• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 27 mai 2022
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Accueil » Juliette Cazes, à propos de son livre Funèbre !

Juliette Cazes, à propos de son livre Funèbre !

Un point de vue anthropologique sur « les rites qui mènent vers l'autre monde » - Interview exclusive

Eric Desordre Par Eric Desordre
22 avril 2022
dans Les grands entretiens rebelle(s), Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Juliette Cazes est thanatologue, chercheuse indépendante et conférencière. Diplômée d’archéologie et d’anthropologie, elle anime Le Bizarreum depuis 2017. Elle vient de publier Funèbre ! Avec rigueur et humour, Juliette Cazes nous embarque à travers les cultures du monde, leurs diverses visions de l’au-delà et leurs traditions funéraires : des cercueils en cage en Écosse, des têtes momifiées en Nouvelle-Zélande, des inhumations célestes au Tibet…

Eric Desordre – Vous indiquez dans votre livre que si des nuances peuvent être observées selon la religion, il y a une constante dans la tradition funéraire au sein d’une même population. Parce que la tradition précède historiquement la religion elle-même ? 

Juliette Cazes – Tout dépend de ce que l’on entend par religion. Dans le cadre des religions monothéistes, des gestes font directement écho aux dogmes. De là vont découler des pratiques pour chaque courant religieux. En revanche, lorsqu’on étudie les rites eux-mêmes, on distingue un syncrétisme venant directement de croyances plus anciennes, même régionales. Pour les pratiques funéraires les plus anciennes sans écrits, l’archéologie et le complément des sources écrites (si elles existent) permettent d’éclairer ce qui, de plus, va varier dans le temps et l’espace. Pour éviter le biais d’une interprétation faussée par nos propres croyances, les études demandent de l’objectivité et une bonne connaissance de ce qui est pratiqué dans toutes les religions. Ceci posé, tous les rites restent codifiés de façon tacite, qu’ils soient dictés par des textes ou transmis de génération en génération. A ne pas négliger : la loi, puisqu’elle va régir le domaine funéraire. Sans oublier que pour l’étude des rites, il est probable que de nombreux gestes n’ayant pas laissé de traces matérielles ne se soient pas transmis ou aient été oubliés.

E.D. – A Madagascar par exemple, la notion d’ancêtre prime sur la notion de mort : qu’est-ce que cela veut-dire ? Le mort est-il le garant d’une ligne de conduite du vivant ? 

J.C. Tout à fait, dans certaines sociétés, la peur du mort est présente. A Madagascar, comme en Amérique latine, cela a une incidence directe sur le comportement de sa descendance. Négliger le défunt expose le vivant à son courroux. Si ces craintes autour de l’ancestralité existent, c’est que le mort est considéré comme toujours « vivant ». D’où l’importance des comportements vis-à-vis des morts et l’entretien du souvenir, tout comme l’application stricte des rites funéraires. Le vivant a une tâche à accomplir, déterminante dans l’attitude du mort à son égard. Depuis l’Antiquité au moins, on ne veut pas avoir d’ennuis avec les morts. Cela se constate dans presque toutes les sociétés qui nous ont laissé des écrits et des preuves matérielles de leurs diverses célébrations.

E.D. – L’argent mène le monde, mais aussi l’au-delà, semble t-il, à lire ce qui se passe dans les différents pays visités. Ce qui régit l’existence se poursuit dans la mort, comme la recherche du “bien-être” dans l’au-delà. Le maintien des statuts sociaux est majeur pour la plupart des cultures. Diriez-vous que c’est toujours le cas dans nos sociétés largement sécularisées ? 

J.C. – Si je prends l’exemple de la France, depuis le XIXe siècle, des lois ont été mises en place à l’occasion des grandes transformations des cimetières afin de tenter d’assurer une sépulture décente pour tous. Contrairement au XIXe, on constate de nos jours moins de démarches « m’as-tu vu » des funérailles, miroir de la réussite du défunt. Mais il est indéniable qu’il n’y a pas d’égalité en termes funéraires. Des associations accompagnent les personnes sans ressources dans leur dernier voyage ; d’autres dressent régulièrement des constats, comme ATD Quart Monde qui a publié un ouvrage intitulé “Mourir lorsqu’on est pauvre”. Lorsque je prépare un enterrement, il m’arrive de voir qu’une personne dispose d’une centaine de fleurs et qu’une autre n’a que bien peu.

E.D. – Y a t-il dans les codes funéraires des constantes à travers les cultures ?

J.C. – Je dirai qu’il y a des petits gestes comme le fait de fermer les yeux des morts (pour des raisons tout à fait compréhensibles quand on est habitués à voir des défunts). Mais aussi le placement des mains, qui va souvent changer selon les cultures. Ces constantes sont surtout visibles par rapport au placement des défunts. On prend soin de les installer d’une certaine façon, qu’ils soient destinés à une inhumation, une crémation ou encore une exposition à l’air libre. Par exemple, les aborigènes d’Australie laissent parfois les morts allongés… dans les arbres.

E.D. – N’y a t-il pas une tentative de réapprivoisement de la mort via les petits dessins “kawaï” que vous utilisez dans vos vidéos, les petites têtes de mort, les squelettes en sucre, etc. qu’on trouve entre autres au Mexique ?

J.C. – Il y a de cela oui, mais c’est surtout ma personnalité qui s’exprime. Je reste une personne très positive malgré mon sujet de travail, j’y mets beaucoup de cœur et ces petites illustrations me représentent bien et en effet adoucissent le sujet. On peut parler de la mort sans tristesse. C’est d’ailleurs ce que l’on me dit souvent, que mon travail n’est jamais triste ou glauque malgré le fait que j’aborde parfois des sujets très sensibles.

E.D. – Comment analysez-vous la réimportation en Europe (et dans le monde) de traditions comme Halloween, digérée par les Américains puis réexpédiés par leur soft-power avec un marketing d’accompagnement ?

J.C. – Depuis une vingtaine d’années, Halloween s’impose en France, largement grâce à l’action commerciale de la grande distribution. Vers 1997, on a vu fleurir citrouilles et autres accessoires dans les magasins. C’était très timide, je me souviens que cela était presque confidentiel. Et puis des vagues de ventes ont été observées. Sans oublier que depuis quelques années s’opère un grand chamboulement autour des pratiques là aussi largement numérisées : tout ce qui touche au « néo-paganisme » et à la « néo-sorcellerie ». Halloween et par extension Samhain* (même si les deux, du point de vue de la recherche, se croisent mais ne sont pas liées) connaissent un regain de pratique.

Dans une société de consommation et d’exposition, proposer une décoration s’inscrit dans une logique de diffusion. Néanmoins si le phénomène Halloween a autant de succès, c’est qu’il s’adresse à des personnes qui augmentent les paniers moyens en magasin : les enfants, grands influenceurs au sein de leur foyer. Enfin, Halloween est aussi célébrée par les adultes. C’est en effet le seul moment de l’année en dehors du carnaval où il est possible de se déguiser, se faire peur et jouer avec des codes qui sont souvent exclus de la société au quotidien, comme la mort.

E.D. – Red Market,  Dark Tourism, phénomènes en augmentation du fait de la mondialisation ne semblent pas être nés d’hier. Sont-ils seulement des résultats du choc des cultures ? 

J.C. – Pour les lecteurs je vais définir ces deux concepts afin que cela soit plus clair. Le Red Market est le « marché rouge », le marché souterrain où il est possible d’acheter tant des organes que des restes humains. Les premiers sont destinés au trafic de greffes ; les ossements ou parties humaines formolées, aux collectionneurs. Quant au Dark Tourism, c’est la visite de sites funéraires ou à forte teneur macabre (comme des lieux de génocides ou de catastrophes naturelles). Je distingue bien le Dark Tourism du nécrotourisme qui lui, s’inscrit plus dans une démarche de découverte du patrimoine funéraire.

Avant, tout cela était confidentiel et entre initiés. Il y a encore 20 ans, on ne trouvait que peu de monde pour visiter les musées d’anatomie… Là encore, internet et surtout les réseaux sociaux vont accentuer l’accès à des informations de toutes sortes. Pour le Red Market, il est banal bien qu’illégal d’acheter un crâne ou un reste humain pour sa bibliothèque. Tandis que le Dark Tourism devient une compétition : c’est à celui qui aura vu le lieu le plus effrayant. Il est important de tenir compte des différences entre le tourisme de mémoire et ce genre purement sensationnaliste. Plus important encore : les impacts négatifs de la diffusion de ces visites. Mon travail s’inscrit aussi dans la prévention des pratiques autour de la mort qui posent des problèmes juridiques et éthiques.

 

* Samhain (1er nov) est la première des quatre grandes fêtes religieuses celtiques protohistoriques

http://editionsdutresor.com/catalogue/funebre

https://lebizarreum.com/

Tags : anthropologiecultes funérairesDark TourismEric DesordreJuliette CazesLe BizarreumRed Marketthanatologie
Article précédent

La France de face

Article suivant

Jim Harrison, rebelle américain amoureux de la France, mort son bic à la main

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié principalement aux éditions Unicité dirigées par François Mocaer, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages, Les Cahiers du Sens, Thauma, La Grappe. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
Jim Harrison, rebelle américain amoureux de la France, mort son bic à la main

Jim Harrison, rebelle américain amoureux de la France, mort son bic à la main

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)

Articles récents

  • Cycle Glam Rock : T. Rex 2/3 – L’album Electric Warrior 26 mai 2022
  • Cycle disco : 1977 – 1978 (1ère partie) 24 mai 2022
  • Editorial 16 mai 2022
  • Dossier des cons, Alexander Makogonov, médaille d’honneur 16 mai 2022
  • Penser «Les Cons» 16 mai 2022
  • Dialogues de pervers 16 mai 2022
  • Le Grand Catalogue des livres imaginaires 16 mai 2022
  • Faut-il se battre contre les cons? 16 mai 2022
  • Que vive le con ! 16 mai 2022
  • Le «vote con» 16 mai 2022
  • Génération offensée – De la police de la culture à la police de la pensée 16 mai 2022
  • La foire aux « cons », c’est maintenant! 16 mai 2022
  • Il en tient une couche ! 16 mai 2022
  • Les cons, quel sujet à la con ! 16 mai 2022
  • Vous sentez-vous à l’article de l’humour ? – suivi de – Toutes mes cons sidérations 16 mai 2022
  • Tout syncrétisme éloigne les “cons” 16 mai 2022
  • Nous voilà bien entartuffés 16 mai 2022
  • Ce qu’un patron peut faire 16 mai 2022
  • Mais qui a tué Harry ? 8 mai 2022
  • Parfum de poudre  8 mai 2022
  • Dictionnaire amoureux de l’entreprise et des entrepreneurs 8 mai 2022
  • Interview exclusive d’Antoine Fratini 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 6 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 5 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 4 1 mai 2022
  • Le corps augmenté et l’âme réduite 1 mai 2022
  • Rosnay le magnifique 29 avril 2022
  • l’infini de la nature 29 avril 2022
  • L’esprit Jedi du ludosport, ce combat au sabre laser… 29 avril 2022
  • L’étrange maladie des oligarques russes 29 avril 2022
  • Cette goutte qui manquerait à l’océan 24 avril 2022
  • Le bon vin de l’ivresse 24 avril 2022
  • Président écrivain… 23 avril 2022
  • Jim Harrison, rebelle américain amoureux de la France, mort son bic à la main 22 avril 2022
  • Juliette Cazes, à propos de son livre Funèbre ! 22 avril 2022
  • La France de face 20 avril 2022
  • L’OTAN a-t-elle vraiment promis à la Russie de ne pas s’étendre vers l’Est ? 20 avril 2022
  • Nier « la mission humanitaire de l’URSS » devient un délit en Russie 19 avril 2022
  • Un président, ça sert à quoi? 16 avril 2022
  • À la veille des Présidentielles, faut-il se rebeller contre les économistes? 16 avril 2022
  • Le président, c’est celui qui doit obéir? 14 avril 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 3 14 avril 2022
  • De Las Vegas au Ladakh 13 avril 2022
  • A quoi peut encore servir un président? 13 avril 2022
  • Fric et poésie font mauvais ménage 13 avril 2022
  • La poste, irremplaçable service public 12 avril 2022
  • Impossible 10 avril 2022
  • Rencontre avec Emmanuel Desjardins 10 avril 2022
  • Coup de Jarnac contre la poésie 10 avril 2022
  • Fais-moi peur ! 9 avril 2022
  • Quand ma lune bleue redevient or 9 avril 2022
  • L’ambivalence du sacré 9 avril 2022
  • Qui sont et que feront les nouveaux Rebelle(s) ? 3 avril 2022
  • Sacré rêveur, le « rêveur sacré » ! 3 avril 2022
  • Le sacré, c’est Vuitton, c’est du luxe ? 3 avril 2022
  • L’amour aux temps du nucléaire 3 avril 2022
  • L’arbre monde 3 avril 2022
  • Le chemin de croix du mythe… à la casse 3 avril 2022
  • Même pas peur… 27 mars 2022
  • Gouvernés par la peur 27 mars 2022
  •  Comment reconnaître un « grand » poète ? 27 mars 2022
  • À fond la caisse ! 27 mars 2022
  • Un rêve « fin de siècle »  27 mars 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 2 24 mars 2022
  • À tous ceux qui ont oublié de saluer la mémoire d’Alain Krivine 22 mars 2022
  • Poutine sur le front 22 mars 2022
  • Il Paradiso, subito ! 20 mars 2022
  • Ibrahim Maalouf et le Free Spirit Ensemble 20 mars 2022
  • En attendant la résurrection des morts, un chef-d’œuvre à voir ou à revoir 20 mars 2022
  • Jedi never die 20 mars 2022
  • Socrate à vélo 20 mars 2022
  • Le punk : épiphanie et eschatologie 20 mars 2022
  • Les acteurs de la diversité spirituelle ont plein de choses à nous dire ! 20 mars 2022
  • Poèmes du grand poète Ukrainien Taras CHEVTCHENKO 20 mars 2022
  • Le pape François et l’Ukraine: en a-t-il dit assez ? 20 mars 2022
  • Quand le mouvement antisecte traque les pacifistes pour Poutine 16 mars 2022
  • Russie : Un premier prêtre orthodoxe arrêté pour avoir critiqué la guerre 14 mars 2022
  • Somebody To Love de Jefferson Airplane 13 mars 2022
  • Sting réinterprète “Russians” 12 mars 2022
  • L’attaque du monde sportif contre la “sportokratura” de Poutine 10 mars 2022
  • L’île d’or 9 mars 2022
  • Poème de Anna Akhmatova 7 mars 2022
  • Kirill Patriarche de Moscou : la guerre est une guerre contre la gay pride 7 mars 2022
  • Dune contre Dune 6 mars 2022
  • Cycle Glam Rock : T. Rex 5 mars 2022
  • Guerre Russie-Ukraine, la fissure orthodoxe 5 mars 2022
  • Ben Mazué : Paradis 4 mars 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 1 27 février 2022
  • Cycle Disco : 1976 27 février 2022
  • Donetsk et Luhansk : des pseudo-États qui refusent toute liberté de religion 27 février 2022
  • Pourquoi Poutine est une raclure 24 février 2022
  • Cycle Rock ‘n’ Roll : Chuck Berry 24 février 2022
  • Interview exclusive d’Alexandro Jodorowsky 20 février 2022
  • La vie de Beethoven 18 février 2022
  • Éditorial à contrario 15 février 2022
  • Qui influence le monde ? 15 février 2022
  • Un monde à sauver 15 février 2022
  • Odyssée sensorielle… ou odyssée pédagogique ? 15 février 2022
  • Interview exclusive d’Elizabeth Czerczuk 15 février 2022
  • L’économie de la culture doit aussi se préparer au monde d’après 15 février 2022
  • Techno Parade ou le triomphe de «l’escatechnologie» 15 février 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2021

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2021

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?