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L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet

William H. Miller Par William H. Miller
13 janvier 2023
dans Rock and Folk et Musique(s)
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Rolling Stones Beggars Banquet8 décembre 1967. Les Rolling Stones sortent Their Satanic Majesties Request, un album dont on peut dire sans se tromper que seuls les fans indécrottables l’ont écouté plusieurs fois. Englué dans un psychédélisme au goût du jour, il montre les Stones dans un contexte qui ne leur est pas favorable et tout ça donne à l’ensemble un côté très “laborieux”.

Une année difficile pour les Rolling Stones

Il faut dire que l’année 1967 a été particulièrement dure et l’enregistrement de l’album s’est étalé sur 8 mois. A tour de rôle, Keith Richards, Mick Jagger et Brian Jones ont été condamnés pour utilisation de drogues et ont failli faire de la prison. Ce n’est que suite à une protestation générale, y compris du prestigieux Times, que l’establishment a compris qu’il était allé trop loin. Toute la procédure montre clairement que les Stones n’ont pas été traités comme des délinquants ordinaires mais qu’on voulait les “abattre”, abattre le symbole qu’ils représentaient aux yeux du même establishment. Pour la petite histoire, pendant le procès, le juge a apostrophé brutalement Keith Richards, devenant carrément insultant, ce qui ne fait pas partie des prérogatives d’un magistrat. L’intéressé a répliqué avec morgue : “Monsieur, votre morale mesquine ne m’intéresse pas.”

Il est amusant de constater que l’establishment a grandement contribué à faire des Stones des héros, leur faisant involontairement une promotion de taille. En effet, si cette attaque n’avait pas eu lieu, les Stones seraient restés un groupe excentrique, voilà tout. Au lieu de ça, en voulant les abattre, l’establishment en a fait des héros de la jeunesse et, éventuellement, de la classe ouvrière. Peu soucieux d’apparaitre comme des personnalités aux visées politiques, les Stones n’aspiraient pas un tel statut mais l’establishment le leur a apporté sur un plateau.

Quoi qu’il en soit, les Stones sont vidés, en panne d’inspiration et l’album qui vient de sortir n’est pas pour leur remonter le moral. Vient aussi le temps des bilans. Brian Jones est de plus en plus incontrôlable, ne venant aux séances que quand ça lui chante. Son ancienne petite amie, qu’il adorait, est désormais avec Keith Richards, ce qui n’aide pas à établir une bonne ambiance de travail. Keith Richards fait, lui aussi, un constat amer : “Pendant les premières années du groupe, j’avais appris à écrire des chansons et à faire de bons concerts mais je n’avais pas progressé en tant que guitariste. Je n’avais toujours pas trouvé ‘mon truc à moi'”.

L’idée de génie

Cette frustration du musicien va l’amener à revenir aux sources : l’écoute des disques de blues qui lui ont donné envie d’être guitariste en premier lieu. S’il y a un début à l’âge d’or des Rolling Stones, c’est peut-être bien cette volonté d’exorciser cette frustration de cette manière. Et l’écoute des vieux disques de blues peut être intrigante pour un guitariste. Les guitares sont parfois accordées de manière particulière : plutôt que l’accordage courant, les cordes sont accordées entre elles pour produire un accord. On appelle ça “open tuning”. Pour le guitariste lambda, c’est tout un monde de possibilités nouvelles qui s’offrent à lui. Rien de ce qu’il avait appris ne marche mais plein de choses nouvelles tombent naturellement sous les doigts. C ‘est très stimulant en terme de créativité. L’open tuning existe aussi en musique celte mais c’est dans le cadre du blues et du rock que Keith Richards va en faire sa marque de fabrique, son “truc à lui”. Il utilisera plusieurs open tunings dans l’album, en Mi, en Ré, mais, dans les mois suivants, l’open tuning de Sol deviendra son préféré sur l’ensemble de sa carrière car il le trouvait plus inspirant en ce qui le concerne. Il prendra l’habitude de jouer sur des guitares à cinq cordes, la sixième ou grosse corde ne servant plus à rien. Une majorité de morceaux des Stones sont joués en open tuning de Sol. Par conséquent, si vous entendez un jour un groupe jouer du Stones et que ça sonne Stones comme si c’était joué dans un bal de campagne, c’est que le guitariste ne connait par l’open tuning de Sol ou qu’il le maitrise comme un sagouin. Il ne suffit pas d’accorder sa guitare en open tuning de Sol pour jouer comme Keith Richards. C’est une forme d’art en soi, qui demande pratique assidue et étude passionnée de tous les paramètres entrant en ligne de compte (main droite, main gauche, réglages de la guitare et de l’ampli guitare). Et c’est le point de départ de l’âge d’or des Rolling Stones, l’évènement fondateur.

Un retour aux sources

Pour l’heure, c’est un véritable retour aux sources que les Stones se proposent d’accomplir : utilisation massive de la guitare acoustique, instruments naturels comme le piano, les percussions, etc. Comme le dira plus tard Keith Richards : “Ca peut être grandiose la guitare électrique mais ça consiste quand même surtout à jouer avec le son. Avec la guitare acoustique, vous jouez avec les notes, avec l’instrument, avec une texture sonore prédéfinie. Ce n’est pas la même approche”. Et de la guitare acoustique, il va y en avoir vraiment beaucoup sur cet album.

Un autre facteur qui contribue à tout changer est l’arrivée du producteur Jimmy Miller. Il devient comme un sixième membre du groupe en studio, aide les Rolling Stones à réaliser les innovations dont ils rêvent et, d’une manière générale, fait que tout se passe bien et rapidement. Keith Richards notamment, pour ses idées de son novatrices dans Jumpin’ Jack Flash et Street Fighting Man, sera grandement aidé par la compréhension et la contribution de Jimmy Miller. Tout autre producteur l’aurait envoyé balader face à des idées aussi étranges (voir ci-dessous).

Les morceaux

Bien que ne faisant pas partie de l’album parce qu’il est seulement sorti en single, Jumpin’ Jack Flash en est le premier jalon atteint avec cet état d’esprit de renaissance. Une curieuse innovation de Keith Richards : il enregistre une guitare acoustique par le micro intégré d’un magnétophone à cassettes Phillips, qui vient d’arriver sur le marché. L’appareil est ensuite repris sur une enceinte acoustique puis enregistré au micro relié à la console d’enregistrement. Le son est très, très original. On a quelque chose à mi-chemin entre le son acoustique et le son électrique. Les paroles traitent de l’histoire d’une personne malmenée par les “éléments” mais qui en ressort plus forte. La métaphore avec leurs démêlés judiciaires pour utilisation de drogues semble évidente. Keith Richards : “Je voulais juste vivre comme je l’entendais mais même ça c’est trop pour le système. Il faut qu’ils contrôlent tous les aspects de votre vie, c’est maladif. Jumpin’ Jack Flash c’est ça : vous voulez faire de nous les ennemis publics N° 1 ? OK ! On n’a pas voulu de ce rôle mais puisqu’il le faut, on va le jouer.”

L’album débute avec une longue pièce musicale accompagnée par des percussions de samba, Sympathy For The Devil. Mick Jagger s’y présente comme le Diable en personne et décrit tout ce qu’il a accompli dans l’Histoire. Le morceau est traité comme un crescendo où la basse, jouée par Keith Richards et le piano de Nicky Hopkins, imperturbables, soutiennent l’arrivée des choeurs puis un solo du même Keith, sans doute l’un de ses meilleurs jamais enregistrés. Les aigus y sont crispés à l’extrême et soulignent l’aspect “diabolique” des paroles.

No Expectations est une très belle chanson et constitue le chant du cygne de Brian Jones. Lui d’habitude complètement absent pendant les séances, s’est soudain saisi d’une guitare acoustique et a placé sur le morceau une magnifique partie de guitare slide, sans laquelle il est devenu impossible d’imaginer le morceau désormais. L’ensemble de l’instrumentation, guitare rythmique, piano et orgue, évolue avec une grande délicatesse, soulignant la solitude exprimée par les paroles.

Parachute Woman est un de ces blues qui interpellent. Le son en est… Etonnant ! Comme un moustique qui bourdonne dans l’oreille.

Je ne m’étendrai pas trop sur Street Fighting Man, cette chanson ayant fait l’objet d’un article dédié disponible sur ma page (elle le méritait bien !).

Pour faire court, on utilise à nouveau la guitare acoustique avec un Phillips à cassettes. Les paroles en font une ode exaltée à l’insurrection, un regard lucide sur ses limites et une auto reconnaissance de la génération des Rolling Stones, “ceux qui ont bien mal grandi”, disent les parents. Comment font-ils pour harmoniser trois messages aussi différents dans une seule chanson ? Peu importe…  Ils le font et cela seul compte.

Autre signe du retour à la guitare acoustique, la reprise de la chanson de Robert Wilkins, Prodigal Son.

Le premier chef d’oeuvre

L’album sort le 6 décembre 1968. Les Rolling Stones avaient déjà fait de bons albums mais on entre là dans un tout autre niveau. Une entité puissante et cohérente, un tout homogène. Premier album de l’âge d’or des Rolling Stones, cette époque où on les appelait “le plus grand groupe de Rock ‘n’ Roll du monde”, il passera à la postérité et y restera. Mick Taylor, qui remplacera bientôt Brian Jones dans le groupe, dira plus tard : “Mon album préféré des Stones est Beggar’s Banquet et je n’ai même pas joué dedans.”

Le film

De passage à Londres pour y tourner son nouveau film, Jean Luc Godard y intègrera les séances d’enregistrement de Sympathy For The Devil et gardera même le nom de la chanson comme titre de son film :

La prochaine fois : Let It Bleed

Tags : Brian Joneskeith richardsmick jaggermusiquerockRock‘n’Rollrolling stones
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William H. Miller

William H. Miller

Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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