• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 14 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Un homme heureux

Une bande dessinée avec Cioran pour héros, mais pas que…

Eric Desordre Par Eric Desordre
5 mars 2023
dans Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Un homme heureux Emil Cioran Editions Rivages
Un homme heureux Emil Cioran Editions Rivages –

Il y a quelques mois, nous nous excusions à la fois auprès de vous, chers lecteurs, et auprès de l’auteur Patrice Reytier d’avoir raté sa proposition de publier en feuilleton dans votre journal préféré. Il s’agissait de certains aphorismes d’Emil Cioran mis en bandes dessinées dans des scènes de promenades parisiennes mélancoliques (1).

Nous sommes cette fois-ci un peu plus rapides à vous écrire tout le bien que nous pensons de ce très joli nouveau livre de notre tandem philosophico-graphique gagnant : de Cioran et Reytier, « Un homme heureux » est paru en janvier 2023 aux éditions Rivages.

 

Nous tenons ce livre pour un travail de haute ambition. Non pas tant dans le seul choix éclectique des thèmes illustrés, constitués d’inédits d’Emil Cioran : l’art, les artistes, la musique, la religion, la politique… qui nous permet de discerner l’ensemble de ces activités humaines au prisme d’un esprit foncièrement interrogateur dans ses allégations définitives, que par le traitement graphique associé qu’a effectué le dessinateur Patrice Reytier : un art métaphysique d’immobilité contemplative.

Essayons de nous en expliquer dans une subjectivité totalement assumée de lecteur foutraque.

Une découverte en plusieurs étapes

Ayant lu l’ouvrage deux fois à quelques semaines d’intervalle, je me suis surpris à me concentrer dans un premier temps sur la seule lecture du texte de Cioran. En effet, celui-ci nécessite une mobilisation exclusive des cellules grises (des miennes en tout cas), compte tenu de l’attention intellectuelle qu’il peut exiger pour en saisir la perspicacité toute pleine d’apparents paradoxes.

Ce n’est qu’ensuite que j’ai pu me laisser porter à la contemplation des dessins de haut voltage, saturés d’un nombre d’or rémanent bien que variable.

Enfin, c’est à la troisième lecture que texte et dessins se sont révélés comme profondément liés, faits l’un pour les autres. Il me fallut du temps pour les associer en un tout fluide et cohérent qui fait la matière du livre.

Il apparaît donc que cet ouvrage est beaucoup plus exigeant qu’il se profile au premier abord. Mais aussi beaucoup plus jouissif, car il s’agit bien là de jouissance au sens de la dissolution, bien dans l’appétit philosophique de Cioran, jouissance faisant écho au titre assumé d’Un homme heureux.

Des statues vivantes

Où se trouve la différence entre les êtres, les choses et les choses représentant les êtres ?

C’est une des questions soulevées par le livre, sans qu’une réponse y soit apportée. Un David nous regardant intensément de ses yeux de marbre et un Moïse de douceur plutôt que de courroux, tous deux extraits d’une basilique monochrome paraissent plus vivants que les vivants.

Seules les pages consacrées au « destin du penseur » où Cioran est saisi à sa table de travail m’a paru dynamique, c’est-à-dire à l’opposé de statique. Paradoxe : pourquoi le dessinateur a-t-il ou semble-t-il avoir concentré l’expression de la vigueur d’une pensée dans l’image d’un homme assis à son bureau, de prime abord n’ayant l’air de parler qu’à lui-même, avec pour seul témoins les fleurs rouges du bouquet d’un vase seulement deviné puisqu’absent du cadre et, posés sur un encadrement de fenêtre, les livres dont on ne peut lire que certains des noms des auteurs : Nietzsche, Dostoïevski, Dickinson, Mallarmé ?

Cet « épisode » du philosophe qui peut au second regard sembler nous parler avec une calme véhémence, dans une quasi-émission télévisée, est situé entre celui prenant place dans un monastère bouddhiste à la discipline orange rigoureusement contrainte et les vues d’une bibliothèque publique remplie de livres mais absente à ses lecteurs, expression absolue du tao, le vide plein.

De la difficulté de représenter le vide

On aura compris l’extrême attention portée par Patrice Reytier à la séquence des chapitres qui ne peuvent avoir été assemblés dans cet ordre sans raison.

Est-ce que le dessinateur a souhaité proposer au texte choisi un écrin plutôt qu’un écran ? Un écrin, boîte aux proportions mesurées, présente en un velours neutre l’objet qu’il majore. Celui-ci brille plus encore dans le reliquaire sobre que sorti et disposé là où il est destiné.

Rien de plus absurde, rien qui ne nous appelle plus au vide, voire à l’inanité de la notion même d’une essence des choses que la contemplation d’un écrin vide. Vide toujours présent dans les foules parisiennes représentées se rendant à leur travail en un silence peuplé.

Un écran, du moins allumé, nous sidère d’images animées. Pas de statique sur un écran, plutôt la course du monde, elle-même tout aussi absurde. Du cinéma, les seules images voulues inanimées me revenant en mémoire sont les longs plans fixes en ombres bleues de jardins hitchcockiens ou du Belphégor nocturne. Encore ces plans sont-ils préparatoires de l’action convulsive et délivrante qui s’en suit.

Un silence métaphysique

Ce n’est que dans un second temps que je me suis aperçu que ce que j’avais d’abord interprété comme un seul parti pris d’immobilité de la part du dessinateur était en fait doublé ou plus encore substitué par le silence. Encore une découverte après-coup de la profondeur effective et non pas seulement souhaitée de l’articulation des mots et des formes.

En effet, la plupart des personnages mis en page, Shelley, Byron, Michel-Ange, White, Staël… contemplant ou demeurant tournés vers leur intérieur lointain restent cois dans leurs cadres, spéculent ou souffrent. L’indétermination persiste, dans l’incapacité que nous sommes de partager-là leurs pensées. Seules celles de Cioran peuvent nous mettre sur la voie.

Je le considerais jusqua ce jour...
Je le considérais jusqu’à ce jour…

Le besoin d’une Odyssée moderne

L’immobilité et le silence qui règnent dans de nombreuses pages, toutes plastiquement splendides, sont une réponse sage aux ratiocinations moroses de Cioran, notre cicérone. Nous sommes mis en condition par les chapitres précédant ceux consacrés à la musique ; le silence des orchestres pourtant en pleine représentation nous saisit. Quoi de plus normal, direz-vous. Aucun son ne peut sortir des pages. Certes, mais l’aria ne vous vient-il pas à l’esprit quand tout est préparé par l’auteur ? La littérature n’est-elle pas un cinéma imaginé par le lecteur ? Ici, la musique est figée, comme de l’architecture.

L’auteur-dessinateur a donc bien préparé son coup. Le dernier chapitre élucubre ce que pourrait être le destin d’un Ulysse moderne perdu dans ses chagrins et livre l’ambition philosophique soutenant l’ensemble, celle de Cioran se délectant d’insatisfaction, d’être accepté aux enfers en un chez-soi exotique apaisant plutôt que d’errer en soi, éternel exilé intérieur.

Particulièrement réussi tant littérairement qu’esthétiquement, Un homme heureux est un livre de bibliophile autant qu’une bande dessinée jubilatoire.

 

Un homme heureux, d’Emil Cioran. Dessins de Patrice Reytier, préface de Kenneth White, mise en couleurs de Chantal Piot – 2023, Bibliothèque Rivages, 17 euros.

  • (1) On ne peut vivre qu’à Paris, d’Emil Cioran et Patrice Reytier- 2021, Bibliothèque Rivages.

On ne peut vivre qu’à Paris

 

Tags : artbande dessinéecritique littéraireEditions RivagesEmil CioranEric DesordremusiquePatrice Reytierphilosophie
Article précédent

Accords et à cran, Aurélia Lesbros

Article suivant

Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ?

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié aux éditions Unicité, au Nouvel Athanor ou chez Transignum, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
Cote obscur

Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ?

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?