• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 9 février 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Mémoires Démasqués : chapitre 5

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
7 mai 2022
dans Mémoires Démasqués, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Présence & Regards N19-20 – Gérard Guegan et Franck Venaille, 1975 –

Mon camarade le poète Michel Dansel a intitulé l’un de ses derniers livres de mémoires « Miette de vie ». Ce choix m’a donné souvent l’envie de plagier. « Miettes de vie », en effet, ferait un beau et juste titre pour cet ultime essai que je revendique ! C’est une leçon finale d’indépendance. Un « itinéraire déhanché d’un écrivain de la marge ». Au passage, Michel, je te salue. Ton ouvrage mérite respect.

Ce qu’il me reste, de mémoire, sont surtout des visages et des scènes de rencontre. Je revois Jean-Paul Sartre, vieillard éructant, déjeunant avec moi quand j’avais vingt ans à peine, avec Simone de Beauvoir ! Quartier latin. Je revois Louis Aragon quand il me mit la main à la braguette, au CLUB DES POETES, à la sortie de ce cabaret étonnant de la rue de Bourgogne où Danny-Marc chantait aux côtés de Marcel Mouloudji.

J’ai connu aussi, très jeune, Jean-Louis Giovannoni, dont j’éditais à L’ATHANOR son exceptionnel GARDER LE MORT. Et son épouse Ghislaine Amon, alias Raphaël George, qui fut l’une de mes premières amantes préférées, éditée aussi, par mes soins, (LE PETIT VELO BEIGE).

Je me souviens aussi de Guy Chambelland, de sa bouille à la Brassens, joviale et chaleureuse. Quand il fréquentait Michel Breton, ce Bernard Tapie de la poésie populaire, et Jean Breton, son frère taciturne, quelque peu conventionnel et prudent derrière ses allures révolutionnaires. Sous le même registre, je revois Pierre Seghers, chez lui, près de la station de métro RASPAIL, avec ses rides multiples comme autant de poètes édités dans la série « Poètes d’aujourd’hui », un Pierre Seghers inoubliable tant il accepta de me prouver son affection fidèle par delà les divergences politiques de l’époque. Bien sûr, parmi mes rencontres, il y eut celle qui devint beaucoup plus tard mon épouse, Danny-Marc, et dont la beauté me frappa d’emblée. C’est elle qui me fit connaître le Père Gaston Lefebvre, son associé en soutane, qui m’engagea au Centre Didro « bénissant » mon emploi d’intervenant en toxicomanie, acceptant de tenir compte en priorité de mon passé trouble d’ancien toxicomane délivré de toutes ses addictions.

Au Centre DIDRO, je devins un des antipsychiatres les plus médiatiques de son pays, pondant même un essai sur mes méthodes de soin que publièrent les EDITIONS DE FLEURUS (L’ANTIPSYCHIATRE ET LE TOXICOMANE). Je fus ainsi invité deux fois dans le cadre de LA MARCHE DU SIECLE, sous la houlette de Jean-Marie Cavada.

Ces années-là, Laing écrivait : « Je ne sais pas si en France il y a un lieu où vous pouvez aller si vous voulez simplement flipper ou vous effondrer dans un état de non-différenciation-non-intégration, où ce mouvement serait respecté et pas nécessairement considéré comme pathologique, où des gens essaieraient de vous guider à travers ce mouvement si vous avez besoin d’un guide » Ce lieu-là, thérapeutique, j’ai l’orgueil de l’avoir inventé de toutes pièces : c’est le mythique Centre DIDRO, autour et alentours !

Dès lors, que de mains tendues se dirigèrent vers moi, déguisées en écuelles réclamant de l’eau pour ne point mourir de soif… Que de sourires figés, que de larmes jaillies de tant de regards terrifiés, que d’espaces à regagner sur le désespoir, que d’âmes, j’ai dû, vaille que vaille, accompagner avec écoute, bienveillance, énergie. Oui, parfois j’ai même guéri et sauvé. Et la psychanalyse dont je me réclamais au 9 de la rue Pauly m’apporta une myriade de jaloux autour de moi qui ne devinèrent jamais ce que je devais à Xavier Audouard, mon tout premier « psy » reconnu.

Et Louis Aragon dans tout cela ? Il a été une sorte de Victor Hugo de son temps. Oui, j’ai été désiré par lui alors qu’il n’était qu’un vieillard. Comment pourrai-je dès lors l’oublier ?

En ce début de millénaire, Aragon demeure assez mal connu et son œuvre traverse un purgatoire dont il mérite, sans conteste, de sortir. Aujourd’hui, au temps des épidémies répétées de la Covid-19, on ne souvient que ceux de ses poèmes qui firent des chansons pour Jean Ferrat et Léo Ferré. C’est bien à la sortie du CLUB DES POÈTES de Jean-Pierre Rosnay qu’il flirta furtivement avec le gosse meurtri que j’étais. Paradoxe de ma vie de barde : c’est rue de Bourgogne que je croisais aussi, sans la remarquer alors, la chanteuse Danny-Marc qui se produisait avec Marcel Mouloudji chez Rosnay. Elle ne devint ma seconde épouse que bien des années après cette rencontre nocturne et furtive. Malice ou hasard du temps ?

De toute façon, tous les êtres humains que j’ai pu connaître m’ont aidé à vivre. Je ne suis né qu’à partir d’autrui.

Peu à peu, je transposais les méthodes de l’antipsychiatrie américaine en France. Sans oser le faire savoir officiellement, « Olive » pensait comme moi : il fallait avant tout replacer le fou de drogues « dans son contexte humain réel » Et je crois encore, à l’heure ou j’écris ces lignes, qu’une telle approche pouvait faire régresser les toxicomanies dans l’hexagone et qu’une multitude d’erreurs graves ont été commises depuis des décennies en ce domaine par nos gouvernants et explique une régression globale des soins. Mais cela est une autre histoire, même si j’en écrivis plus de 3 000 pages passionnées !

Parmi mes amis, Claude Olivenstein fut l’un de ceux que j’eus la chance d’interviewer, en 1995, pour le n°5 des CAHIERS DU SENS. Il me dit notamment : « Je suis agnostique. Ce n’est pas une déclaration, c’est comme ça. Et, en même temps, il y a toujours chez moi un questionnement en parallèle sur le Mystère. A un moment où j’aurais pu être croyant, j’ai été communiste, ça m’a servi de théologie et de dogme. Et j’en suis, Dieu merci, sorti. Mais le Mystère, il est toujours pour moi, là, présent. Plus présent depuis Auschwitz, d’une certaine façon. Car, comment peut-on être Dieu, ou comment peut-il y avoir un dieu quand il y a Auschwitz ? Mais je n’ai pas voulu écrire sur les camps de concentration, c’eût été trop prégnant, j’ai écrit sur Calcutta… Là s’est toujours située mon interrogation : pourquoi ai-je échappé à Auschwitz alors que d’autres n’y ont pas échappé… et qu’est-ce que j’y aurais fait, à Auschwitz, à l’intérieur du camp, pour survivre… C’est toute une interrogation qui a commencé très jeune et qui se poursuit là. J’ai été volontaire sur les missions d’évacuation sanitaire quand j’étais médecin militaire car je voulais voir où était ma peur, et qu’est-ce qu’il y avait à l’intérieur de moi. Et se pencher sur la bouche, c’est aussi se dire : qu’est-ce qu’elle est la bouche ? Qu’est-ce qu’elle nous fait dire ? Qu’est-ce qu’elle nous fait aimer, ou mordre, la bouche ? Qu’est-ce qu’elle me fait réaliser dans mon désir ».

Jean-Louis Barrault confia aussi à ma toute première petite revue de Poésie (Présence et Regards) : « Il me semble que l’homme est fait de feu, de lumière et de reflets. Le feu le consume et nous avons les grands spécialistes du feu et de l’incandescence qui sont des gens comme Pascal, Claudel et Artaud. Il y a ceux qui ont la lumière et créent l’intelligence, comme Descartes, Valéry et Sartre. Il y a ceux qui sont doués de reflets et ont la lucidité : je pense aux porteurs d’une certaine sagesse philosophique, parfois teintée d’humour, ainsi Montaigne, Gide ou Camus. Et puis il y a une quatrième catégorie, celle qui n’arrive pas à se spécialiser. Ceux qui ont la lumière ou bien qui ont tout à coup des accès de conscience, comme ceux qui sont doués de reflet, mais qui n’arrivent pas à se dépêtrer du bouillon de l’humain : ce sont les mauvais garçons, Villon, Marot, Rabelais, La Fontaine, Restif et même Léon-Paul Fargue. C’est un peu ceux-là qui sont mes amis ».

Comme journaliste, j’eus aussi le privilège d’interroger les Présidents Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac, sans oublier les poètes Frank Venaille,

Luc Bérimont, Marc Alyn et Jean Breton et le romancier Hervé Bazin, le polémiste Jean-Edern Hallier, sans oublier le philosophe quelque peu conservateur Jean-Marie Benoist.

Je rencontrais Nicolas Sarkozy dans un café proche de la station de radio EUROPE 1 alors qu’il n’était pas encore élu à l’Élysée. Nous prîmes ensemble un petit déjeuner. J’appréciais son esprit de synthèse. Et il sembla approuver mes propos sur les soins aux toxicomanes qui privilégiaient l’apport humain de la relation transférentielle que je préconisais au Centre DIDRO pour entrainer les jeunes gens nous fréquentant à se délivrer de leurs dépendances aux drogues. Mais il me répéta plusieurs fois qu’il fallait « absolument » cadrer davantage les dealers dans certains quartiers de Paris, « sa grand-mère ayant été plusieurs fois agressée et volée par des toxicos « (sic). Cet épisode l’avait visiblement traumatisé et il s’en suivi de sa part une tirade lyrique et ferme sur la sévérité « indispensable » que la Police devait avoir « s’il était élu Président ».

Je fus reçu dans le bureau fastueux de Jacques Chirac alors qu’il était encore Maire de Paris mais candidat à la plus haute fonction de la République. Il s’intéressait vraiment au Centre Didro nous facilitant l’accès à certaines aides ponctuelles de l’État sans lesquelles nous n’aurions pu exister.

Quant au poète Frank Venaille, il devint un camarade comme d’ailleurs son collègue en poésie Luc Bérimont. Frank Venaille fut interviewé par Gilles Pudlowski et moi pour Présence et Regards. Il nous avoua à cette occasion « qu’il écrirait peut-être toute sa vie », et qu’il était passé d’une certaine innocence à une certaine vision du monde, une certaine sensibilité, en vingt ans d’écriture. Il débuta « communiste et désespéré » et la rupture qui s’en suivi fut comme un divorce aux torts réciproques. Il nous dit refuser qu’on lui donne une étiquette et que « dans son immense impudeur », il avait toujours été très pudique. Il nous avoua même : « à quarante ans bientôt, je ne sais pas mieux vivre qu’à vingt ans ». Et il ajouta : « Ce que j’ai appris grâce à Bataille ou Jouve, c’est qu’il fallait analyser. Analyser encore ses pulsions, ses angoisses. Sinon, c’est le trou noir. ».

Luc Bérimont, plus « journaliste » de métier que Venaille, se plaçait ostensiblement dans le tracé de René-Guy Cadou, qu’il baptisa devant moi de « frère soleilleux », car, me précisa-t-il, « le poète Cadou est né d’un ami que nous avons perdu ». Marc Alyn, lui, était plus mondain, et il fut « disqualifié » comme poète en obtenant trop tôt un Prix Max Jacob problématique.

Avec Jean Breton, une réelle connivence s’installa progressivement entre nous. Il fut, au fil du temps, un comparse de discussions métaphysiques sur l’existence ou la non existence de Dieu ! Concernant le romancier Hervé Bazin, auteur d’un Vipère au poing de légende, c’est notre passion commune pour l’animation de petites publications d’avant-garde qui fut notre principal sujet de discussions passionnées. Jean-Edern Hallier, lui, obsédé de notoriété posthume, me dit un jour, lors d’un Marché de la poésie, que le seul tort que j’avais c’était « qu’on ne parlait passez de moi dans les colonnes du quotidien Le Monde (sic).

D’une façon globale, sommités du temps ou non, autrui m’aidait à vivre intensément. En réalité, je devins en peu d’années, un des antipsychiatres les plus médiatiques de France, pondant même un essai sur mes méthodes de soin que publièrent les Éditions de Fleurus. Pour ce livre, je fus même invité deux fois, dans le cadre de La Marche du siècle, par Jean-Marie Cavada. Je n’étais pourtant pas « mondain » ou avide de célébrités. Je m’en fichais véritablement. Je dénonçais farouchement le danger des addictions aux acides pour les générations futures alors que la mode voulait les rendre secondaires !

La sincérité était mon originalité d’intervenant en toxicomanie. Un vers célèbre d’Alfred de Musset me servait alors de conduite : « mon verre est petit, mais je bois dans mon verre ! ».

Tags : centre DidroClaude OlivesteinFrank VenailleGilles PudlowskiGuy ChambellandJacques ChiracJean-Louis BarraultJean-Louis GiovannoniJean-Luc MaxenceJean-Marie CavadaJean-Pierre RosnayJeant-Edern HallierLe Club des PoètesLouis AragonLuc BérimontMarcel MouloudjiMichel DanselNicolas SarkozyPierre Seghers
Article précédent

Mémoires Démasqués : chapitre 4

Article suivant

Mémoires Démasqués : chapitre 6

Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

Article suivant
lIdiot international 2

Mémoires Démasqués : chapitre 6

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie I 16 octobre 2022
  • Altered carbon – Richard K. MORGAN 16 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie II 10 octobre 2022
  • La radicalité est une exigence de liberté 9 octobre 2022
  • Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ? 9 octobre 2022
  • Orthographe, sexe et cinéma 7 octobre 2022
  • Le col de Tichka 7 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I 7 octobre 2022
  • La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ? 7 octobre 2022
  • La guerre à sept ans 2 octobre 2022
  • À Corps Perdu 2 octobre 2022
  • De la nécessité de croire 2 octobre 2022
  • De Goya à Rushdie 1 octobre 2022
  • Écouter, sentir… 1 octobre 2022
  • Rêve d’une poésie indépendante des partis au pouvoir… 25 septembre 2022
  • Coriolan 25 septembre 2022
  • Le dernier homme 25 septembre 2022
  • L’improbable métamorphose du monde 24 septembre 2022
  • Dérive séductrice en Écosse 18 septembre 2022
  • Du coquin et du sauvage ! 18 septembre 2022
  • L’économie : une religion inconsciente? 18 septembre 2022
  • L’ensorcellement du monde 18 septembre 2022
  • On ne peut vivre qu’à Paris 11 septembre 2022
  • 2015, retour vers le futur… 10 septembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Slade 10 septembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?