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L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers

William H. Miller Par William H. Miller
20 février 2023
dans Rock and Folk et Musique(s)
1
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Rolling Stones Sticky FingersC’est l’histoire derrière l’album Sticky Fingers des Rolling Stones. On dit souvent qu’un malheur n’arrive jamais seul. Après le désastre d’Altamont, un nouveau désastre attend les Stones quand ils rentrent en Angleterre. Un désastre purement financier celui-là mais aux conséquences humaines importantes sur le long terme.

Le cas Allen Klein

C’est l’histoire vieille comme le monde de l’artiste dépouillé par son manager. David Bowie et Michel Polnareff également pourraient nous en dire long sur le sujet. Depuis plusieurs années, Allen Klein est le manager et homme de confiance des Stones. Il a réussi à renégocier à leur avantage le contrat avec leur maison de disques, Decca. L’argent circule et tout a l’air de marcher. Seul petit problème : Allen Klein possède dans les faits les droits des chansons des Stones pour l’Amérique. Par un tour de passe-passe juridique, il en a dépossédé les Stones (on devrait toujours lire les contrats qu’on signe :-)). La vérité ne va se faire jour qu’en cette année 1971 où le groupe découvre que tout l’argent que leur verse Klein ne représente que des avances à valoir, pas leur argent à eux. De plus, contrairement aux arrangements pris, il n’a pas payé leurs impôts et les Stones se retrouvent avec une dette colossale vis à vis du fisc britannique.

La menace est différente pour chaque Stone. Mick Taylor, qui n’est que depuis un an avec les Stones, n’a pas encore eu le temps d’avoir énormément de revenus. Ce n’est donc pas un problème pour lui. Charlie Watts et Bill Wyman touchent depuis le début du groupe des royalties sur les ventes de disques et sur les concerts, pour lesquels ils sont payés. Le problème est donc déjà conséquent en ce qui les concerne (environ 100 000 livres chacun). Pour Mick Jager et Keith Richards, auteurs et compositeurs du groupe, on entre dans une tout autre magnitude : en plus des royalties et des concerts, ils touchent les droits d’auteur de toutes les chansons du groupe pour l’Europe et là, on a à faire à une véritable catastrophe, le fisc britannique de l’époque prélevant facilement 93 % sur les revenus des artistes à succès. Donc, plus ils vont gagner d’argent en tant que résidents fiscaux en Angleterre et plus ils vont en devoir.

Des changements de cap draconiens

Sur l’impulsion de Mick Jagger, les Stones vont engager une armée d’avocats et d’hommes d’affaires qui vont gérer tous les aspects de leurs finances, le même Jagger devenant particulièrement exigeant sur le sujet et un peu amer aussi, évidemment. Quelques années plus tard, Keith Richards aura une vision plus nuancée de cette histoire : “quand vous découvrez que vous vous êtes fait avoir et qu’une vraie fortune vous a été dérobée, ça vous rend dur, amer, c’est sûr. Avec le recul, j’ai l’impression que c’est cette histoire qui nous a amenés là où nous sommes, qui nous a décidés à être également professionnels dans l’aspect business. De ce point de vue, Allen Klein est celui qui nous a baisé mais c’est également lui qui nous a fait, du coup… Alors, tout cet argent perdu, je me dis que c’était peut-être le prix de l’éducation, après tout (rires)”.

Et des changements, il va y en avoir pas mal. Les Stones finissent leur contrat avec Decca et créent leur propre maison de disques, Rolling Stones Records. Ils cessent toute activité avec Allen Klein après avoir récupéré ce qui pouvait l’être et ont leur propre bureau de management. Pour stopper “l’hémorragie fiscale”, ils deviennent non-résidents fiscaux et vont s’installer en France après avoir effectué une tournée d’adieu en Angleterre. Quand sort l’album Sticky Fingers, ils ont déjà déménagé.

Les morceaux de Sticky Fingers

Sticky Fingers témoigne d’une grande maturité créative en général et plus particulièrement d’une osmose entre Keith Richards et Mick Taylor dont c’est le premier album auquel il contribue pleinement. Les Stones ont à nouveau deux guitaristes en studio. Ce n’était pas arrivé depuis l’album Between The Buttons en 1966.

Brown Sugar : ça commence très fort ! Ce morceau fera inévitablement partie de tous les concerts des Stones à venir. Keith Richards récidive brillamment dans l’open tuning de sol utilisé depuis 1967 et Bobby Keys fait un solo de saxophone mémorable.

Wild Horses : une magnifique balade, peut être leur plus belle. Les paroles du refrain sont de Keith qui, en pleine tournée américaine de novembre 1969, y exprime sa mélancolie d’être loin de sa femme Anita et de leur fils nouveau-né Marlon. Les couplets sont de Mick qui surfe avec talent sur cette idée. Je n’ai pu m’empêcher de joindre également la version parue dans l’album Stripped en 1995.

Can’t You Hear Me Knocking : ça commence avec un riff imparable de Keith puis, graduellement, le morceau évolue vers une ambiance Fusion/Jazz/Latin où Mick Taylor nous délivre un solo de toute beauté.

You Gotta Move : un Country Blues de Freddie McDowell, ici adapté avec talent, de manière brute et aux paroles énigmatiques : les couplets décrivant ce qui peut mal tourner dans la vie et à quel point le monde est dur, se ponctuent tous par le credo Mais quand le Seigneur sera prêt, il te faudra partir.

Bitch : les Stones ont une section cuivres, Bobby Keys et Jim Price, qui porte le morceau très haut et lui donne une classe indéniable. Le riff principal est de Mick Taylor, Keith brode dessus en contrepoint.

I Got The Blues : les Stones aussi savent écrire leurs propres blues et ce morceau en est la preuve concrète. Keith Richards et Mick Taylor tricotent des arpèges qui se répondent et se complètent à droite et à gauche de l’espace stéréo dans une osmose parfaite. Très beau solo d’orgue de Billy Preston. La section cuivres intervient ponctuellement avec subtilité, totalement dans l’esprit de celles des disques Stax dans les années 60 (Otis Redding, Wilson Pickett).

Sister Morphine : contrairement à ce que le titre pourrait laisser penser, ce n’est pas une chanson sur les drogues sous leur angle “récréatif”. C’est l’histoire d’une personne qui se retrouve aux urgences après un accident et qui prend conscience qu’elle est en train de mourir, la morphine étant devenue la seule chose lui permettant d’affronter l’inévitable. Ry Cooder y joue tout au long du morceau l’un des plus beaux solos de guitare slide qui soient, l’un des plus techniques également. Un son terrible, qu’on croirait provenir des Enfers.

Moonlight Mile : certainement la chanson la plus injustement sous-estimée des Stones. Un homme voyage de nuit dans un train et observe la lune, pensant que la femme qu’il aime voit le même astre au même moment. Il n’est plus qu’à quelques “kilomètres de clair de lune” d’elle. Un processus inhabituel pour l’écriture de cette chanson : Mick Jagger a composé un thème sonnant un peu musique chinoise. Mick Taylor a arrangé ce thème sur une guitare accordée en open tuning de sol et proposé que Paul Buckmaster dirige un arrangement d’orchestre à cordes dessus. Keith Richards n’intervient absolument pas, ni sur la composition ni dans l’enregistrement mais le résultat est tout simplement bluffant, mettant en valeur la solitude dont le texte est emprunt.

La tournée britannique d’adieux de Sticky Fingers

Avant de quitter l’Angleterre, les Stones y font une tournée de concerts. Pour bien des fans, l’ambiance est à l’émotion : leur groupe préféré ne résidera plus sur l’île. Il deviendra progressivement le groupe international que l’on connaît. Un document intéressant de cette tournée est le documentaire Live At The Marquee Club, film de leur concert dont le choix du lieu n’est pas innocent : c’est le club où ils ont fait leurs débuts et commencé à construire leur renommée. La version Super Deluxe de Sticky Fingers contient également les concerts de la Roundhouse de Londres et de l’Université de Leeds pendant la même tournée.

La prochaine fois : après Sticky Fingers, Exile On Main Street

Tags : keith richardsmick jaggermusiquerockrolling stonesSticky Fingers
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Irréfutable essai de successologie

William H. Miller

William H. Miller

Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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Irrefutable essai de successologie de Lydie Salvayre Ed. Seuil janvier 2023 168 p. 1750 E

Irréfutable essai de successologie

Commentaires 1

  1. Metivier Éric says:
    Il y a 1 mois

    Très intéressant

    Répondre

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