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Welfare au théâtre

L’oubli du réel

Orélien Péréol Par Orélien Péréol
14 juillet 2023
dans Art(s), Théatre(s) - Spectacle(s) - Expo(s)
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Le carnet de tickets en carton © Eric Desordre
Le carnet de tickets en carton © Eric Desordre –

Welfare est un film de Frederick Wiseman, tourné en 1973 dans Centre d’Aide Sociale de New-York. Julie Deliquet, qui s’est fait remarquer par des adaptations de films inaugure le festival d’Avignon, dans la cour du Palais des Papes, avec la théâtralisation de ce film.

Alors que Frederick Wiseman se tient au plus près des visages et des affrontements, Julie Deliquet déploie une aire de jeu sportif, genre hand-ball, avec même une petite tribune à cour pour des « spectateurs » (une salle d’attente !).

Alors que Frederick Wiseman montre la complexité des relations entre les humains, Julie Deliquet illustre une idée très portée à l’extrême gauche, selon laquelle il n’y a pas réellement d’aide sociale mais, sous couvert d’aide, un mépris pour les pauvres, devant être assistés.

Le film est assez éprouvant, il dure trois heures et se déroule la plupart du temps dans un brouhaha intense et fatigant. Le réalisateur nous met en situation : un espace vaste où tout le monde est constamment à vue de tout le monde (ça, on l’a dans le dispositif scénique, on n’a pas le bruit, qui est figuré quelquefois). L’espace ouvert, comme un hangar, sans intimité, est le lieu de multiples « affrontements pacifiques ». L’administration ne peut faire autrement que d’établir des limites strictes, avec une part d’arbitraire. Pour prendre un exemple connu : un enfant voyage à demi-tarif jusqu’au jour de ses douze ans. Ce n’est pas le jour où d’un seul coup, son transport coûte deux fois plus cher. C’est une limite administrative. La tâche principale des travailleurs sociaux est de voir à quel type d’aide la personne en face d’eux a droit, avec ces délimitations arbitraires. Il y a, en gros, trois secteurs d’aide : la nourriture, le logement, la recherche d’emploi. Il s’agit pour les employés de l’aide sociale, de comprendre les situations compliquées de chacun. Les demandeurs n’ont pas toujours les mots, ni les manières de la civilité. Ils sont empêtrés, ne savent pas dans quel ordre, ils doivent donner les informations utiles pour obtenir une aide, ils ne savent même pas quelles informations sont utiles, ils parlent, ils parlent, comme en thérapie, thérapie qu’ils ne connaissent sûrement pas.

Il ne peut en être autrement : la collectivité qui prend de la richesse aux travailleurs pour la donner à d’autres citoyens doit veiller à conserver le système. Elle ne peut fournir toutes les demandes sans les examiner sérieusement. D’ailleurs, la ville de New-York s’est trouvée en faillite en 1975. Ce n’est évidemment pas dans le film, puisque c’est postérieur mais ce n’est pas non plus dans la pièce, alors que nous le savons.

Chacun de ces colloques singuliers, tenus au milieu des autres, avec beaucoup de discrétion, malgré les conditions de l’espace, une discrétion personnelle de chacun, (quand elle manque, ce qui arrive, des désordres s’ensuivent, allant jusqu’à l’intervention parfois des services de sécurité)… chacun de ces colloques singuliers est une situation théâtrale, dans lesquelles se jouent des tragédies, des questions de vie ou de mort. Dans le film, on est souvent mis dans la position des employés, à devoir comprendre de quoi la vie de la personne en face est faite, et ce que peut faire une aide de la collectivité. Il arrive ensuite que les aides envisagées ne soient pas reçus par les commissions pour toute sorte de défauts, de forme ou de fond, ce qui est un échec, et parfois une souffrance, pour les employés. On voit aussi leur harassement devant la similitude de toutes ces dérives, vécues à chaque fois comme une urgence unique et qu’il faut bien prendre aussi dans cette unicité.

Il y a dans le film des éléments qui deviennent anthropologiques du fait de la très grande vitesse d’apparition de nos nouveautés technologiques : il n’y a pas d’ordinateur entre le demandeur et le fonctionnaire. Tout se traite dans des dossiers de papiers, qu’il faut aller rechercher dans de grandes armoires à tiroir, et qui sont constitués de pièces dépareillées, même pas à un seul format. L’informatique est présente, avec un système à cartes perforées, qui tire les chèques d’après les décisions prises. Un autre élément qu’on ne peut plus reproduire : tout le monde fume.

Julie Deliquet a repris le texte en partie et a « omis », à mon sens, le principal ingrédient de cette lutte des « ayants-droits » et des « donneurs » d’aide : la proximité, et même la promiscuité. La cour du palais des papes ne se prête pas à ces joutes multiples, éclatées dans l’espace mais serrées chacune. Julie Deliquet a accepté un espace trop grand où se perd la vive singularité des dialogues. Elle en a fait un espace de jeu sportif. Peut-être, était-ce pour elle un espace de la taille de sa scène, un espace équivalent pour figurer l’affrontement ? On admet assez facilement que les jeux sportifs à deux équipes sont des figurations cathartiques de la guerre, et c’est là que le bât blesse : d’abord parce que le théâtre est jeu : les conversations tendues que l’on a dans le film, les conflits ne sont joués par personne, tout le monde vit sa vie comme à l’ordinaire, personne n’est acteur. C’est la caméra qui fait spectacle de ces moments, ce n’est pas le jeu. Et ensuite, parce qu’elle a « traduit » les échanges que l’on entend et voit dans le film dans les définitions de l’extrême gauche actuelle, pour laquelle toute aide possible est due (il y eut un court débat pour savoir si la gauche était liée au travail ou à l’assistanat).

Le discours de Julie Deliquet sur son travail est empreint de cette idée quasi-mystique que le théâtre est l’essence de la représentation (la monstration) de l’humanité à elle-même, ne serait-ce que parce que tout le monde est acteur et spectateur des autres en même temps et qu’il suffit de se voir comme tel pour trouver du théâtre dans tous les instants de la vie. Quand elle a adapté Fanny et Alexandre d’Ingmar Bergman, elle a défendu cette idée du théâtre comme vie, à la différence du cinéma : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/l-invite-culture/julie-deliquet-le-theatre-est-l-art-du-direct-c-est-de-la-vie-sur-scene-2021060

Mais là, elle avait du cinéma du réel qu’elle a re-donné dans ce dispositif ampoulé, les singularités se fondent dans une idéologie intenable, d’apparence universelle, philanthrope mais qui conduit à la ruine : la signification est là avant les actes et les paroles : les pauvres sont méprisés, l’administration est structurellement injuste, irrationnelle et absurde ; elle est raide et cadavérique devant les vies si faibles et vibrantes. Le jeu des acteurs en est parfois excessif, théâtral au mauvais sens ordinaire de ce terme, comme si les acteurs se prenaient, non pour des personnages, pour des symboles d’opprimés.

De la complexité et de la sincérité du film, Julie Deliquet a fait un cliché à la mode, univoque, à l’opposé de ses généreuses intentions et du rendu filmique de Frederick Wiseman.

Welfare D’après le film de Frederick Wiseman adapté au théâtre par Julie Deliquet France / Création au Festival d’Avignon 2023 jusqu’au 14 juillet et du 27 septembre au 15 octobre 2023 au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis.

Spectacle disponible sur Culturebox le 23 juillet.

Tags : critique de théâtreFestival d'AvignonFrederick WisemanJulie DeliquetOrélien PéréolThéâtre Gérard Philipe
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Orélien Péréol

Orélien Péréol

Écrivain, auteur de théâtre, essayiste… Danseur quelques fois. Libertaire et scientifique. Pense par lui-même. Décalé chronique. A fait de nombreux métiers : comédien, metteur en scène, auteur, professeur de sciences économiques et sociales, professeur des écoles, a beaucoup publié dans les « cahiers pédagogiques »… Divorcé, père de trois enfants, habite de 4 à 10 mois par an, suivant les années, à Dakar, Sénégal… à Paris le reste du temps.

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