• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 21 mai 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Le sacré, c’est Vuitton, c’est du luxe ?

Cesser d’ignorer le sacré

Frédéric Vincent Par Frédéric Vincent
3 avril 2022
dans Philo-spirit(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
© Henry Lawford –

Aveuglé par une morale du devoir être, l’homme moderne s’est jusqu’ici acharné à désacraliser le monde dans lequel il a surgit, à tel point qu’il est devenu difficile d’aborder la question du sacré à travers les termes de « religion », de « métaphysique » ou encore de « transcendance ». Du coup, nous nous sommes concentrés sur un autre terme : le luxe.

Le Sacré et le Profane

Pour Mircea Eliade, le sacré est ce qui n’est pas terrestre, ce qui n’appartient pas à notre monde, mais qui se manifeste à travers les choses de notre monde. Ainsi, le sacré ne se montre jamais dans sa totalité. Il est donc plus sage de comprendre le sacré à travers ses diverses manifestations. Eliade emploie le terme de « hiérophanie » pour traduire l’acte par lequel une autre réalité se manifeste. On pourrait évidemment polémiquer sur la légitimité d’une hiérophanie, sur son origine, mais il me semble plus intéressant d’insister sur la présence des hiérophanies (admettre que le sacré se manifeste là devant nous) plutôt que de s’enliser dans un débat théologique sans fin.

L’expérience du sacré apparaît dès l’instant où l’on prend conscience de la distinction entre le « tout autre » et le profane, distinction qui plonge l’homme dans une crise existentielle profonde. Et ce sont précisément les hiérophanies qui bousculent la perception ontologique de l’homo religiosus. A partir de la séparation entre le sacré et le profane, l’homme conçoit deux types d’existence : une existence profane, inauthentique, fausse et stérile car plongée dans le chaos et coupé du « tout autre », et une existence sacrée, authentique et vraie. Ce qui caractérise les mythes se situe effectivement dans l’appréhension d’un autre monde, d’une existence surnaturelle, et surtout d’une volonté de se détacher du monde profane lié à l’absurdité et au chaos. Une chose, un rituel ou un mythe se définissent comme des hiérophanies lorsque le sacré (présence d’un autre monde) se manifeste en eux. Il faut donc préciser, par exemple, que le sujet primitif ne vénère pas une pierre pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une pierre, mais précisément parce qu’elle est une hiérophanie. Cette pierre montre qu’elle est devenue autre chose qu’une simple « pierre » tout en gardant son apparence naturelle. On retrouve toujours ce paradoxe dès qu’une hiérophanisation se produit. Pour ceux auxquels le sacré se manifeste dans une pierre, la réalité immédiate de cette pierre se transmue en réalité surnaturelle.

On trouve dans l’objet de luxe la présence du sacré, le moyen d’accéder à un monde différent de celui-ci, où la mortalité et la précarité de l’existence humaine n’ont plus lieu d’être. Le luxe apparaît comme un moyen de dépasser l’absurdité de l’existence, car elle permet de transformer la nature humaine en paradis, aussi artificiel soit-il. Ce qui est véritablement intéressant dans le luxe, c’est la possibilité d’accéder à un ailleurs qu’ici, à un autrement qu’être.

Le monde occidental s’est-il réellement désacralisé ?

Pour l’occidental moderne, le sacré apparaît comme une pure fiction, une invention humaine, une fuite devant le réel. Chez Nietzsche, nous retrouvons les prémisses d’un tel processus de désacralisation à travers sa critique sévère du christianisme. Le monde chrétien présente un univers purement imaginaire. Le rapport à Dieu — à travers les hiérophanies — n’est après tout qu’un rapport avec un être imaginaire inventé par l’homme. Pour Nietzsche, l’objectif de ce monde imaginaire consiste à fausser le réel. Dieu et l’au-delà sont des projections humaines, fruits de la souffrance, de l’impuissance et de la lassitude. L’homme a voulu rejoindre Dieu et l’autre monde, mais ils ne sont que néant. La douleur a crée un monde imaginaire, cet autre monde chrétien. La mort de Dieu annonce ainsi la fin de toute référence transcendantale. L’homme ne supporte plus d’attendre le paradis chrétien. Il souhaite pouvoir profiter de la matérialité immédiate qu’offre le monde ici-bas. Il commence alors à rejeter les conceptions idéologiques et religieuses qui condamnent le monde sensible et le décrédibilise (ndc : je ne comprends pas cette phrase, à priori, ce ne sont pas les religions qui condamnent le monde sensible, c’est le contraire). La modernité place ainsi l’homme au centre de l’univers : les vérités éternelles et religieuses s’effacent au profit des vérités scientifiques. La vérité devient une production purement scientifique, elle n’est plus divine ou transcendante.

Il faut aussi préciser que l’expérience du sacré, même si on tente de la discréditer, est une expérience unique car elle ne concerne que l’homme, seul étant capable de s’étonner de sa propre existence et du mystère qu’elle implique. Il ne faut donc pas restreindre le sacré au domaine des grandes religions. Il se loge dans l’homme un caractère purement religieux (homo religiosus) qui fait de lui le seul être vivant capable de questionner une existence qu’il ne peut comprendre dans l’absolu.

La désacralisation traduit peut-être aussi cette volonté de banaliser le mystère de l’existence humaine, le merveilleux qui s’y loge : ne plus s’étonner d’être-là, comme si être-là ici et maintenant allait de soi. Mais peut-on finalement éradiquer un tel trait de caractère qui semble commun à tous les hommes ?

L’industrie du luxe a bien compris ce besoin impérieux du sacré, du merveilleux chez les individus. Ce qu’elle leur propose, c’est la possibilité de ressaisir le merveilleux à partir d’une culture du luxe. Porter un produit de luxe qui vous transporte au-delà de la banalité du quotidien à partir même de cette banalité.

Si le monde moderne s’est détaché de Dieu au profit de la Science, il semble que ce ne soit pas le cas des hommes qui éprouvent toujours le besoin de toucher le sacré. Le quotidien est rempli de phénomènes rappelant que l’homo religiosus est plus que jamais présent. Il faut accepter l’idée que le sacré continue, à nouveau, à donner du sens à l’existence humaine à travers de nouvelles données sociétales (réalité virtuelle, culture du luxe…). Ce qu’il est nécessaire d’admettre, c’est que le sujet postmoderne accède au domaine du sacré à partir de ce qu’il vit dans ses expériences quotidiennes. Cette manière d’être est tout à fait légitime, et s’apparente sans aucun doute à une nouvelle façon de vivre l’initiation des sociétés primitives, l’essentiel étant de retrouver un sens magique du monde.

Le mythe du cargo

Dans La société de consommation, Jean Baudrillard précise qu’une des caractéristiques du drugstore est l’abondance qui y règne. Le drugstore, comme lieu privilégié de l’abondance, est un luxe, dans la mesure où il représente ce qui est difficilement accessible aux yeux du sujet primitif : le paradis originel. La foi du sujet primitif le conduit à espérer le retour à ses origines ontologiques : un être immortel cohabitant avec les dieux. Le paradis est l’espace mythique d’autrefois, in illo tempore, où les hommes et les dieux vivaient ensemble, où tous les besoins étaient satisfaits immédiatement puisque l’abondance y régnait. Pour l’homme archaïque, le luxe, c’est à la fois l’abondance et l’exception. L’abondance en elle-même étant une exception, par conséquent l’homme archaïque la recherche.

Mircea Eliade rappelle que de nombreux mythes font référence à un lieu passé où les hommes ne connaissaient pas la mort, la souffrance et le travail. A la suite d’une erreur ou d’un malentendu, l’homme s’est retrouvé déchu, condamné à travailler, à souffrir et à mourir. L’homme a perdu son statut d’être immortel et absolu. Le luxe, c’est la possibilité de retrouver un instant cette condition originelle. Le sacré est la manifestation de cet espace où le mode d’être est le luxe. L’industrie du luxe s’efforce de ramener les individus vers cette image de l’humanité idéale. Elle fabrique des objets uniques, rares, exceptionnels, difficilement accessibles afin de rappeler aux individus l’état d’exception ontologique qu’ils peuvent retrouver. Le sacré n’est autre que ce rappel.

Porter un vêtement de luxe, c’est transformer ontologiquement son régime existentiel puisque le luxe, c’est ce qui est difficilement accessible aux hommes. Le sacré est un rappel, une présence de ce luxe originel. Le luxe est ce qui apparaît comme impossible pour l’homme déchu : l’abondance, l’immortalité, l’éternité. Seul le sacré permet de retrouver un instant cet espace mythique du luxe. L’industrie du luxe s’appuie sur un processus de sacralisation d’objets qui ramènent systématiquement les individus à se ressaisir de la possibilité de mutation ontologique de leur régime existentiel.

Porter la marque Louis Vuitton, c’est accéder à un statut d’élu, d’être mythique. L’individu retrouve ainsi l’idéal ontologique. L’industrie du luxe propose des objets sacrés qui transcendent les individus. Vivre dans le luxe, c’est se situer par rapport à un type d’existence rare et exceptionnel. Le mythe du cargo décrit par Baudrillard soutient notre propos. L’abondance (le luxe) est perçu par l’homme archaïque comme une « grâce de la nature, un bienfait du ciel ». Le luxe vient d’un ailleurs qu’ici, porte en lui la présence du Tout-Autre. Porter le luxe, c’est incorporer cet ailleurs qu’ici. Le mythe du cargo raconte comment l’homme archaïque perçoit les cargaisons de marchandises véhiculées par l’homme blanc. Pour l’homme archaïque, l’homme blanc est parvenu à détourner le luxe qui lui était destiné. Mais un jour, la « cargaison miraculeuse » parviendra jusqu’à son vrai destinataire. L’homme archaïque espère donc un miracle, celui de retrouver sa véritable origine ontologique : un être-dans-le-luxe. Cette manière d’être-dans-le-monde se fait plus quotidienne et banale dans notre société de consommation. Mais Baudrillard rappelle que l’abondance est toujours vécue comme un miracle ou une grâce. On ne se lasse jamais de pouvoir toucher quotidiennement un tel miracle. Miracle de l’industrie du luxe, car à travers le produit de luxe, je touche le sacré, c’est-à-dire la possibilité de transcender mon existence « déchue ».

De la nécessité de modifier ma structure ontologique afin d’accéder à un Soi plus vaste

Le « Je » devient un autre. Changer de nom, de statut social, de langage, d’apparence, voilà ce qu’enseigne l’expérience mythique. Car l’homme fait l’expérience du tragique au quotidien (le fait même d’être déchu est vécu comme une tragédie), il a besoin d’écouter, de vivre des phénomènes fantastiques pour pouvoir sublimer ce même tragique. A travers le luxe, l’existence humaine prend un sens. Car l’homme a directement accès à un ailleurs qu’ici, mais qui se vit ici et maintenant. Le transcendant peut se loger dans n’importe quel objet, puisque de toute façon, c’est l’homme qui décide librement d’investir spirituellement tel ou tel objet. Ce qui est important, c’est la disposition de l’homme, sa façon de se positionner par rapport à l’objet. Une télévision, un monde virtuel ou une pierre peuvent très bien contenir le sacré ou le transcendant. La manifestation du sacré ne dépend pas de l’objet en lui-même mais de la relation entre l’homme et l’objet, de la position de l’homme par rapport à cet objet.

Le luxe fait référence à l’existence mythique. Le mythe permet de donner sens à l’existence humaine. Il explique aux hommes les raisons de sa présence sur terre. Pourquoi est-t-il là ? Qui est-il ? Où va-t-il ? Le mythe répond à ces questions en proposant une manière d’être idéale qui permet de faire le lien entre le réel et l’irréel, entre l’étant et l’être, entre le visible et l’invisible. A la question « comment être sur terre ? », le mythe donne une réponse, aussi relative soit-elle. Il est nécessaire de savoir déceler le transcendant, le sacré, le merveilleux, le mystérieux dans la vie quotidienne. Et l’industrie du luxe est certainement le lieu où nous pouvons retrouver une ontologie archaïque, une spiritualité mythique. La marque Louis Vuitton propose moins le désir de posséder des richesses qu’une manière d’être-dans-le-monde.

Le luxe est une manière d’être-dans-le-monde, consistant à rapprocher l’individu du paradis originel. C’est un mode d’être où les individus dépensent sans se soucier de leurs besoins primaires, où ils peuvent tout obtenir sans effort ni souffrance. Pour le sujet primitif, le luxe, c’est un mode de vie où il n’y a pas besoin de travailler (chasser ou pêcher) pour pouvoir satisfaire ses besoins primaires. Dans le paradis originel, tout est à portée de main. Les conditions d’être mortel sont abolies. Le luxe désigne aussi l’ensemble des pratiques permettant d’accéder à un tel mode de vie. Par exemple, conduire une Porsche relève du domaine du luxe, même si le conducteur ne vit pas dans le luxe.

Vivre sans se soucier des conditions ontologiques qu’imposent la mortalité, voilà ce que l’on peut comprendre à travers la notion de luxe dans sons sens fondamental. Ce mode de vie est, pour l’ensemble des individus, un état d’exception. Il est rare pour un être humain d’accéder à un tel mode de vie, de vivre perpétuellement dans le luxe. Le luxe est une manière d’être-dans-le-monde assez rare et exceptionnel. Ce que va proposer la société de consommation, c’est la possibilité de se rapprocher un instant de ce mode d’être. Pouvoir se procurer un sac Louis Vuitton vous donne pendant un court instant la sensation de vivre dans le luxe, d’appartenir à un autre régime existentiel, de toucher un idéal ontologique. Le produit de luxe joue sur deux plans : l’inaccessibilité et l’accessibilité. Il est nécessaire de rappeler le caractère inaccessible du produit de luxe qui est d’abord extrêmement coûteux, exclusif à une classe d’élite. Cependant, l’industrie du luxe met toujours en avant la possibilité pour tous les individus d’accéder à ce qui est inaccessible. Le désir de tout un chacun, n’est-il pas justement celui de la possibilité de l’impossibilité, ou plutôt de l’accessibilité de l’inaccessibilité ?

Tags : Frédéric VincentFriedrich Nietzscheindustrie du luxeJean BaudrillardLouis VuittonMircea Eliade
Article précédent

L’amour aux temps du nucléaire

Article suivant

Sacré rêveur, le « rêveur sacré » !

Frédéric Vincent

Frédéric Vincent

Chercheur universitaire et psychanalyste, président de l’Association des Psychanalystes Européens, animateur de l'émission 2 colonnes à la une, Frédéric Vincent milite pour la défense du journalisme gonzo. Il a publié plusieurs ouvrages qui font autorité et qui abordent des thématiques comme les mythes contemporains, l'initiation, la culture geek, les héros de la vie quotidienne ou encore les sociétés secrètes.

Article suivant
Victor Hugo par Nadar

Sacré rêveur, le « rêveur sacré » !

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Hommage à Jean-Luc Maxence (cliquez ici)

Jean Luc Maxence Hommage rebelles
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2024

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2024

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?