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L’album Back In Black de AC/DC

William H. Miller Par William H. Miller
5 août 2023
dans Rock and Folk et Musique(s)
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ACDC Back in Black cover
AC/DC couverture de Back in Black

Tout le monde sait ou devrait savoir que l’album qui s’est le plus vendu, toutes époques confondues, est Thriller de Michael Jackson (1982). Rien d’étonnant à ça, il a été omniprésent pendant les années 1980 et continue à l’être. La deuxième place est, par contre, beaucoup plus surprenante : Back In Black de AC/DC (1980) !

Comment un groupe de Hard Rock a-t-il fait pour concurrencer de près le géant de la Pop, le célèbre Michael, ainsi que The Dark Side Of The Moon de Pink Floyd (1973) qui était resté l’album le plus vendu jusqu’aux années 80 ?

Le Hard Rock… Un genre musical improbable

Etonnant, car c’est une curieuse histoire que celle du Hard Rock… Créé dans les années 60 par les Kinks, les Yardbirds, le Jeff Beck Group et quelques autres, le genre s’était réellement popularisé dans les années 70 avec Deep Purple et Black Sabbath ou Aerosmith. Led Zeppelin lui avait donné ses lettres de noblesse et il était devenu difficile, en écoutant un album de ce groupe, de penser encore que c’était une musique primitive réservée aux adolescents boutonneux, comme les apparences auraient pu le faire croire.

AC/DC avait tiré son épingle du jeu à l’époque, avec des atouts indéniables. Un chanteur fort en gueule mais éminemment sympathique, Bon Scott, un guitariste rythmique, Malcom Young, pour qui Keith Richards, le grand maitre du riff, aura le plus grand respect et, au centre de tout ça, Angus Young, le guitariste soliste, véritable pitre sur scène et focalisant une bonne part de l’attention sur lui et ses facéties.

Phil Rudd à la batterie et Cliff Williams à la basse constituent la section rythmique d’acier qui supporte avec brio l’ensemble

La structure des morceaux d’AC/DC

Dès cette époque, les morceaux d’AC/DC sont tous battis sur la même structure. Ils commencent par le riff principal du morceau, toujours très saccadé et très précis, la batterie et la basse rentrent, le même riff sert à supporter le couplet du chanteur puis on attaque le refrain où les accords perdent leur aspect saccadé pour produire de longues notes qui durent. On recommence au couplet, un autre refrain et arrive le pont, qui est en général instrumental. Angus Young développe ensuite son solo. On finit par le refrain puis le final. Plutôt répétitif me direz-vous mais c’est bien la structure idéale de la plupart des morceaux à succès de la musique populaire car il y a toujours quelque chose de nouveau à écouter, l’auditeur ne se lasse pas. La seule particularité du Hard Rock c’est d’utiliser le riff de base du morceau pour le commencer et faire le couplet plutôt que de présenter une intro qui serait un thème à part, comme le faisait les Beatles par exemple.

Des débuts prometteurs

Dès ses débuts, AC/DC va être un groupe particulièrement enthousiasmant sur scène, Bon Scott dans ses postures de dur au grand coeur et Angus Young, habillé en écolier aux culottes courtes, avec son cartable et sa casquette, parcourant la scène en tous sens, parfois en courant, va être le centre de l’attention. On n’a jamais vu un guitariste bouger autant et démontrer aussi ostensiblement l’effet que sa musique a sur lui. Les fans en redemandent !

AC/DC va gravir les échelons de la célébrité assez rapidement et il y aura clairement deux camps : ceux qui les adorent et ceux qui les détestent. Toute leur discographie montrera une grande amélioration d’un album au suivant et ce jusqu’à l’album qui nous occupe.

Pour en revenir à Back In Black, c’est donc un très grand album. Pourtant, tout avait très mal commencé.

Le drame qui aurait dû marquer la fin d’AC/DC

1979 avait été une année exceptionnelle pour AC/DC. Coup sur coup, ils avaient sorti If You Want Blood You’ve Got It, un excellent live, et l’album Highway To Hell dont la chanson éponyme avait cartonné en radio. Le succès grandissant du groupe lui promettait un bel avenir. Le 19 février 1980, c’est le drame : Bon Scott, le chanteur, décède d’un coma éthylique. Pour tout le monde, fans et membres du groupe, ça ne peut être que la fin d’AC/DC, le groupe étant inimaginable sans son chanteur fétiche.

Après maintes hésitations, le groupe décide de continuer et auditionne des chanteurs. Le premier nom qui leur vient à l’esprit est celui de Brian Johnson, un chanteur dont Bon Scott leur aurait dit le plus grand bien. Il avait vu juste : dès la première répétition, le courant musical et humain passe immédiatement et avec force. Une semaine plus tard, le groupe entre en studio pour enregistrer ce qui deviendra Back In Black.

Le making-off : une pléthore d’artisans fabuleux

Tony Platt, leur ingénieur du son, commence par rechercher l’endroit dans le studio où la batterie sonne le mieux puis il installe les amplificateurs de guitare et de basse autour en fonction de ce son. L’album est enregistré dans des conditions live, tous les musiciens, excepté le chanteur, étant dans la même pièce.

Mis en danger par la disparition de Bon Scott, le groupe va relever le défi et donner le meilleur de lui-même. Les frères Young, habituellement peu portés sur le mysticisme, auront même une perception étrange, celle que Bon Scott est toujours là en esprit et qu’il approuve ce qu’ils essaient de faire.

Mutt Lange, le producteur, tire parti à merveille de la prise de son de Tony Platt et donne à l’album un mixage et un son hors pair.

George Marino, le grand ingénieur du son en mastering, fera un si bon travail en 2003 que l’album est souvent utilisé par des producteurs pour calibrer leur matériel.

Les morceaux :

You Shook Me All Night Long est une histoire de sexe comme le Blues en raffole. Là où AC/DC tire son épingle du jeu c’est par des arrangements et un son des guitares qui ne peuvent laisser indifférent, spécialement dans les refrains. Le pont est rythmiquement de toute beauté.

La version live à River Plate en Argentine en 2009 est croustillante et montre bien le savoir-faire du groupe sur scène. Examinez bien comment chacun se meut, en assumant son rôle à la perfection : Angus Young et Brian Johnson bien sûr mais également Malcom Young et Phil Rudd qui s’avancent rituellement au bord de la scène pour faire les choeurs sur le refrain. Et quel public, quel enthousiasme ! Les plans rapprochés sur telle ou telle personne de la salle sont édifiants 🙂 C’est tout simplement… Beau et émouvant 🙂 (à 1:06:00 sur la vidéo.)

Hells Bells (les cloches de l’Enfer) : il fallait bien une chanson en hommage à Bon Scott, c’était la moindre des choses. Ce dernier avait, d’une certaine manière, déjà écrit son propre épitaphe dans l’album précédent en déclarant qu’il dévalait à toute vitesse l’Autoroute de l’Enfer (Highway To Hell). Ses fans, qui l’aiment, lui ont plutôt souhaité d’avoir emprunté l’escalier vers les Cieux (Stairway To Heaven). Encore de très beaux arrangements à deux guitares. (à 46:20 sur la vidéo)

Back In Black : un riff imparable, au développement dans le temps assez curieux.

Le deuxième album le plus vendu de tous les temps !

Tags : AC/DCAngus YoungBon ScottBrian Johnsonhard rockMalcom Youngmusiquerock
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William H. Miller

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Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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