• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 31 mai 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Mémoires Démasqués : chapitre 6

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
7 mai 2022
dans Mémoires Démasqués, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
l’Idiot international – 6 mars 1991 –

23 rue Racine et 234 Boulevard Raspail… Deux librairies étranges et pittoresques m’apportèrent de la joie durant plusieurs saisons. La première, à quelques pas du théâtre de l’Odéon, porte encore le fantôme de Guy Chambelland en bandoulière. Là se trouvait l’antre de l’éditeur du grand poète Yves Martin, avec sa grossière pipe à la Georges Brassens et ses coups de gueule inoubliables. La seconde, à quelques encablures du domicile de Pierre Seghers, était une boutique baroque et vaste à jamais rayée des cadres ! On a refait entièrement la façade de l’immeuble et il ne reste aucun vestige de mon passage alors que j’y vivais trois ans sous la devanture LES INSOMNIAQUES. J’y reçus un grand nombre de poètes contemporains, à peine en herbe, et qui devinrent par la suite reconnus de tous les experts du moment !

Frank Venaille, Bernard Noël, Dominique Labarrière, André Laude, Jean Breton, Patrice Delbourg… Comment vous oublierai-je ? J’avais même installé au rez-de-chaussée de ma boutique, une salle de prière ouverte à toutes les religions monothéistes, avec des bougies et une bible, reposant, ouverte, sur un lutrin de camp. Ce « sous-sol mystique » me valut la visite des flics à l’époque de la disparition soudaine et louche de l’écrivain Jean-Edern Hallier, qui était à l’époque un camarade de tranchée. La Police avait songé que j’avais caché le Directeur du journal L’IDIOT INTERNATIONAL chez moi, dans ma librairie ! Il est vrai que mon complice Jean-Edern était vite devenu un frère de facéties médiatiques par une série de coïncidences. Hallier me sollicita pour écrire un essai sur mon père, philosophe fasciste, ami de l’essayiste Henri Massis… Il me bouscula beaucoup afin que je m’impose et signa même un de ses ouvrages sur la « jeune génération »…

23 rue Racine, 234 Boulevard Raspail. Deux havres de ma jeunesse d’aventurier mystique ! Et la vie fit qu’un jour je m’installais chez Alain Breton, le fils de Jean qui avait « hérité » de la Librairie Racine et avait accepté ma proposition de « ressusciter » le 23 rue Racine pour la poésie d’aujourd’hui ! J’acceptais l’aventure au nom de Michel Breton, créateur de la revue POÉSIE 1, proposée en kiosques et mariant publicité et muses, en refusant de considérer qu’il s’agissait d’un couple contre nature.

En vérité, Michel Breton m’influença beaucoup, et il fut un escroc de première classe. Il me vola sans vergogne avec des factures sur travaux d’imprimerie en faveur de L’ATHANOR, ma maison d’édition que j’avais « acheté » aux frères Breton pour quelques milliers de francs en coupures (il s’agissait de 20 000 francs de l’époque que mon frère Rémy, le bourreau de mon enfance en culottes courtes, m’avait laissé en héritage, peut-être pour se faire pardonner le viol dont je fus la victime).

C’est d’ailleurs Michel Breton lui-même qui me trouva l’emplacement des INSOMNIAQUES contre un loyer mensuel

modique, dérisoire même pour un tel endroit vraiment commercial !

Je décidais d’ailleurs de vendre des journaux au 234 Boulevard Raspail, avec les NMPP, (Nouvelles Messageries de Presse Parisienne) comme caution et patron… De la Presse populaire, également de la jeune poésie… Ce fut, à vrai dire, un moyen de durer et de faire fonctionner, bon an mal an, mon entreprise artisanale.

J’ai revu les papiers administratifs : les INSOMNIAQUES durèrent vingt-quatre mois. La librairie me permit non seulement de subsister tranquillement mais aussi, de faire paraître, à son enseigne, trois ouvrages éponymes : le premier, du jeune et brillant comédien Gérard Tcherka (Qu’est-il devenu . Est-il mort ou vivant encore ? Je l’ai hélas perdu de vue)., le second de Frédéric de Foucaud, avec une préface du metteur en scène Claude Confortès, enfin, le troisième d’André Brugiroux (« Le prisonnier de Saint Jean d’Acre ») qui était une belle évocation précise et injustement oubliée d’un mouvement réformateur qui bouleversa la Perse et continue de faire l’objet d’intolérables persécutions de nos jours : il s’agit, bien sûr, du mouvement Baha’i dont les idéaux ont gagné d’ailleurs les confins de la planète.

Au fond, en éditant ces trois ouvrages sous le nom LES INSOMNIAQUES, je dépassais ma déception qui m’avait obligé de mettre en faillite mes éditions de L’ATHANOR (dépôt de bilan et sanction du Tribunal de Commerce pour comptabilité détruite !), conséquence directe et logique des indélicatesses de Michel Breton. Je me prouvais à moi-même que le métier d’éditeur était bel et bien ma vocation, d’autant que nous avions à l’époque comme modèles identificatoires les « endettés comme une mule » que furent Eric Losfeld et Jean-Jacques Pauvert.

En ce temps-là, j’étais fou, jeune, audacieux. Je n’avais peur de rien. Et je rêvais d’un destin me permettant d’être à la fois éditeur, poète, homme d’affaires et brigand au grand cœur, excusez du peu ! Et j’y ajoutais même un goût immodéré pour la psychanalyse et la philosophie.

Comme me le dira beaucoup plus tard mon jeune camarade Michaël : entre le Sartre de La Nausée et Maître Eckhart, il n’y a qu’un fil étroit de différence : ce doute existentiel qui ne quitte jamais l’agnostique authentique et durable.

Au bout de mes hésitations, chercher un sens à l’existence est mon acharnement. Je tente de relier avec acharnement des événements en apparence décousus. Toujours la même obsession m’habite, la même ambition m’obsède : faire de plusieurs milliers de bouts de tissu disparates de ma vie un patchwork harmonieux, agréable à l’œil d’autrui, et parfois beau.

Je l’avoue sans scrupule : mon programme de vie a toujours été d’ignorer la veille et de prendre le jour nouveau comme au premier jour de toute lumière, sans chercher à savoir de quelle obscurité cette lumière est sortie victorieuse avant d’éclairer le visage ridé du voyageur ébloui que je suis, enrôlé sur le chemin sans fin de nulle part à nulle part.

Quoi qu’il en soit, je sais d’expérience que tout amour semble toujours en retard – d’une larme ou d’un sourire ?

Sommes-nous nés pour tant de douleurs accumulées ? Nés pour mourir, et non pour peu à peu guérir de la peur de mourir ?

Je me souviens… Quand venait le soir, au Centre Didro, à l’heure de la dynamique de groupe avec les toxicomanes accueillis, cette interrogation insistante atteignait parfois l’insoutenable. Il est vrai que je devinais que Karim (32 ans) allait mourir sous peu, et que Mojibe (34) et Laurence (28) étaient du même convoi funèbre… Ma sinistre énumération était ainsi un chemin de croix avec le sceau du sida à chaque station.

Ô mon amour, mon épouse, ma Directrice, nous étions infatigables ensemble. Nous qui étions toujours bien portants, comment osions-nous nous plaindre parfois et ne pas nous aimer à la mesure de l’amour sans mesure qui palpitait en nous ? Nous étions un couple inséparable, à vrai dire. Pour nous deux, la religion catholique dont nous nous réclamions était une boîte à musique charmeuse, légère jusqu’à l’insignifiance. Plusieurs fois, je t’avais raconté mes nuits d’ancien trappiste. Dans les profondeurs du silence, j’ai toujours cherché la Lumière.

Je me souviens de mes trois heures de la nuit, à Bricquebec. Tout se taisait en moi, autour de moi, au dessous de moi. Aux quatre points cardinaux de l’agenouillé en bure que j’étais, je m’imaginais le centre précis d’un cercle qui n’était que le point névralgique d’une autre circonférence plus large… et ainsi de suite jusqu’aux confins de l’espace sans temps.

Du Centre Didro, il me reste des images et des scénarios irréels.

Tags : Baha’icentre Didroéditions de l'AthanorJean-Edern HallierJean-Luc MaxenceL'Idiot internationalLes Insomniaqueslibrairie RacineMaître EckhartYves Martin
Article précédent

Mémoires Démasqués : chapitre 5

Article suivant

Interview exclusive d’Antoine Fratini

Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

Article suivant
Antoine Fratini

Interview exclusive d'Antoine Fratini

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?