• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 23 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

L’inculture à suffisance

Patrick Lamarque Par Patrick Lamarque
27 novembre 2020
dans Société(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
© Dunphasizer – Zero Culture – CC

De la Grèce antique à la République des Jules puis au théâtre populaire, la culture s’est imposée comme un des piliers d’une société et d’une vie bonnes. Elle inspirait l’idée de progrès et l’ambition d’une vie meilleure.

Aujourd’hui, l’inculture se dresse en paladin du monde nouveau. Pour ses tenants – ou plutôt pour ses pratiquants –, elle ne décrit pas un manque mais, elle affirme un Choix. Un Choix par lequel s’exprime la désespérance du monde chez un nombre croissant d’individus, tenus aux marges de la société et s’y cramponnant pour se préserver. Contrairement à une analyse facile, le Bof, pour prendre un exemple connu, n’est pas une victime. Il triomphe, se conforte, voire fait gloire de son inculture et l’étale pareille à une nouvelle confiture.Car, a contrario, la culture favorise le doute, l’incertitude, le questionnement, le retour sur les choses et sur soi. Elle nécessite un effort tant pour accueillir les connaissances que pour les mettre en lien. Toutes choses qui bousculent une stabilité personnelle à l’enracinement fragile. Toutefois, cette situation ne se limite pas au seul Bof. Elle concerne jusqu’à ces dirigeants prestigieux qui vous affirment, droit dans les yeux, n’avoir pas lu un livre des douze derniers mois et de ne s’être rendus à l’Opéra que pour honorer l’invitation d’un fournisseur. Tant ils sont pris. On se laisse donc prendre à l’inculture.Assez généralement, la culture participe à l’humiliation des Français périphériques dont la philosophie de Cyril Hanouna sert d’unique fenêtre sur un monde qu’il vaut mieux moquer qu’analyser. Quand la culture ne représente pas le plafond de verre de ces gamins que l’école désespère et dont l’avenir s’écrit dans un aller-retour entre Pôle Emploi et la cage d’escalier. Alors, l’inculture s’approprie comme un bouclier contre les blessures de la société et de sa « haute culture ». Et, sans le mesurer vraiment, elle accepte, voire renforce la minorité sociale que la vie lui assigne. Le piège est refermé.

Suffisance du Peu

Cette posture, j‘y fus très tôt confronté. À vingt ans, profondément désireux de partager avec le plus large public des exigences artistiques élevées, je cherchais différents moyens pour y parvenir. En discutant de ce sujet avec le vice-président d’un conseil général qui m’avait à la bonne (c’était un lointain cousin), je m’élevais contre les fêtes à neu neu locales, où le pire côtoie l’encore pire alors qu’il est assez facile de définir un niveau d’exigence supérieur sans dénigrer la tradition ni l’esprit festif. Vaguement consterné et après un silence, il m’asséna cette phrase qui me brûle toujours : « C’est bien suffisant pour nous ».Avec la volonté de démontrer la possibilité de ce que j’avançais, j’organisais alors, avec le Foyer rural dont j’étais un des responsables, une exposition d’art contemporain dans les vitrines des commerçants de mon village de moins de 5 000 habitants. Il y avait là, le meilleur de la peinture d’après-guerre jusqu’aux années 70, non pas en reproductions mais en originaux. Chaque soir, nous ramassions ces pièces magnifiques pour les abriter dans la salle des coffres du Crédit Agricole. À la surprise générale, Il fut évident que même les œuvres complexes trouvaient à être appréciées et commentées par les cinquante mille visiteurs estimés. Avec leurs mots et leur univers, certes. Mais, là commence l’acculturation.Pour rester juste, il faut reconnaître que, les années suivantes, le principe d’exposition dans les vitrines perdura, mais sous le « commissariat » de chacun des commerçants ! Je ne vous décris pas le trou d’air ! La médiocrité populiste revenait au galop dans la profondeur de cette France rurale.Toutefois la France urbaine – et c’est plus grave à mon sens – partage la même appétence pour le Peu. Il inspire ces municipalités qui font de leur festival de Slam et Rap, parfois dénommé « musiques urbaines », le temps fort de leur saison culturelle. Non qu’il faille condamner par principe ces modes d’expression, mais parce qu’il n’est pas fréquent que la recherche d’un haut niveau qualitatif au sein même de ce langage artistique représente le critère principal des choix.Se met ainsi en place une manière d’enfermement, renforcée par le grégarisme dont il devient exceptionnel de s’extraire à la façon de Chris (du groupe Christine and the Queens) navigant entre Normale Sup et la scène alternative. Quoique… Quoiqu’il ne soit pas impossible de développer une réelle culture portant sur un segment spécifique de connaissances. En tout cas, il ne faut pas confondre la masse amorphe et ceux qui explorent le rien avec une gourmandise d’expert.

Utilité du médiocre

Définitivement, l’inculture est donc un Choix : celui de contourner l’exigence d’un apprentissage, sa pénibilité et le détour nécessaire pour parvenir à maîtriser une connaissance, sans pour autant viser le mirandolisme. Qui souhaite comprendre sa situation et agir pertinemment à sa transformation, doit se livrer à un détour culturel. De Pelloutier à Proudhon, les anarchistes de la fin du XIXe l’avaient compris. Seul ce détour permet de comprendre ce que nous vivons et le contexte dans lequel nous nous situons.Ainsi est-il effectivement plus pragmatique (car l’inculture est bien un utilitarisme) d’accepter sa propre condition en renonçant aux efforts pour l’améliorer. On préfère alors la plainte, qui dédouane de toute responsabilité, à la dépense d’énergie que suppose l’élévation culturelle, même modeste. Il y a longtemps, par exemple, on a découvert qu’une part de l’illettrisme à la fin de l’adolescence, correspondait à un illettrisme appris : on a suivi l’école obligatoire en captant sans le vouloir certaines informations et quelques aptitudes à lire, dont on s’est prestement détourné quand, la fin de scolarité aidant, elles ont cessé d’apparaître directement utiles. Une recherche universitaire conduite à Bordeaux parmi des groupes de motards a démontré (il y a longtemps) qu’avec ce désapprentissage, leurs membres avaient réduit a minima leur vocabulaire, tout en restant aptes à lire des magazines spécialisés recourant à un riche vocabulaire technique.Cette posture rappelle irrésistiblement la compréhension de la haine par Spinoza : je me prends à haïr lorsque je ne supporte plus l’effacement de ma puissance d’exister, que le philosophe du XVIIe appelle la tristesse. Cette tristesse est donc à l’origine du choix de la médiocrité culturelle.Comment a-t-on abandonné la culture des Gens de Peu, décrits par Sansot, dont la vie sociale tournait autour des résultats sportifs, des loisirs populaires du camping et du passage du Tour de France tout en se conjuguant avec de fortes solidarités et de riches interactions humaines ? Sans doute faut-il voir là un des effets de l’éclatement des classes sociales et de la montée des individualismes dans la société de marchandise dont l’emprise s’est généralisée. Alors on fait face, à coup de communautarisme pour certains, de débrouillardise pour d’autres et de beaufisme pour le plus grand nombre.

Renoncement au lien

Se développe ce faisant, un profond renoncement au plaisir du jeu des mots, des idées, à l’entrelacs des imaginaires pour faire place, au mieux, à un gavage informationnel. Je connais ainsi une association « historique » à prétentions culturelles, dont les membres se réunissent chaque semaine pour détailler un jour donné du passé : que s’est-il passé le 15 février 1665 ? Réponse de l’animateur ou d’un participant « Le pape Alexandre VII impose le formulaire anti-janséniste par sa bulle ». On se congratule. Et le lendemain ? « La Reine donnait un bal »….Sans plus. Aucun lien n’est fait entre les événements. Aucune contextualisation. Rien qui permette de comprendre quoi que ce soit du monde. De jour en jour s’accumule un fatras de données inutiles dans les rayonnages poussiéreux de cette culture vide.L’inculture n’est donc en rien une rébellion mais bien un choix. Celui de refuser de comprendre le monde au profit d’une lévitation molle et de prendre une part active à son propre destin en laissant les autres décider, quitte à s’en plaindre.

Patrick Lamarque

Tags : Cyril HanounailletrismeL'inculture m'a tuerLes gens de peuPatrick Lamarque
Article précédent

L’inculture de la liberté

Article suivant

Le denier de l’inculte

Patrick Lamarque

Patrick Lamarque

Patrick Lamarque a beau avoir eu la chance de suivre de hautes études, c’est dans les marges et les détours qu'il a appris la vie. De voyages et découvertes de l’art contemporain, du design, de la photographie et du graphisme. De la philosophie, surtout. Et de l’histoire aussi. Un cursus butiné en promenades buissonnières.

Article suivant
Le veau dor

Le denier de l'inculte

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?