• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 6 décembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La Femme changée en renard 

Leçon d’amour dans un jardin anglais

Daniel Aquili Par Daniel Aquili
20 novembre 2023
dans Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Lady into fox
Lady into fox – de David Garnett

« Le vrai bonheur ne se trouve que dans le don de soi » (Garnett, Lady into Fox).

Cela pourrait ressembler à un conte, mais un conte pour adultes, trop étrange et cruel pour des enfants.

Cela pourrait ressembler à une parodie cynique des paroles qui scellent l’engagement du mariage, qu’il soit religieux ou civil, ce serment d’assister l’autre dans les épreuves de la vie, dans la santé, dans la maladie. Car quelle religion imposerait à l’époux d’aimer encore sa conjointe si elle devenait une bête ?

C’est pourtant cette preuve d’amour absolu que donne Mr. Tebrick à sa femme Silvia changée soudain en renard au cours d’une promenade. Au lieu de s’interroger sur le sens que prend désormais sa relation avec elle, le mari aimant ne songe qu’à une seule chose : comment protéger son épouse devenue si fragile ? Aussitôt il tue ses chiens excités par l’odeur de leur maîtresse devenue renarde, congédie ses domestiques et s’enferme avec elle dans sa demeure. Avec elle, quelle que soit son apparence, il n’a besoin de personne. Par la suite, bien que Silvia s’animalise toujours davantage jusqu’à avaler tout cru un lapin, l’amour de Tebrick ne faiblira jamais : « Si changée que vous puissiez être, mon amour ne change pas » déclare-t-il à sa renarde de femme.

La leçon est claire, et le lecteur est même un peu déçu de la trouver exprimée, fût-ce de façon désinvolte (car nous préférons toujours les fables dont la morale reste implicite, dont les portes n’ont pas de clef, nous laissant libres de chercher nous-mêmes les pistes d’interprétation possibles).

Ainsi, par plaisanterie, l’auteur nous défie de trouver meilleur exemple de fidélité conjugale : « Qu’il était différent de ces maris qui, leurs femmes devenues folles, les enferment dans un asile et s’abandonnent au concubinage »

Mais ces mots étaient inutiles ; on avait déjà deviné le sens de l’apologue : comment aimer encore l’autre quand son apparence, part si importante de son charme et de son identité, a changé, s’est dégradée, avilie, au point de compromettre toute communication dans le couple, toute possibilité de contact avec les autres, ne laissant d’autre perspective de vie que la claustration à deux, loin des humains ?

On pense en effet d’abord à la folie, ou à la dépression, la toxicomanie, des addictions détériorant la rationalité, monnaie d’échange des rapports sociaux – ou à certaines maladies, certains accidents de santé qui peuvent transformer le corps, l’esprit, la parole – on pense aux infirmités de la vieillesse, physiques ou mentales. Ou bien encore, de façon plus légère, la renarde rusée, ce peut être le mensonge, l’infidélité, une double vie cachée, la dispersion amoureuse, une gourmandise sensuelle soudaine, animale, qui viennent perturber la vie du couple, et que l’amant parfait accepte sans sourciller…

Le petit livre de Garnett est paru en 1922. Quelques années plus tôt, en 1915, Kafka publiait La Métamorphose. Ici pas de morale explicite. Pas d’amour inconditionnel non plus : la famille du pauvre Gregor Samsa transformé en énorme cloporte le regarde (l’évite plutôt) avec horreur et dégoût, et cherche bientôt un moyen de se débarrasser de « lui ». Point commun entre les deux récits : le héros, face à l’irruption du fantastique au cœur de la vie quotidienne, ne s’étonne pas outre mesure mais conserve toujours sa raison logique et pratique, réfléchit aux moyens de faire face à une situation radicalement nouvelle. Mr. Tebrick se soucie désormais de protéger sa femme devenue renarde des chasseurs et des chiens. Gregor Samsa, devenu un insecte monstrueux, s’évertue à se justifier auprès de sa famille, de ses supérieurs, à réparer l’incident par des paroles rassurantes.

Le récit de Garnett procure un charmant moment de lecture, grâce au ton léger, à la complicité spirituelle avec le lecteur, à ce délicieux humour anglo-saxon qui n’est pas si éloigné de l’ironie voltairienne : c’est une manière de conte philosophique.

Mais il ne saurait accéder à la profondeur existentielle, psychique, sociale où nous plonge La Métamorphose. L’intensité dramatique, les enjeux, l’implication de la personnalité tourmentée de l’auteur sont ici d’une autre échelle. Kafka met en scène l’horreur du Corps, de son impureté, l’effroi de vivre sous le regard des autres, l’effroi de vivre tout court – et selon son ami Max Brod, cet insecte immonde met en scène la condition du Juif soustrait à la communauté des hommes, condamné à vivre en ermite, tout comme Karl Rossmann dans Amerika, chassé par ses parents, qui doit s’exiler vers l’Amérique, tout comme Joseph K., le héros du Procès que Kafka vient d’écrire, arrêté sans raison, qui se lance dans une plaidoirie inutile devant un auditoire hostile.

Cette pauvre vermine embarrassée pour parler par la faute de son corps dépourvu de bouche humaine, c’est encore l’innocent condamné par les apparences, incapable de se défendre (on se rappelle la chemise du soutier, autre accusé impuissant, qui pend lamentablement dans Amerika), malgré toute sa verve, son exubérance oratoire : personne, ni famille ni chef venu de la maison de commerce ne peut saisir un mot de ce qu’il baragouine. Il n’a plus de voix humaine.

Revenant à Garnett, on conseillera aux lecteurs qui ont goûté aux aventures de sa renarde et de son époux à l’amour indéfectible, un petit roman du même auteur, où l’on retrouve à la fois son imagination narrative audacieuse et sa leçon morale, plus tacite, plus légère et souriante : Un homme au zoo.

Lors d’une promenade au Jardin Zoologique de Londres, un jeune homme se querelle avec sa fiancée aux sentiments devenus indécis et qui lui lance, par dépit et agacement : « On devrait vous enfermer et puis vous exhiber ici, au Zoo, avec le gorille d’un côté et le chimpanzé de l’autre » Piqué au vif, il prend ces mots au pied de la lettre et propose au directeur du Zoo de l’exhiber au Palais des Singes, comblant ainsi une lacune regrettable puisque l’espèce humaine est le seul mammifère important non représenté dans la ménagerie. On juge l’idée excellente. Le voici bientôt exposé dans une cage entre le Chimpanzé et l’Orang-Outang, avec un écriteau : HOMO SAPIENS. On n’en dira pas davantage…

Tags : Amérikacontecritique littéraireDaniel AquiliDavid GarnettFranz KafkaLa MétamorphoseUn homme au zoo
Article précédent

Entretien avec Emmanuel Pierrat

Article suivant

Le féminisme n’a jamais tué personne, la misogynie tue tous les jours

Daniel Aquili

Daniel Aquili

Professeur agrégé de lettres, Daniel Aquili a longtemps exercé dans un lycée de l’Est parisien, où il s’est attaché à faire découvrir le théâtre à ses élèves. Il est co-scénariste du film L’Anniversaire de Thomas (1982), hommage lyrique à l’aventure de la sidérurgie lorraine et de l’immigration italienne, à travers le destin tragique d’une cité du fer, Villerupt.

Article suivant
Les Précieuses 6

Le féminisme n’a jamais tué personne, la misogynie tue tous les jours

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Une lecture d’Oncle Vania de Tchekhov : Elena ou l’inutile et dangereuse Beauté 29 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Deuxième et dernière partie 27 novembre 2023
  • Guerre : les conciliateurs ne meurent pas dans leur lit 27 novembre 2023
  • Le féminisme n’a jamais tué personne, la misogynie tue tous les jours 22 novembre 2023
  • La Femme changée en renard  20 novembre 2023
  • Entretien avec Emmanuel Pierrat 18 novembre 2023
  • Ferruccio Brugnaro, celui qui ne veut pas se taire 18 novembre 2023
  • Fantaisies polychromes 17 novembre 2023
  • Le Doigt 11 novembre 2023
  • Du bon usage du mais et du signe égal 6 novembre 2023
  • Au secours ! 2 novembre 2023
  • Larmes 2 novembre 2023
  • Incendie 2 novembre 2023
  • La beauté, sitôt menacée 2 novembre 2023
  • Métamorphose du langage 2 novembre 2023
  • Sous la censure et la répression de la parole poétique 2 novembre 2023
  • “Démocratie”, qu’ils disent… 2 novembre 2023
  • Référendum 2 novembre 2023
  • Précieuses rebelles 2 novembre 2023
  • Forfait 2 novembre 2023
  • Flaques d’espoir 2 novembre 2023
  • Zhortott 2 novembre 2023
  • L’Apocalypse selon Nolan 2 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Première partie 24 octobre 2023
  • La laïcité est un sport de combat 15 octobre 2023
  • Fleetwood Mac, troisième et dernière partie   7 octobre 2023
  • Russie de Poutine : Félix Dzerjinski et l’éternel retour vers l’URSS 7 octobre 2023
  • Le Grand Orient d’après Michel Maffesoli 29 septembre 2023
  • Variation sur le retour du fils prodigue 29 septembre 2023
  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?