• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 22 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Le sourcier

Une nouvelle d'Abdel Chougui

Abdel Chougui Par Abdel Chougui
20 février 2024
dans Dossier du mois : L'Éveil, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
IMG 7906
ami de la vie – Douarnenez © photo Eric Desordre –

C’était en septembre 2004. Je me rendais à Brest pour un congrès de recherche scientifique à l’IFREMER. Un groupe de thésards avait, disaient-ils, une explication scientifique à la colonisation des côtes bretonnes par une algue toxique de la famille des dinoflagellés, dont le nom scientifique m’a échappé. Étant devenu à mon insu une référence en micro-écologie marine après la publication de mon dernier livre, j’avais reçu une invitation pour ce colloque. Je l’acceptai. Je l’acceptais d’autant plus que j’avais besoin de vacances, et que cette virée bretonne était l’occasion rêvée de prendre l’air. La pollution de l’Ile de France ne me manquera pas là-bas, pensai-je. Aussi, je pris mes billets de train pour le vendredi 24 septembre.

Je savais que cette « cérémonie » qui réunissait tout le gratin exigeait une tenue impeccable. Je sortis donc la panoplie complète du parfait gentleman scientifique, des chaussures à la cravate, en passant par la veste, le parfum et la coiffure. C’est donc ainsi déguisé que je pris le RER puis le métro jusqu’à la gare Montparnasse, et que j’embarquai à bord du TGV. J’avais réussi à obtenir à la toute dernière minute une place couloir, me permettant ainsi d’étaler mes longues jambes trop maigres, en mordant dans l’allée centrale.

J’attendais le départ du train en me préparant psychologiquement à entendre une voix nasillarde et désagréable sortir du haut-parleur, pour énumérer une à une les nombreuses gares qui me séparaient de ma destination. Quand soudain, une voix inconnue m’interpella.

– Tiens, bonjour, comment ça va ? Ça fait longtemps !

Je levai la tête vers mon interlocuteur. C’était un jeune homme plutôt maigre lui aussi et au bouc finement taillé. Son visage m’évoqua un souvenir lointain.

– Je peux m’asseoir ici ? dit-il en indiquant du menton les places libres qui me faisaient face.

– Oui… Oui bien sûr.

Il mit alors ses sacs sur le casier au-dessus de ma tête et se glissa comme une anguille entre la tablette et le siège, avant de s’installer lourdement dans son fauteuil, m’obligeant à me redresser pour replier mes longues jambes. Puis il me regarda un peu trop fixement, tout en souriant. Je lui souris en retour, incapable de me souvenir, ni de son nom, ni de qui il était.

– J’espère que cette place n’est pas réservée…Au pire si quelqu’un la réclame, je partirai… Tu n’as pas l’air de te souvenir de moi, me dit-il, sans cesser de sourire.

– Pas vraiment c’est vrai, lui avouai-je.

– Je m’appelle Grégoire. On s’est rencontré à la crémaillère de Franck et Sylvie. Ça te revient ?

– Exact… Oui, je me souviens de toi maintenant. Tu as une sacrée mémoire. C’était quand cette crémaillère ?

– Il y a trois ans presque jour pour jour.

– Oui, c’est ça, trois ans quand même… Le temps file. Tu vas bien ?

C’est alors que la voix désagréable sortit du plafond du wagon, nous interrompant sans ménagement dans nos retrouvailles. Elle était d’autant plus pénible que la liste des gares à traverser pour arriver à Brest était longue. Une fois qu’elle eut fini, nous pûmes poursuivre notre conversation.

Grégoire avait fait carrière dans la gendarmerie. Il était passé Sergent en 2001, il se maria et s’installa en région parisienne en 2002 et eut un petit Thomas en 2003 ; tout en continuant à se consacrer à sa passion de toujours : l’ornithologie. Voilà peu ou prou ce que j’ai pu retenir de son long monologue.

– Et toi, où vas-tu comme ça ? finit-il par me demander.

– A Brest. J’ai un congrès scientifique. Et toi ? Tu vas aussi en Bretagne ?

– Non. Je vais à Laval rejoindre mon épouse et mon fils. C’est malheureusement pour les obsèques du grand père de ma femme.

– Ah… Je suis désolé, toutes mes condoléances.

– Je te remercie. Je ne le connaissais pas beaucoup. A vrai dire, je ne l’ai vu qu’une seule fois. C’était un ancien sourcier.

– Un sourcier ?

– Oui, un sourcier. Un vrai de vrai. Je sais, c’est un peu dur à comprendre au début, mais notre seule et unique rencontre m’a fait y croire. Je vais te la raconter si tu veux.

– Tu sais, moi je suis un scientifique, mais vas-y je t’écoute, on a un peu de temps de trajet, répondis-je en souriant, mais tout de même un peu embêté.

***

C’était à Noël, en 2001. Ma femme est originaire de la Mayenne. Nous étions invités par ses parents pour le réveillon, et surtout pour discuter des préparatifs de notre mariage. Nous avions passé une excellente soirée, avec un repas digne de ce nom.

Le lendemain, ma belle-mère nous a proposé d’aller rendre visite à son père.

– Tu sais, dit-elle à ma femme, ton grand père est fatigué. Je crains qu’il n’en ait plus pour très longtemps.

– Tu es d’un pessimisme maman.

– Vas le voir, et présentes-lui ton futur mari. Je suis sûre qu’il sera content de le rencontrer.

– D’accord. On y va ? me demanda-t-elle.

– Oui, si tu veux, lui répondis-je.

– Attends, tu lui as dit pour ton grand père ? demanda ma future belle-mère l’air un peu inquiète.

– Non. Pas encore.

– Dit quoi ? Demandais-je de manière un peu théâtrale, les mains sur les hanches.

– C’est un sourcier. Il fait partie de la confrérie des mages et druides du pays mayennais.

– Avec la baguette en Y, la cape et tout le reste ? demandai-je sur un ton amusé.

Les deux femmes se regardèrent. Puis ma belle-mère apparemment vexée, sortit de la pièce.

– Oups… J’ai dit une bêtise ?

– C’est son père et elle l’aime beaucoup tu sais. Tu devrais faire attention.

Nous prîmes la voiture et nous nous rendîmes chez ses grands-parents. L’air était frais et nuageux. La maison était située dans la campagne profonde, aux abords d’un bois, à environ quinze kilomètres. La route était humide, brumeuse et déserte.

– Il est réellement sourcier ? Qu’est-ce que c’est que ces salades ?

– Ça t’échapperait je pense… Me répondit elle sans me regarder.

Arrivés sur place, une petite dame âgée était déjà sur le perron, prête à nous accueillir. Elle nous salua chaleureusement avant de nous faire entrer dans une belle petite maison très ancienne. La porte d’entrée donnait directement sur la cuisine. L’intérieur était rustique, d’un autre temps. La pièce était chaude et l’ameublement simple et monotone. Une grosse table en bois massif, qui semblait avoir traversé des siècles de fidèles et loyaux services dominait la pièce, posée sur un sol en tommettes. Un poêle d’une autre époque lui faisait face. Il était recouvert de casseroles et d’une grosse marmite. Cette pièce sentait la soupe de légumes et la cuisine d’antan. Sur la gauche, une ouverture donnait sur une chambre. Il n’y avait pas de porte. Seul un épais rideau de velours bordeaux gardait avec pudeur l’entrée de la pièce. Sur la droite, une pendule trop bruyante posée sur la cheminée aux braises incandescentes, rythmait la vie du vieux couple.

– Où est pépé ? demanda ma femme.

– Tu le connais. A cette heure-ci, il est dehors, dans les bois derrière.

– Tu nous laisse entre femmes ? Va donc le rejoindre.

– Très bien, répondis-je. Je compris que j’étais de trop.

La vieille dame m’indiqua une petite porte discrète sur le mur d’en face. Je dus me baisser pour pouvoir passer. Je traversai une petite salle de bain étrangement rectiligne avant d’ouvrir une autre porte, donnant à ma grande surprise directement dans la forêt. En face de moi, un petit sentier mal défini se faufilait entre les arbres. Je m’y engageai, sans vraiment savoir où j’allais.

Je pris alors conscience que le contact avec la nature me manquait. Cela faisait longtemps que je ne l’avais sentie aussi près de moi. J’adore marcher dans la forêt, respirer ses parfums, entendre ses chants, ses murmures. Tout cela crée en moi une véritable sensation de bien-être. Le sol était humide, tapissé de feuilles mortes et de débris de bois. Un petit vent frais courrait entre les arbres, m’obligeant à remonter mon col, et mettre les mains dans mes poches.

Sans m’en rendre réellement compte, je m’enfonçais assez profondément dans les bois jusqu’à ce que j’aperçoive un peu plus loin sur la gauche une silhouette immobile. Cette dernière me vit aussi et s’approcha de moi. Il s’agissait d’un vieil homme de petite taille, à la stature massive et trapue. Il portait une casquette et arborait de larges moustaches. Deux petits yeux couleur topaze brillaient sur son visage ridé. L’homme était vêtu comme le sont les paysans dans ce coin de France. Il tenait une sorte de bâton. Il s’approcha de moi, me sourit et sans me saluer, me tendit son bout de bois.

– Bonjour monsieur, je suis…

– Je sais qui vous êtes, me coupa-t-il, toujours avec le sourire. Tenez, prenez cette baguette et marchez dans cette direction. Allez-y mon garçon, n’ayez pas peur, me dit-il en souriant.

Je pris la baguette et je commençai à marcher dans la direction qu’il m’indiquait, sans me poser de question. Après quelques mètres, je m’arrêtais et me retournais vers lui.

– Encore quelques pas, me dit-il.

Je ne savais pas du tout où il voulait en venir, mais je ne voulais pas le vexer. Je repris ma marche.

– Ce vieux bonhomme est fou, il faut le faire enfermer… pensai-je.

– Stop, arrêtez-vous. Maintenant, prenez la baguette par les poignets et pointez-la devant vous. Je regardai la baguette. Elle avait vaguement la forme d’un Y. Je la pris par l’extrémité double et j’en orientai la pointe, droit devant moi. J’avais les doigts gelés. Cette situation ne m’amusait plus.

– Et maintenant ? m’écriai-je.

J’entendis les pas du vieil homme s’approcher de moi. Puis il posa sa main sur mon bras. C’est alors que, par je ne sais quel phénomène extraordinaire, la pointe de la baguette se mit à vibrer, et s’orienta vers le ciel. Je tentai de résister par la force de mes poignets, comme pour refuser ce qui était en train de se passer. Mais la baguette était plus forte que moi.

– Mais non jeune homme, ne lui résistez pas… me chuchota-t-il.

Je décontractai mes mains. La baguette se leva alors complètement vers le ciel et se mit à vibrer encore plus vivement. A travers mes vêtements, je sentais une forte chaleur émaner de la main du vieil homme. Je ne comprenais plus rien. J’étais stupéfait.

– Je ne suis ni fou, ni à enfermer jeune homme, me dit-il calmement. Je sais qui vous êtes et je croyais vous attendre. Vous savez, vous devriez vous ouvrir un peu plus à la nature et à tout ce qu’elle renferme. Votre sensibilité pourrait vous le permettre pourtant. Vous avez ce petit plus en vous, la nature vous touche. Je le sais. Je l’ai senti. Quand je vous disais que je vous attendais, ce n’est pas tout à fait exact. En fait, c’est votre fils que j’attends, je viens de m’en apercevoir. Ma vie touche à sa fin. Vous serez aimable de garder cette baguette pour lui. Je sais que, comme moi, il aura ce savoir. Un tel talent, il serait dommage de le perdre non ? me dit-il en souriant. Ses petits yeux bleus se plissèrent.

Puis, il ôta sa main de mon bras. Aussitôt, la baguette cessa de vibrer et retomba, retrouva sa place parmi les choses, soumise à notre habituelle et rassurante gravité.

– Mais… Mais comment avez-vous fait ça ? bredouillai-je.

– Vous savez mon garçon, me dit-il en s’éloignant, le monde n’appartient pas à ceux qui posent des questions et qui cherchent absolument des réponses. Il appartient à ceux qui prennent le temps de le vivre, de le sentir et de l’apprivoiser, sans vouloir le dominer.

– Mais, attendez…

Il s’arrêta et se retourna vers moi.

– Si plus tard vous en avez les moyens, faites creuser exactement sous vos pieds, je suis sûr que vous trouverez quelque chose. Puis il repartit en souriant. La silhouette de ma femme apparut au loin. Elle venait à notre rencontre.

– Ah, vous êtes là ! Bonjour pépé. Joyeux Noël !

– Joyeux Noël ma chérie…

Puis, tandis qu’ils s’éloignaient, leurs voix se perdirent dans les bois. Quant à moi, je restai là, troublé par ce qu’il venait de m’arriver, troublé par l’aura et le pouvoir de cet homme.

***

Le train ralentit et la voix grésillante annonça la gare de Laval. Mon compagnon de voyage se leva précipitamment.

– Et depuis ? lui demandai-je.

– Et depuis j’ai eu un fils.

– Le petit Thomas…

– Exactement. J’avais gardé la baguette en quittant Laval ce jour-là. Je n’avais encore rien dit à ma femme. Mais cette fois, je suis décidé à lui en parler dès notre retour. Je l’ai conservée secrètement et précieusement en attendant que mon garçon grandisse. J’ai été tenté plusieurs fois de la lui faire toucher mais, je renonce toujours au dernier moment. Je compte faire creuser un puit à l’endroit où s’est déroulée la scène. J’ai déjà fait faire des analyses du sous-sol, et il y a bien de l’eau à cet endroit. J’espère que mon fils aura les talents de sourcier de son aïeul. Tu imagines ce que l’on peut faire avec un don pareil ? Tu vois, il y a parfois des rencontres qui bouleversent l’existence… J’ai été ravi de voyager avec toi. A bientôt j’espère.

– Merci, moi aussi. A bientôt.

Puis, il se précipita hors du wagon. Je le regardai s’éloigner par la fenêtre avec ses sacs à la main. Sa femme et son garçon l’attendaient sur le quai. Puis le train redémarra. Son histoire me laissa perplexe. Un doute subsistait dans mon esprit quant à la véracité de son récit. Et moi, le scientifique cartésien, je me surpris plusieurs fois fixant la paume de mes mains, comme pour essayer d’en découvrir les talents cachés.

Tags : Abdel Chouguiésotérismenouvelle
Article précédent

Le Néanderthalien est aussi une Néanderthalienne

Article suivant

L’Éveil, la fusion : l’égrégore comme chemin initiatique

Abdel Chougui

Abdel Chougui

Abdel Chougui est né en 1977 à Orléans. Ingénieur en microbiologie, il a toujours été féru de littérature en général et d'écriture en particulier, depuis plus de 25 ans : nouvelles, théâtre, scénarii de court-métrages, ou poésies. En 2006, il publie son premier recueil Camille et Autres Nouvelles aux éditions Bénévent (France Europe Editions). En 2022, il remporte le Grand Prix du Jury au concours national de nouvelles des écrivains en Provence.

Article suivant
IMG 7689

L’Éveil, la fusion : l’égrégore comme chemin initiatique

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?