• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 5 décembre 2025
  • Connexion
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

De l’autre côté

Une nouvelle de valérY meYnadier

contributeurs ponctuels Par contributeurs ponctuels
4 août 2025
dans Dossier du mois : L'Humour... l'Amour ! Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Un évènement attendu © photo Eric Desordre
Un évènement attendu © photo Eric Desordre –

« Il ne faut pas tant regarder ce que l’on mange

que celui avec lequel on mange. »

Epicure

 

Philomène aimait sa cuistance. Le matin, quand elle endossait son tablier, son premier geste, laisser glisser son index sur le plan de travail en acier bleu. Pas une miette. Tous les placards & tiroirs étaient dotés de splendides poignées en verre d’un bleu cobalt, style miroirs aux alouettes, le soleil venait y jouer. Parfois, elle ouvrait tous les placards, pour le simple plaisir de tirer sur les poignées rondes & apercevoir la pléthore de boustifaille qu’il y avait en réserve.

En cachette, elle avait éraflé un petit pan de mur azur, derrière le frigo. Que cela ne se voit pas. Dans sa poche, l’égratignure bleue.

En souvenir.

Le bleu n’existait plus nulle part, sauf ici, dans la cuistance.

Ça avait commencé comme ça, avec l’éraflure bleue. Puis, ce fut le verre. Elle avait raconté une salade à Madame enceinte jusqu’aux dents, que le verre tulipe à cause d’un courant d’air, bing… Alors qu’elle l’avait simplement chouravé, planqué dans son cagibi-chambrette. Quand les patrons mettaient le nez dehors, ce qui était de plus en rare, essentiellement pour les échographies, Philomène à pas de louve, allait derrière le bar, en bas, à droite, où le précieux Chivas de 76 ans d’âge… Ses papilles se délectaient à l’avance. Elle ouvrait la vitrine vintage & se versait un fond de liquide d’or, qu’elle faisait ensuite tourner dans le grand verre tulipe, que les arômes se libèrent. Puis, elle chipait des glaçons tintinnabulants.

C’était la fête.

Mais elle devait partir…

Son dur à cuire l’attendait de l’autre côté du mur. Presque tous les jours, il venait, il sifflotait leur chanson de rencontre, Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux, de Ray Ventura. La fenêtre de la cuistance donnait sur la haute muraille. Un jour, elle y jettera une corde.

C’est vrai ça, qu’est-ce qu’elle attendait ?

Ras le bol de jouer au cordon bleu  pour Madame & Monsieur !

Elle n’était pas heureuse, juste en sécurité, ce n’était pas la même chose. Avec Gaëtan, de l’autre côté, elle devenait l’égale de ce qui était arrivé au monde, l’égale du chaos…

Sous son lit, pourvu d’un matelas si maigre qu’on y sentait chaque latte, elle avait camouflé un sac à dos déniché dans la cave à vin. Elle s’endormait dessus, infusait sa fuite, rêvait qu’il était là, son dur à cuire, Gaëtan. Elle passait sa main dans ses cheveux rêches, un poil tapis, où tant de pas étaient passés. Combien de fois, il avait failli mourir son dur à mourir ?

 

De l’autre côté du mur, ça brûlait encore, elle voyait parfois de la fumée rougeâtre, sanguine, monter dans les airs. Signe de mort. De l’autre côté, la loi de la pesanteur n’existait plus pour le sang. Le fond de l’air était rouge. Sauf ici, de ce côté ci, ils piquaient les morts pour que le sang ne s’échappe pas. L’air était blanc de ce côté ci, blanc javel, légèrement jaunâtre, légèrement nidoreux, à peine, mais…

De l’autre côté, il y avait encore des cris de joie très hauts dans le ciel qui semblaient suspendus à des cerfs volants, ça gueulait de joie & ça sentait bon…

Ici…

 

Allons Philomène, qu’est ce que tu attends ?!

Elle avait, parfois, une petite voix, comme le signal d’un sonar de sous-marin qui lui montait des profondeurs. Souviens-toi… Souviens-toi…

Souviens-toi du petit mongolien.

Quand le champignon avait explosé, il avait appelé sa mère, persuadé qu’elle reviendrait d’entre les morts, mais non, elle était restée morte sous les décombres, quand quelqu’un, soudain lui avait pris la main au petit mongolito & lui avait dit, Viens…

Souviens-toi, vivre de toute sa vie, c’est ne pas avoir peur de tendre la main… Ici, plus personne ne se touche. Ici, chacun meurt de toute sa mort.

Souviens-toi des cloches de l’église, au bout de ta rue, quand tout a explosé, elles sont tombées elles aussi pour quelques jours plus tard, servir de niches aux chiens devenus libres ; c’était beau, ce caniche dans sa niche de bronze, souviens-toi, quelle poésie.

Ici, plus de chiens, plus de cloches, de mongoliens.

De l’autre côté, ça hurle à la mort, à la vie, à la poésie.

 

Du mieux qu’elle pouvait, elle chassait la voix & sortait faire un petit tour mais dehors, le rien dominait. Les regards croisés restaient à terre. Plus un arbre de vrai, tous en plastique sur des trottoirs chagrins… Au printemps, la Nouvelle Monocratie branchait des hauts parleurs géants d’où sortaient des chants d’oiseaux. L’hiver, les canons à neige balançaient dans le ciel épuisé, vidé de tous ces nuages. Les gens avaient peur des nuages de ce côté ci.

Le printemps & l’automne n’étaient plus que de vagues souvenirs.

Ici, tous masqués, vaccinés, harcelés par la peur.

Le chaos avait régné en maître, partout.

Les cendres fantomales des bibliothèques du monde entier n’en finissaient plus de monter vers des cieux désolés.

Mais de l’autre côté du mur, ils savaient lire dans les cendres…

De ce côté ci, ils avaient honte, se disait Philomène, honte des bons petits plats mijotés dans leurs cuistances, & de ce qu’ils jetaient dans les poubelles, plus de clodos dehors pour faire les poubelles…

Les clodos, ouste, de l’autre côté…

Honte & peur…

Philomène avait vu dans les yeux de Madame & Monsieur : leur mauvaise conscience planquée dans un angle mort de l’inconscient.

 

Quand de l’autre côté, ça rêvait, ça chantait, les voix entre elles tissaient l’avenir. Les mentons en galoche, les bouches prognathes, toutes les margoulettes papotaient à l’air libre. Ça riait à gorge déployée. Les dents se dévoilaient dans les sourires, pas seulement pour becqueter.

Les anormaux avaient voix au chapitre.

Ici, c’était monstrueux de normalité.

Après la catastrophe, la Nouvelle Monocratie avait fait croire à un virus décimeur. Ordre de porter le masque intégral. Pour Gaëtan, c’était la mort des visages en proue de l’humanité. Hors de question. Ordre de ne plus se parler, ne plus se regarder jusqu’à nouvel ordre…

Pour Philomène,  simple question d’adaptation. Gaëtan était passé de l’autre côté. Puis les puces identitaires sous la peau, les électrodes dans le cerveau, la loi sur l’eugénisme, les grossesses  extracorporelles & le mur qui se construisait de plus en plus.

 

S’adapter jusqu’à un certain point, se disait maintenant Philomène. Madame & Monsieur se cramponnaient à leurs masques.

Depuis quand, n’avait-elle pas vu le sourire de Madame ?

Ils dormaient avec !

Avec des rêves morts.

Avec ça, ils mangeaient à se péter la sous ventrière, ils s’humectaient le gosier avec du bon, très bon vin, dernière bouteille en date, un Pomerol Château Angélus 2039, ils regardaient mastoc de série préenregistrées sur leur canapé chic vermillon, truffé de coussins en velours & Madame allait pondre bientôt…

***

C’était un grand jour, jour de ponte. Philomène, boniche modèle en apparence, chapardeuse professionnelle en réalité, préparait une boustifaille de roi. Sur son plan de travail, viande de mouton haché, tomates coupées en gros dés, oignons émincés, pendant que les aubergines dégorgeaient.

Elle avait cueilli des fleurs artificielles dans le jardin. Pensez-vous, un nouveau venu, elle mettait les petits plats dans les grands. Elle aimait sa cuistance, cet évier en cuivre. Le cuivre avait des propriétés antibactériennes. Pour nettoyer les fruits & les légumes, parfait. Secrètement, elle se disait qu’elle pourrait s’en faire de beaux bijoux dans ce cuivre là, d’un rose saumon sauvage. Une bonne pince, un petit chalumeau & zou, dans la poche…

Quand elle l’entendit siffloter, elle avait l’ouïe fine, elle s’empara d’un sac poubelle & s’éclipsa quelques minutes… Dehors, ce n’était jamais simple. Tous, derrière leurs fenêtres à s’espionner les uns les autres.

Avec son sac poubelle, hardiment, elle se dirigea vers le mur.

Elle s’arrangeait toujours, au péril d’une réprimande électrique, pour aller jeter de la mangeaille rapinée chez Madame & Monsieur…

Il fallait entendre les braillements de gratitude, entre Merci & Encore…

Elle n’était pas la seule infiltrée ; heureusement.

Une révolution se préparait.

De plus en plus de petits trous dans la citadelle. Avec des tenailles, ça coupait le courant électrique.

Ça se préparait…

 

Il était là, en bas, avec sa rengaine Tu viens quand ?

Bientôt !

Qu’est ce que t’attends ?!

 

Elle aussi se rêvait un utérus plein.

Avec Gaëtan & pas ici, que le fœtus se développe en plein cœur du réel, avec la guitare de papa, entouré d’humains occupés à rester humains.

Allez, fi de ta philosophie, Philo, amène-toi, Amen, il dit son homme des bois, en bas.

Hummm, depuis combien de temps elle n’avait pas senti le corps de cet homme en elle. Un corps d’écorce, robuste, où le désir gravé.

Elle repartit pleine de sève.

Mais sans courage.

 

Le courage allait lui être donné. Madame & Monsieur étaient de retour.  Madame gloussait dans le salon, Philomène se précipita, vite, voir la trogne du nouveau venu, elle ne put retenir un cri d’effroi.

Quelque chose de vaporeux, voletait devant la bouche du bébé, comme une fine toile d’araignée squameuse.

Madame dit qu’on lui avait dit que c’était les conséquences du vaccin contre les effets du champignon, le fœtus s’était fait son propre opercule, tissé dans les tissus ovariens de maman. Le médecin l’avait baptisé : l’épidermocovid…

N’est-ce pas pratique, avait dit Madame, un masque incorporé ?

Demi-tour, Philomène, mais la cuistance s’était mise à tourner, tourner, un vrai manège de placards, la desserte multi-rangements aussi, jusqu’au frigo, vint le vaisselier en manguier massif qui appartenait à la grand-mère de Monsieur, ça tournait, la cocotte en fonte bleue marine, le cuivre de l’évier ondulait autour de Philomène qui gisait sur le sol en grès turquoise !

Madame hurlait le nom de Monsieur pendant que Philomène se disait qu’il était temps, grand temps de quitter ce monde qui coûtait trop cher, de la chair en moins…

Où étaient donc les lèvres de Bébé ?!

& pourquoi ne pleurait-il pas ?

Un monde où les pleurs de bébé n’existaient plus ?

 

Quelques jours plus tard, Madame & Monsieur partirent pour une tournée, présenter le moussaillon…

Les naissances devenaient rares.

 

Fini d’attendre. Quand elle prit conscience : elle quittait les lieux ! Elle était en train de faire chauffer le cognac, de le verser, le faire flamber…

Elle était bien ici, zéro questions à l’horizon, tous le même point de vue, comme de prendre des tranquillisants à perpétuité. Elle fut prise de gros sanglots aussitôt jugulés par la chanson de leur rencontre : Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?

Instantanément, la chanson fut là, secrète marraine de sa fuite. Les paroles furent remplacés par : « … ton sac à préparer, quelques couteaux de qualité, de la bectance à gogo & pour s’enivrer : le Chivas- va, va Philo, Philo, mène, mène ta barque… »

 

Enfin, le bon petit plat fut sur le feu. Un coq au vin.

Certes, elle allait faire vache maigre, de l’autre côté : cuisine, chambre- des mots creux, mais de l’autre côté, les enfants naissaient la bouche au vent. Avec des petits creux, certes, des gros creux, la faim au ventre, certes… Mais pouvant ouvrir leur gueule & gueuler à la lune.

« … va, va Philo, Philo, mène, mène ta barque & n’attends plus pour être heureuse… »

Elle ferme la porte doucement, sans regret, derrière elle un bouquet de bouffe aux mille senteurs. Son cocorico d’adieu. Madame & Monsieur comprendraient.

Quelqu’un l’attendait, avec qui, peut être faire un lardon, libre de lardonner ou pas…

Leur mets favori à tous les deux ?

La liberté.

Elle jette la corde, se jette dans le vide, dans les bras de son dur à cuire, elle va là où la mort a une toute petite place & la vie, toute la place.

 

valérY meYnadier

Juillet 2025

Tags : Dossier du moisnouvellepoètevalérY meYnadier
Article précédent

Portrait de l’amour en farce cruelle

Article suivant

L’Humour… l’Amour !

contributeurs ponctuels

contributeurs ponctuels

Divers auteurs qui ponctuellement vont écrire un article pour Rebelle(s), sans pour autant être des contributeurs réguliers.

Article suivant
L'Humour... l'Amour !

L'Humour... l'Amour !

Veuillez vous connecter pour participer à la discussion

Dossier L’Humour… L’Amour (cliquez ici)

Amour humour
Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
La nature et l'univers sont violents, mais pas cruels
Alejandro Jodorowsky
L'intelligence ne peut pas ouvrir un cœur fermé. Seul un autre cœur ouvert peut l'ouvrir.
Alejandro Jodorowsky
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Ne dis pas tout ce que tu sais, ne crois pas tout ce que tu entends, ne fais pas tout ce que tu peux. Garde en toi un jardin secret.
Alejandro Jodorowsky
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Si tu veux arrêter de faire ce que tu fais, arrête d'être ce que tu n'es pas.
Alejandro Jodorowsky

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Envers et contre tout
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : L'espérance… aujourd'hui ?
  • Dossier du mois : L'Éveil
  • Dossier du mois : L'Humour… l'Amour ! Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?
  • Dossier du mois : L'Ironie – les poètes à l'attaque
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Dossier du mois : Un chemin d'égarement
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Hommage à Jean-Luc Maxence
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Cosmologie amoureuse 1 décembre 2025
  • Le Petit Fugitif 30 novembre 2025
  • Les Obstinés 30 novembre 2025
  • L’espérance… aujourd’hui ? 22 novembre 2025
  • Larmes d’espoir 22 novembre 2025
  • Mes énervements – Part 2 22 novembre 2025
  • L’espérance pour reflets 22 novembre 2025
  • Éveil de l’impossible 22 novembre 2025
  • Max Jacob 22 novembre 2025
  • Mon espoir est rance 22 novembre 2025
  • Ma couleur politique est celle de l’espérance 22 novembre 2025
  • Poèmes pour Rebelles 22 novembre 2025
  • La Poire de l’Espoir 22 novembre 2025
  • Espérance 22 novembre 2025
  • 1977, QUELLE PAIX ? 22 novembre 2025
  • Comme un désespéré qui espère 22 novembre 2025
  • Louis Guilloux 14 novembre 2025
  • Grand Périclès 14 novembre 2025
  • Nom de nom ! 14 novembre 2025
  • La note, s’il vous plaît ! 9 novembre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Sixième et dernière partie 6 novembre 2025
  • Une poitrine couverte de nuages 30 octobre 2025
  • Hommage à Jean-Luc Maxence – lectures, rencontre et dédicaces 30 octobre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Cinquième partie 30 octobre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Quatrième partie 22 octobre 2025
  • Mes énervements 22 octobre 2025
  • Quelques larmes de whisky 19 octobre 2025
  • Les indiens perdent toujours 3/3 19 octobre 2025
  • À contre-ciel 19 octobre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Troisième partie 15 octobre 2025
  • Les indiens perdent toujours 2/3 10 octobre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Deuxième partie 8 octobre 2025
  • Les indiens perdent toujours 1/3 5 octobre 2025
  • Les ferrailleurs de l’Everest 3 octobre 2025
  • Sur La Route : road books, road movies et road songs – Première partie 30 septembre 2025
  • Hennissement des ombres 28 septembre 2025
  • Laura 26 septembre 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Huitième et dernière partie 23 septembre 2025
  • Il est difficile d’être un dieu                                              19 septembre 2025
  • Le poids, le temps , le flux et l’espace comme partition dans la danse contemporaine 19 septembre 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Septième partie 16 septembre 2025
  • L’intrigue du regard 14 septembre 2025
  • De la peine de mort 13 septembre 2025
  • À propos du Manifeste pour un avenir non-politique 12 septembre 2025
  • Kiss me deadly 12 septembre 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Sixième partie – Alliage 9 septembre 2025
  • Maratea, en attendant 6 septembre 2025
  • Apologie 2 septembre 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Cinquième partie 2 septembre 2025
  • En ces temps de commémoration de la bombe atomique , ci-joint un texte qui m’envahit depuis si longtemps 31 août 2025
  • Un jour à Maratea 31 août 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Quatrième partie 28 août 2025
  • Trop d’IA tue(ra) les fake news 27 août 2025
  • Vallis Clausa, la magie du papier chiffon 22 août 2025
  • Théo, l’en-chanteur 22 août 2025
  • Entretien avec Sandra Bernard 22 août 2025
  • Pourquoi le Salon Zen de Paris a disparu des radars de la Miviludes ? 20 août 2025
  • Oh oui, fais-moi l’humour ! 9 août 2025
  • Le bord délicieux 9 août 2025
  • Vous sentez-vous à l’article de l’amour… ?! 9 août 2025
  • Histoire de godasses 9 août 2025
  • Le râteau quantique 9 août 2025
  • Abrivade, abri vaste 9 août 2025
  • Enfin quelques jours de vacances, en amoureux 9 août 2025
  • Et si on décidait d’être heureux ? 9 août 2025
  • L’autobus 4 août 2025
  • L’Humour… l’Amour ! 4 août 2025
  • De l’autre côté 4 août 2025
  • Portrait de l’amour en farce cruelle 4 août 2025
  • M’aime avec un rire — version infusée 4 août 2025
  • L’homme qui aimait ceux qui écrivent 4 août 2025
  • La satire, un convive de choix 4 août 2025
  • Caramel, bonbons et Chocolat ! 4 août 2025
  • Art-Hahahahahaha-Art 4 août 2025
  • L’ombre de notre amour 4 août 2025
  • Est-ce ainsi que les putes vivent ? 28 juillet 2025
  • L’amour n’est pas aimé 28 juillet 2025
  • La nuit du chasseur 19 juillet 2025
  • Un art à part 19 juillet 2025
  • Les boys band, miroir d’une époque – Troisième partie (2Be3) 13 juillet 2025
  • Chemin de paix 11 juillet 2025
  • Les femmes et le vin – 2/2 11 juillet 2025
  • Les femmes et le vin – 1/2 6 juillet 2025
  • La pensée médicale en action 6 juillet 2025
  • Népal dans la brume – 2ème partie 4 juillet 2025
  • Velvet Blues 30 juin 2025
  • Népal dans la brume – 1ère partie 30 juin 2025
  • Flora Tristan, premier centre d’hébergement pour « femmes battues » en France 22 juin 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Deuxième partie 20 juin 2025
  • Espace aérien 16 juin 2025
  • Wikipédia, ou le piège de la « connaissance » consensuelle 15 juin 2025
  • Les boys bands, miroir d’une époque – Première partie 12 juin 2025
  • Du Loto, des défunts et des boîtes à musique 8 juin 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite et fin 8 juin 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, cinquième et dernière partie 5 juin 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 25 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 25 mai 2025
  • Les riches contre la planète 9 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 4/4 – Suite et fin 9 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? – Suite 9 mai 2025
  • Le journalisme : funambule sur le fil de l’enclume et du marteau 7 mai 2025
  • La mort du Héros 4 mai 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, quatrième partie 3 mai 2025
  • Les intérieurs au cinéma 3/4 2 mai 2025
  • Tu as dit “Poésie” ??? 2 mai 2025
  • Les racines de la France sont-elles chrétiennes ? 28 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, troisième partie 27 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma 2/4 25 avril 2025
  • Joseph Delteil 25 avril 2025
  • Un mâle pour un bien ? 25 avril 2025
  • Chant pour une âme sans défense 25 avril 2025
  • Palestine Je te chéris 14 avril 2025
  • Les intérieurs au cinéma – 1/4 13 avril 2025
  • L’impartagée 13 avril 2025
  • Rapport Miviludes et Témoins de Jéhovah, un peu d’honnêteté que diable ! 12 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, deuxième partie 9 avril 2025
  • Kenneth White – Une oeuvre océan 7 avril 2025
  • La vie, la poésie 7 avril 2025
  • Deep Purple, le mètre étalon du hard rock, première partie 2 avril 2025
  • Jean Cocteau, poète anarchiste homosexuel à Paris 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 1/2 30 mars 2025
  • Pour Jean-Luc Maxence 2/2 30 mars 2025
  • Interroger le monde 30 mars 2025
  • Une famille humaine au cœur des ténèbres 23 mars 2025
  • Laterna Magica 23 mars 2025
  • Le territoire des ronces 23 mars 2025
  • Trump, Zelensky, hospitalité et déclin de l’Amérique 9 mars 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Invincible et fin du King of Pop 9 mars 2025
  • frank : sonnets 8 mars 2025
  • Histoires courtes et durables 8 mars 2025
  • À Jean-Luc 2 mars 2025
  • Emmène-moi loin d’ici, la lumière me manque 2 mars 2025
  • À contre-ciel : éloge d’un révolté 2 mars 2025
  • Salut l’ami ! Attends-moi là-bas ! 2 mars 2025
  • Fracas et furie 2 mars 2025
  • Jean-Luc Maxence en allé ! 2 mars 2025
  • Poème à Jean-Luc Maxence 2 mars 2025
  • Le goût du feu 2 mars 2025
  • Tu es « né au Ciel » 2 mars 2025
  • Le poète thérapeute, l’ami infaillible 2 mars 2025
  • Saint-Rémy 23 février 2025
  • Identification d’une femme 23 février 2025
  • M. QUELLE 12 février 2025
  • Antichrist 12 février 2025
  • L’avènement de Michael Jackson, Dangerous 10 février 2025
  • C’était mieux après ! 9 février 2025
  • Ghost Dog – La voie du samouraï 9 février 2025
  • Qu’arrive-t-il à la terre en Ukraine aujourd’hui ? 31 janvier 2025
  • Architecture et montagne 31 janvier 2025
  • Transfuge de classe 24 janvier 2025
  • Et pourtant, l’espoir 24 janvier 2025
  • Sommes-nous toujours Charlie ? 18 janvier 2025
  • Nos cauchemars sont calmes comme des oiseaux endormis 18 janvier 2025
  • Moravagine, un livre envers et contre tout  18 janvier 2025
  • Jean-Luc Maxence 15 décembre 2024
  • Boualem Sansal 30 novembre 2024
  • La belle vie ! 30 novembre 2024
  • Chemin d’égarement et point de non-retour 26 novembre 2024
  • Le voyage essentiel de Jodorowsky 25 novembre 2024
  • Choisir son camp 24 novembre 2024
  • Le multilatéralisme, les nouveaux centres de pouvoir et les BRICS 21 novembre 2024
  • Un chemin d’égarement 16 novembre 2024
  • Itinéraire court au centre de la Galaxie 16 novembre 2024
  • Maman s’était encore envolée 16 novembre 2024
  • Fugue 16 novembre 2024
  • J’appelle la pluie des faibles 16 novembre 2024
  • Tombouctou 16 novembre 2024
  • En sortant de l’école 16 novembre 2024
  • Échos désagrégés 16 novembre 2024
  • Pas coupables, mais responsables 16 novembre 2024
  • Saint-Roch 16 novembre 2024
  • Situ 16 novembre 2024
  • d’égarement et de défaites 16 novembre 2024
  • Je ne dors pas, je suis sans milieu 16 novembre 2024
  • Le livre surréaliste au féminin, esthétique avant-gardiste promue par les femmes artistes 14 novembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Bad 12 novembre 2024
  • Habiter sa trace 5 novembre 2024
  • Du cyber-harcèlement à l’agression sexuelle il n’y a qu’un pas–sage à l’acte 3 novembre 2024
  • De l’ironie dramatique 2 novembre 2024
  • Denez Prigent 27 octobre 2024
  • Hommage au poète Kenneth White 27 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, les vidéos 23 octobre 2024
  • Enfin j’arrive à me coucher 20 octobre 2024
  • Télé Z 20 octobre 2024
  • Amok 19 octobre 2024
  • Envers et contre tout 13 octobre 2024
  • Du journalisme de pacotille 13 octobre 2024
  • La haine de l’autre, exutoire de la haine de soi 13 octobre 2024
  • Questions à Gérard Netter, psychologue clinicien 13 octobre 2024
  • Interview de Mattéo Vergnes, peintre et poète 13 octobre 2024
  • La montagne de l’incertitude 13 octobre 2024
  • Basket fauteuil – Femmes : Chine / Grande- Bretagne 13 octobre 2024
  • Arrêtez 13 octobre 2024
  • En enfer et contre tout ! 13 octobre 2024
  • Ailefroide 13 octobre 2024
  • Dialogue aux Envers 13 octobre 2024
  • L’ire au nid 13 octobre 2024
  • Les battements d’ailes 13 octobre 2024
  • Variations sur l’ironie 13 octobre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique II 7 octobre 2024
  • Le ver de cuivre 29 septembre 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Thriller, la musique I 5 septembre 2024
  • D’ici 1 septembre 2024
  • Les 114 (suite) 17 août 2024
  • Les 114 10 août 2024
  • Mircea Eliade 17 juillet 2024
  • Russie : le chaman anti-Poutine interné en psychiatrie ne sera pas libéré (Alexandre Gabychev) 16 juillet 2024
  • L’avènement de Michael Jackson, Off The Wall 16 juillet 2024
  • Le gymnaste des tartines 10 juillet 2024
  • Highlands 6 juillet 2024
  • Le « mais » nouveau est arrivé 27 juin 2024
  • Islamisme, et lutte idéologique 27 juin 2024
  • Michael Jackson 1 : l’avènement de Michael Jackson, les Jacksons 26 juin 2024
  • Fou d’Amériques 15 juin 2024
  • Voix vive 9 juin 2024
  • L’oie et les deux jars 7 juin 2024
  • Détruire la démocratie pour sauver la démocratie ? 25 mai 2024
  • Ironie des espaces temps : quelle histoire ! 25 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Cinquième et dernière partie 22 mai 2024
  • L’Ironie – les poètes à l’attaque 10 mai 2024
  • Irone de l’iris 10 mai 2024
  • Cinémots. Cinémaux. 10 mai 2024
  • Ironicomancie 10 mai 2024
  • Vos livres de l’été 10 mai 2024
  • Retour 10 mai 2024
  • Râ, ou l’ire honnie 10 mai 2024
  • Les Opérations d’Ovaine et Comment elle ne s’est pas Retenue (extraits) 10 mai 2024
  • La fuite 10 mai 2024
  • Clément Rosset 10 mai 2024
  • Pauses au logis 10 mai 2024
  • Coquetterie 10 mai 2024
  • L’ironie fait des politesses 10 mai 2024
  • Échelle de nombre 10 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Quatrième partie – Kaya 9 mai 2024
  • Entretien avec Regina Elsner – L’Ukraine a une tradition historique de pluralité religieuse et de tolérance 5 mai 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Troisième partie 5 mai 2024
  • Un jeune chaman 26 avril 2024
  • Le Grand Amoureux 14 avril 2024
  • La zone d’intérêt 7 avril 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Deuxième partie 30 mars 2024
  • Bob Marley, prophète rasta d’une fraternité universelle et laïque – Première partie 23 mars 2024
  • Loi de 2004 sur le port de signes religieux à l’école : le constat d’un échec ? 16 mars 2024
  • J’ai aimé « J’ai péché… » (Abnousse Shalmani) 5 mars 2024
  • Earth, Wind & Fire, la voix des anges – Sixième et dernière partie 5 mars 2024
  • Vous serez ce que je suis (II) 29 février 2024
  • Une nuit, avec Théo 26 février 2024
  • L’Éveil comme affranchissement de la gravité 20 février 2024
  • En marge de tout, éveil, ou le mystère… 20 février 2024
  • La grimpette de l’éveil 20 février 2024
  • Sève qui peut 20 février 2024
  • Métagraphies 20 février 2024
  • J’ai assis la Beauté sur mes genoux 20 février 2024
  • Bourbaki – Un éveil aux beautés mathématiques, mais pas que… 20 février 2024
  • Manifeste pour un avenir non-politique 20 février 2024
  • La Route de l’Inca 20 février 2024
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2025

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre(s) – Spectacle(s) – Expo(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2025

Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?