915 en Turquie avec les Arméniens », le 1er Génocide du xx e siècle, 1 600 000 Arméniens exterminés et quelques centaines de milliers de Grecs. À l’époque personne n’a rien dit, l’opinion publique mondiale n’a pas bougé, il ne s’est rien passé. Et Hitler l’a pris en exemple pour faire ce qu’il a fait. Donc il y a beaucoup de folie qui circule et c’est la raison pour laquelle j’ai étudié la scientologie. En effet, selon moi, la scientologie a une mission, un but qui est d’éradiquer la barbarie, de faire en sorte que la terre ait enfin une civilisation saine d’esprit et qu’il n’y ait plus de barbarie, en respectant bien évidemment les différences et les croyances des uns et des autres.

J-L-B : pour finir, nous allons parler de votre label Piano 21…

C-K : Quand le marché a commencé à baisser, certains artistes ont créé leur label. Pas dans un but financier. Personnellement j’ai perdu énormément d’argent. J’utilisais l’argent des cachets de mes concerts… Mais ça ne fait rien je le savais à l’avance. Le but c’était de continuer à enregistrer car je considère que mes enregistrements sont un don à l’humanité, comme pour vous qui êtes compositeur de musique pop ! Car ça reste après votre vie, donc c’est très important, c’est ma vie. On a maintenant quelques quarante productions sur piano 21. Tous mes enregistrements sont en digital désormais distribués par Believe (qui est un agrégateur). Nous sommes sur toutes les plateformes spotify, deezer… Nous sortons un disque en février : des transcriptions que j’ai enregistrées de Karol A. Penson, un juif polonais, grand scientifique. Il a soixante-dix ans aujourd’hui. Il était professeur à Jussieu de physique Théorique. Il a reçu un grand prix en Allemagne.

Entretien exclusif de Jonathan Lévy-Bencheton

Tags : Artiste Unesco pour la PaixCyprien KasarisinterviewJonathan Lévy-Benchetonmusique classiquepianistePiano 21
Article précédent

« La chronique du rieur jaune » – A quel Onfray faut-il se fier?

Article suivant

Le scandale de la diffusion de la poésie

Jonathan Levy Bencheton

Jonathan Levy Bencheton

Diplômé d’un master 2 de mathématiques de l’Université Paris IX Dauphine, Jonathan travaille dans le secteur de l’immobilier social. Par ailleurs, il mène en parallèle une carrière de musicien qui l’amène à aborder la chanson française ainsi que la musique à l’image, passé notamment par Universal Music Publishing, il aime interviewer les artistes qui le passionnent.

Article suivant
Autoportrait et philosophie

Le scandale de la diffusion de la poésie

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?