« Maintenant, je sais, je sais, je sais » Avec cette chanson de 1974, Jean Gabin se dresse comme le précurseur de la culture woke, malgré la littérature officielle qui la ferait naître en 2013 après l’acquittement d’un veilleur de nuit américain assassin d’un jeune noir. Partant de là, le mouvement Black Lives Matter a pu imposer ce gimmick insistant sur la puissance mobilisatrice de la conscience politique dans la société. Il s’inspirait des « cacerolazos » argentins au tournant des années 2000, lorsque les batteurs de casseroles dénonçaient, devant leurs domiciles, les tortionnaires militaires qui avaient sévi à l’École Mécanique de la Marine. Apparemment, un nouvel avatar de la non-violence comme agir politique.
Dilemme : restez woke ou Indignez-vous ?
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