« Il ne faut plus parler de néolibéralisme mais d’ULTRAlibéralisme ! »
(Pensé en pleine attaque de l’homéopathie par les lobbies pharmaceutiques…)
Sète, samedi 29 juin 2019.
Exaspéré par cette cabale agressive contre l’homéopathie je réponds aux détracteurs qui suivent comme des moutons et surtout, en ne l’ayant jamais expérimentée !
« Je sais ce que je dis [quand je parle d’] allopathie qui tue. »
Sète, lundi 1er juillet 2019.
« Le monde se tend… »
Dis-je, en pleine crise de la (nouvelle) réforme des retraites. Depuis les Gilets jaunes, en France, mais aussi depuis le trop court Nuit debout, mais aussi et encore un peu partout, dans le monde, contre cet ultralibéralisme devenu mondial !
Samedi 14 décembre 2019.
« Aujourd’hui : les flics, partout, tout l’temps ! »
(Là, Macron les envoie contre les lycéens manifestant contre les premières épreuves de contrôle continu du nouveau Bac…)
Samedi 1 février 2020.
« Confine ment ! »
(Trouvaille soudaine poético politique sur cet imbroglio planétaire que l’on vit depuis plusieurs semaines maintenant… : qui cache les raisons premières du manque de masques, de personnel et de lits dans les hôpitaux, etc., etc. !)
Dimanche 24 avril 2020.
« Quand je fais mes courses, je ne vois plus que des fantômes… »
(Avec toutes ces personnes qui portent un masque en faisant leurs courses, blanc de plus…)
Jeudi 30 avril 2020.
Voilà ce que provoque cette politique de la peur, mené depuis le début de la prise en compte de ce virus, et par les politiques et par les médias…
– je raconte ma mésaventure (et dis que je suis : ).
« Très en colère pour m’être fait littéralement agressé ce matin par une employée de la gare SNCF de Beauvais, avec deux visiblement supérieurs venus à la rescousse, parce que je ne portais pas de masque au guichet alors que c’est obligatoire. Je précise qu’aucune affiche ne le précisait à l’entrée et qu’évidemment je devais le savoir tout seul, me culpabilisant de répandre le virus à tout le monde alors que j’étais resté à plus de 2 m de distance de tout un chacun, jouant sur les mots, lui répondant que je n’avais pas l’intention de prendre le train, me répondant elle que je devais savoir que cela avait été dit partout, qu’il en fallait un, que même dans la gare j’étais dans les transports en commun (alors qu’il devait y avoir à tout casser une dizaine de personne très espacées dans un hall tout de même assez grand) et que si je continuais, alors que c’est elle qui dépassait toute convenance, “à lui tenir tête”, ce sont ses mots, alors que je ne faisais que de lui dire que je ne le savais pas et que de masque je n’en avais pas, j’allais me prendre 135 € d’amende ! »
Et dis encore que.
« Ce qui s’est passé là est assez innommable. J’avoue en avoir été choqué. »
Mesurant après coup, que c’est l’extrême peur, qui produit ce genre de comportement. Alimenté par les médias en continu qui répètent en boucle ses messages anxiogènes…
Lundi 11 mai 2020.
Avec et après les reports de réceptions et de visites d’amis et autres annulations en chaîne de manifestations artistiques,
et avec le port du masque obligatoire qui revient en force dans ce long épisode à rebondissements du Coronavirus je dis que. –
« Il va peut-être falloir choisir entre revivre à nouveau ou continuer de ne plus vraiment vivre… »
Sète, jeudi 16 juillet 2020.
– Réponds, à propos de : –
« [Ce que nous lisons et entendons à longueur de journée dans les médias TV et journaux nationaux ainsi que sur leur sites en ligne] est un matraquage continu et tous azimuts d’une information unique et politisée aux mains du gouvernement et de ses alliés… »
Jeudi 6 août 2020.
– Ce sentiment, en plein deuxième confinement Coronavirus (décisions gouvernementales quelque soit les oppositions, renforcement de la violence policière, interdictions de traitements médicaux pourtant efficaces, mainmise totale et tous azimuts de la finance mondiale, discours médiatique unique et contrôlé au service de l’état, etc.) : –
« Nous vivons une époque machiavélique ! »
Sète, mardi 10 novembre 2020.
– Précise (répondant à) : –
« Ce “journalisme”, qui discrédite aussitôt en flanquant d’emblée les personnes d’un “controversé”… ! [Le professeur Didier] Raoult y a eu droit pendant un long moment peut-être encore : cela n’est pas du journalisme (qui se doit de rester neutre, et objectif) mais de la magouille minable étatique. »
Sète, vendredi 18 décembre 2020.
Excédé, en réponse à cet éditeur dépité depuis le but de la pandémie du Coronavirus et qui a arrêté en réaction toutes ses activités depuis un an, qui demande « Que faire ? [1] » :
« Vivre, bordel ! De notre côté. Et les laisser entre eux : ils ont le pouvoir. Mondial ! (Enfin : occidental…) Car en plus le pire est à venir… »
Et de renchérir :
« Ils n’arrêteront jamais, mais alors : JAMAIS. Il y a eu les Gilets Jaunes, les black blocs (mais les deux vont continuer…), il y a eu un mois et demi de grève des transports (surtout la SNCF) : bientôt ils arriveront à contrôler les réseaux sociaux, seule îlot de résistance sérieux encore du moment. Et bientôt l’armée, ici en France, pour nous mâter ? Ils n’abandonneront jamais ! Alors il faut résister : chanter, danser, écrire, lire, peindre. Continuer : trouver de nouveaux moyens après qu’ils nous les auront supprimés. Et sinon, nous irons vivre dans la montagne ou dans les forêts !
Car ils ont tous les pouvoirs réunis : le pouvoir politique, le pouvoir économique et le pouvoir médiatique. Ils. Et ce sont les mêmes…
Alors ils rient, sous leur cape, ou ne répondent pas, ou esquivent. Mais surtout : ils continuent… »
Sète, mardi 10 février 2021.
« Ce gouvernement continue dans ses mesures débiles, inadéquates, infantilisantes et contraignantes. Fliquer, fliquer, fliquer : ils n’ont que ça dans la bouche et ne savent rien faire d’autre. Ils n’ont rien à dire, rien à penser. Ils sont perdus et nous perdent : honte à ce gouvernement [2] ! »
Vendredi 19 mars 2021.
À la fin de l’une de mes interventions au lycée de Nogent-sur-Marne et après avoir lu comme à mon habitude quelques poèmes punchy on me demande quel est mon ressenti à propos de la gestion du Covid en France.
Je réponds, que ce qui prédomine chez moi depuis mars 2020 est
la sidération,
en en apprenant toujours plus et plus de jour en jour qui me fait à chaque fois “sauter au plafond” !
Nogent-sur-Marne, lundi 22 mars 2021.
« Grotesque ! Cela en deviendrait même risible si on laissait de côté notre instinct de révolte qui émane de ce qui est en train de monter… ». Dis-je en réponse à ce libraire [3]…
Sète, dimanche 30 mai 2021.
Répondant à cette nouvelle connaissance qui me dit que « tellement de choses peuvent être démenties » dans l’application de l’extension du passe sanitaire, c’est-à-dire l’obligation vaccinale dissimulée.
« Je n’y crois malheureusement pas une minute. Regardez les gilets jaunes : mains arrachées, yeux crevés et rien, plus rien – cela a passé “comme une lettre à la Poste” si je puis dire… Seul la faillite des restaurateurs, etc. etc. face à la baisse de fréquentation des non passe sanitaire pourra, peut-être – mais serons-nous suffisamment nombreux ? – à faire stopper cette folie… »
Et d’ajouter. « Mais le mal est fait : cela est entré dans les tête comme normal chez beaucoup de gens… »
Et. « Heureux cependant de voir des résistances se monter, durablement : chaînes hors Youtube, avocats, etc. »
Sète, samedi 31 juillet 2021.
« Hier dans le OuiGo, subitement dans les haut-parleurs, la voix du conducteur du train :
“Cela fait quinze minutes que notre train a quitté la gare de départ et nous avons déjà des remontées comme quoi certains ne portent pas leur masque !” Avec rappel des sanctions encourues dont amende 135€ et éjection pure et simple du train…
Stupéfaction de ma part. Je dis tout haut :
“Quoi ? Mais ce n’est pas croyable ! C’est de la délation !”
Regard tout autour de moi droit dans les yeux de mes voisins de côté et de derrière. Personne ne répond. Je ne récolte qu’un grand silence… Je rentre ma colère et poursuis ma lecture… »
Sète, jeudi 19 août 2021.
« La discrimination n’a plus de bornes ! »
Dis-je,
après les annonces de conseils généraux refusant de payer le RSA aux personnes licenciées non vaccinées.
Poursuivant.
« cela est totalement scandaleux, cette discrimination aveugle (de ce qu’ils disent) ! »
Sète, dimanche 31 octobre 2021.
« Que la France,
pays des Lumières
et “pays des droits de l’homme”
puisse instaurer la ségrégation de son peuple
par l’instauration d’un passe “sanitaire”
est absolument incroyable,
scandaleux
et contre sa propre éthique ! »
Dis-je, de plus en plus en colère…
Sète, lundi 1er novembre 2021.
– Colère, toujours… : –
« La moindre des choses, puisque l’efficacité de ce vaccin n’est que de 50%, vu que le gouvernement continue d’interdire aux médecins de soigner, qu’il continue de supprimer des lits et de saper l’hôpital public, que ce gouvernement et les médias continuent de nier sous le silence ces effets graves et mortels, qu’en plus les hospitalisations Covid n’ont représenté que 2% de toutes les hospitalisations en hôpital sur toute l’année 2020, serait de ne pas obliger et stigmatiser une partie de la population à la ségrégation, au licenciement sans chômage et la moindre des choses seraient que tout un chacun dise non à cette gestion calamiteuse et loin des droits élémentaires de l’homme ! »
Dis-je, à cette pourtant ex directrice d’une école de Beaux-arts, et donc, pas imbécile !, devenant rouge de colère quand elle apprend que la personne à qui elle parle est en fait non vaccinée…
Samedi 4 décembre 2021.
Macron a divisé les français : cela est indigne d’un chef d’état !
Sète, mercredi 22 décembre 2021.
Trois assertions afin de frapper un peu les esprits… ! –
SANS CONTRE-POUVOIRS LE POUVOIR DEVIENT FOU…
——–
TOUS LES MÉDIAS, TV ET JOURNAUX,
SONT AUX MAINS DU POUVOIR !
——–
LE POUVOIR, AUJOURD’HUI, EST AU-DESSUS DES ÉTATS…
Sète, mardi 28, mercredi 29 et jeudi 30 décembre 2021.
Nous sommes tous devenus des moins que rien. Ils n’en ont plus rien à faire de nos vies : ce sont les grands trusts économiques mondiaux qui dorénavant gouvernent même la partie la plus intime de moi-même. Plus rien n’a de sens ni d’impact : ni l’art, ni la philosophie, ni la littérature, ni la pensée. Nous sommes tous menottés bras derrière le dos. C’est le hachoir à viande du film The Wall : nous tombons tous dans le hachoir en file indienne !
En France les prémices ont débuté avec le mouvement des Gilets jaunes où crever les yeux de manifestants pacifiques est devenu chose normale. Le pire est que tout le monde accepte.
Quand on voit que l’on pourchasse aujourd’hui nos plus grands scientifiques et nos plus grands médecins ! Avant on attaquait les politiques d’opposition à coup de scandales préfabriqués et en réduisant l’élection présidentielle à une pitrerie. On attaque aujourd’hui les médecins qui s’opposent à la version officielle de l’état mondial. C’est aujourd’hui la puissance économique de quelques-uns qui dirige ma santé et plus mon médecin qui est réduit à un vulgaire exécutant de leurs mensonges. On est en guerre oui, mais ce sont eux qui nous la font…
Sète, lendemain.
[1] Dans un petit groupe de la messagerie instantanée liée au réseau “social” Facebook.
[2] Après l’annonce d’un troisième confinement de quatre semaines dans seize départements dont Paris et sa région…
[3] Note écrite suite à la nasse de la police de la librairie “Le Monte en l’air” à Paris…