• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 20 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La Couleur de l’argent

Eric Desordre Par Eric Desordre
23 juin 2018
dans Art(s), Cinéma(s)
1
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
La couleur de l’argent Martin Scorsese, 1986, Touchstone Pictures

L’histoire commence dans une salle de billard de Chicago où l’ancien grand joueur devenu représentant en alcools « Fast » Eddie Felson, alias Paul Newman, flashe sur un prodige immature qui lui rappelle ses propres années de gloire ; il y a bien longtemps. Vingt-cinq ans après les péripéties de l’Arnaqueur « The Hustler », remarquable film de Robert Rossen avec le même personnage déjà interprété par Newman, un « Fast » Eddie régénéré reprend du service en décidant de former le jeunot Vincent « Vince » Lauria à l’arnaque au billard. Manipulateur et retors, il arrive aisément à convaincre Vince de devenir son élève et de laisser tomber son boulot de vendeur de jouets dans un supermarché. On peut comprendre…

Voici donc partis sur la route pour six semaines Eddie Felson-Paul Newman et Vince Lauria-Tom Cruise, accompagnés de Carmen-Mary Elizabeth Mastrantonio, la petite amie de Vince. Eddie dit à Carmen : « Tu es le repos du guerrier ; je suis le prof d’arnaque ». La Cadillac blanche est le quatrième personnage. C’est, dans l’imaginaire américain, la « Rolls », la voiture du mec arrivé ; celui qui boit du whisky pur malt et sait en parler, a les tempes grises et le costard trois-pièces de bon faiseur. La « Caddy » dans laquelle « Fast » Eddie trimballait jusque-là ses caisses de liqueur haut de gamme d’un bar à l’autre devient alors le vrai home-sweet-home du trio en vadrouille vers Atlantic City, terme programmé de leur périple.

Ils commencent par écumer les salles sordides où se rassemblent des mecs louches dont on comprend rapidement qu’il vaut mieux savoir courir quand on les fréquente. Ils s’attaquent ensuite à de plus prestigieuses, en l’occurrence simplement peuplées de joueurs honnêtes – on appellerait cela des braves types dans notre jargon – des pères de famille (il n’y a pas de mères de famille, ni beaucoup de femmes) reconnaissant le beau jeu, rendant hommage à meilleur qu’eux et se faisant plumer sans avoir rien à y redire.

Peut-on exister sans fric ? Comment le peut-on, en plus, dans ce pays où on lui voue un culte comme nulle part ailleurs : l’Amérique ? Le Graal là-bas, c’est le dollar. Le plus grand succès de la presse magazine, c’est Fortune. La meilleure vente de l’année, c’est le numéro spécial de Forbes, où sont répertoriés et classés les nababs les plus riches du monde. Ce film, « la Couleur de l’argent », se fout de l’argent comme d’une guigne. L’argent qui passe de main en main, dont on voit la couleur et qu’on peut palper à l’instar des personnages du film, dont on sent la matière au creux de la paume, dont on entend le froissement entre les doigts lorsque les billets sont posés sur le bord du billard ; sur la bande de bois sombre qui encadre et surplombe de quelques centimètres le tapis de feutre vert.

Eddie et Vince poursuivent une quête. Pas la richesse. De fait, ils sont sans arrêt à se lancer des enveloppes pleines de billets à la figure, lors de leurs accès de fureur l’un envers l’autre – l’apprentissage est difficile pour le professeur autant que pour l’élève – montrant bien par là que l’argent n’est pas le moteur de l’action ; d’autant plus qu’ils se donnent bien du mal pour le gagner, cet argent qu’ensuite ils se jettent, pleins de rage et de mépris. Leur motivation, ce n’est pas non plus la gloire ou même la notoriété ; ils restent bien modestes dans ces villes tristes et miteuses avec leurs académies de billard hantées par de pauvres types à la ramasse, sapés comme l’as de pique. Galerie de portraits pathétiques d’une Amérique urbaine parsemée de loquedus, se réchauffant aux braseros brûlant dans des bidons troués aux coins des rues. Ce n’est pas James Bond au Casino Royale.

Nos héros ne sont même pas intéressés par la victoire, du moins telle qu’on l’entend généralement. Vince doit passer par une étape de débourrage ; il est un pur-sang ruant dans les barrières. Mais Eddie ne lui apprend pas à gagner ; ça, Vince sait faire ; il lui apprend à perdre. Vince doit apprendre à perdre pour ferrer les gogos. Et gagner ensuite, quand les enjeux ont monté suffisamment pour ratisser le bon, voire le très bon joueur qui n’a pas vu venir le samouraï, qui l’a confondu avec un paysan ou un bouffon quelconque.

Qu’est-ce donc qui les fait avancer, ces deux là ? En vérité, leur acmé existentielle, c’est la perfection. Ce sont des rônins, des samouraïs sans maître. Des Musashi* recherchant en permanence le geste parfait, le coup à trois bandes qui amènera la boule dans le trou aimantant l’esprit. Le corollaire de la perfection, c’est le pouvoir. La domination. La jouissance venant du secret empire sur l’autre joueur, celui se croyant fort mais n’étant qu’une proie inconsciente. La victime découvrira trop tard, stupéfaite, que la silhouette falote de l’autre côté de la table est de l’acier tranchant.

Contrairement à ce qu’on lit ici ou là à propos de « la Couleur de l’argent », le film n’est pas la relation d’une transmission. Car « Fast » Eddie ne parvient pas à enseigner à Vince qu’au grand tournoi d’Atlantic City, on ne filoute pas, on ne filoute plus. Qu’il s’agit d’un tournoi, qu’il s’agit d’Honneur. Que la droiture y est donc de mise. Vince a péniblement appris à perdre pour mieux gagner et continue à ânonner sa leçon. Croyant rendre hommage à son maître, perdant volontairement contre lui à une encablure de la finale pour un paquet de pognon, il ne fait qu’humilier Eddie. Ce dernier abandonne ensuite le tournoi, ne voulant pas cautionner une faute de goût, une trahison de l’esprit. On ne reproduit pas au Grand Tournoi ce qu’on s’est contraint à « réussir » dans des salles miteuses. La transmission est ratée. L’éducation à refaire. Le savoir-faire ne peut se substituer au savoir-être.

Pour Vince – il ne comprend rien ; comment comprendre ? – l’humiliation inconsciente de son aîné est la marque d’une transmission réussie. L’élève a dépassé le maître ! Il est maintenant prêt pour tous les exploits, tous les meurtres. Sur son constat d’échec et toute honte bue, Eddie vit quant à lui une renaissance. Il se retrouve tel qu’en ses jeunes années et repart pour un tour dans le délire du jeu. L’image finale du film est un arrêt sur image. Celle d’Eddie cognant dans les boules, extatique et ressuscité.

Face à Paul Newman et en dépit d’un sourire « Gibbs » exaspérant, Tom Cruise tient la route. S’il n’est pas écrasé par la classe magnétique sidérante de Newman, c’est qu’il doit bien y avoir un peu de talent là-dedans, sous le brushing très 80’s du bébé américain élevé aux corn-flakes et au lait enrichi. Finalement, il doit falloir être bon pour être aussi pénible. Mary Elizabeth Mastrantonio femme de tête à la ville et à l’écran le montre brillamment pour une de ses premières apparitions marquantes, en Carmen amante-mère sexy et dominatrice susurrant à l’oreille de Vince-Tom Cruise : « Vincent, you win one more game… you’re gonna be humping your fist for a long time ». A noter l’apparition en jeune fripouille redoutable (« hustler ») du déjà formidable acteur Forest Whitaker. C’est bien le grand cinéma américain : seconds rôles parfaits en personnages hantant les salles glauques. Bref un casting impeccable.

La Couleur de l’argent n’est peut-être pas le tout meilleur de Scorsese qui n’a pas tourné que des chefs-d’oeuvre (tout n’est pas dans sa filmographie de la même eau que Taxi Driver ou Raging Bull), mais c’est un très bon film. Malgré une médiocre bande son originale rassemblant des tubes (justement) oubliés des années 80, le film est vu avec plaisir. Le scénario est solide. Scorsese cadre en virtuose des plans époustouflants. Il vous fera apprécier le billard estampillé U.S. même si vous ne connaissiez rien et ne comprendrez jamais quoi que ce soit à ce jeu étrange qu’est le « nine-ball ». Comprendre n’a en l’espèce aucune importance.

Eric Desordre

*Musashi Miyamoto : le D’Artagnan, le Lagardère japonais. Personnage réel du dix-septième siècle, escrimeur quasi-divin, il tua en duel des dizaines d’adversaires avant de devenir un philosophe zen de la guerre dont les traités font encore référence aujourd’hui.

Tags : argentbillard américainfilm américainfilm de Martin ScorseseMary Elizabeth Mastrantonionine ballsPaul NewmanTom Cruise
Article précédent

Marvin Parks, du métro à la notoriété

Article suivant

Sur l’écriture – Charles Bukowski

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié aux éditions Unicité, au Nouvel Athanor ou chez Transignum, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
1edc bukowski ecriture

Sur l’écriture - Charles Bukowski

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?