• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 9 février 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui

Orélien Péréol Par Orélien Péréol
7 janvier 2023
dans Tribune(s) Libre(s)
1
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

CensureLa demande de censure augmente en intensité et en nombre de cas qui soulèvent cette demande. Elle ne provient pas du pouvoir étatique, elle provient de la base, d’une base qui se proclame « de gauche » !

Les droits de l’homme de 1789 affirment que tout citoyen peut « parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Les livres peuvent être attaqués en justice pour « atteinte aux bonnes mœurs. » Il y a eu une bonne surveillance des publications destinées à la jeunesse. Le caractère raciste, antisémite… de certaines publications peut être jugé par les tribunaux, s’il y a plainte.

Cette structuration étatique de la censure, devenue économe d’elle-même, l’idée démocratique se développant dans le pays et dans l’État, est doublée, dépassée, par une censure sans tribunaux ni procès, usant d’un pouvoir nouveau du web, pouvoir inattendu et impensé.

On trouve une recension, incomplète, des livres connus ayant subi la censure de différents États, pour des raisons parfois fort éloignées : https://www.babelio.com/liste/49/Les-classiques-de-la-litterature-censures

Vous serez peut-être surpris d’apprendre que Mickey Mouse a été censurée en URSS et en Yougoslavie dans les années 30, en Allemagne de l’est dans les années 50, qu’elle est sous le coup d’une fatwa lancée par des islamistes radicaux d’Arabie Saoudite. Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll fut interdit en Chine dans les années 30 car il était considéré comme immoral de faire parler les animaux et de les mettre par là à hauteur des humains !

Sous le Second Empire, régime autoritaire né d’un coup d’État, la justice engage régulièrement des poursuites contre les écrivains. En 1853, les frères Goncourt sont poursuivis pour un article. En 1857, Gustave Flaubert est accusé « d’outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs » pour son roman Madame Bovary. Les Fleurs du mal de Baudelaire paraissent en juin de la même année et suscitent le déchaînement de la presse qui dénonce « des monstruosités ».

La censure de l’ancien régime

Sous l’Ancien Régime, les auteurs doivent communiquer leurs manuscrits à un censeur royal pour obtenir la permission d’imprimer. Les représentations d’une pièce peuvent être interrompues (Tartuffe ou Dom Juan).

Dom Juan refait parler de lui, du côté des mœurs. Pour Marie Coquille-Chambel, David Bobée dans une nouvelle mise en scène se donne pour tâche de répondre à la question « peut-on encore mettre en scène des pièces de théâtre problématiques ? »

Et on tuera tous les affreux, comme disait Boris Vian, qui fut censuré au moins deux fois, pour la chanson Le Déserteur et pour J’irai cracher sur vos tombes.

Cette volonté de faire taire s’appelle fréquemment « woke » d’un nom américain. Il faut s’indigner de ces deux choses : qu’une demande de censure vienne de la base, qu’elle ne vienne pas des institutions étatiques ; que cette base se prétende de gauche.

Une des exclusions sans procès les plus lourdes et les plus remarquables, récente, est celle de Bastien Vivès. Je précise que je ne lis de bédé qu’exceptionnellement et que je ne connaissais pas le nom de Vivès avant l’élimination dont il est victime, parce que, celles et ceux qui veulent cette censure parlent assez volontiers de rapports de domination, alors qu’ils sont en train d’instaurer une domination phénoménale, hors toute considération, démarche, processus démocratiques.

Ces autoritaires qui condamnent sans entendre ceux qu’ils accusent considèrent leurs opposants, même les tièdes, comme étant d’extrême droite. La déclaration que telle personne ou tel discours appartiennent à l’extrême droite leur paraît un argument définitif. Tout le monde peut voir que l’extrême droite partisane progresse (le RN est passé de 8 députés à 89 !) dans ce contexte qui amène ceux qui se déclarent de gauche à conspuer leurs opposants par cette déclaration infamante selon laquelle ils seraient d’extrême droite.

Médiapart pratique la chose, à propos de Vivès, en s’étonnant que personne n’ait réagi avant, parmi les divers diffuseurs : « Ont-ils si bien intégré la pensée réactionnaire d’extrême droite qu’ils n’hésitent même plus à s’attaquer aux féministes qui luttent pour les droits des enfants ? »

La censure a priori revient ! Médiapart demande un comité de vigilance : « Nous demandons aujourd’hui que le FIBD rédige et établisse une charte d’engagement, afin que les futures sélections et programmations du festival soient réalisées dans le respect du droit des personnes minorisées ainsi que dans l’égalité de leurs représentations. »

C’est la tentation de la « démocratie a priori » : ils veulent n’admettre de discours que conforme à l’égalité des droits de tous les groupes, tel qu’ils ont établi cette égalité, tel qu’ils ont établi ces groupes. Je doute que les prolétaires en fassent parti.

La démocratie est l’exact contraire : elle est le choc raisonné et discursif des points de vue divergents et la décision d’actions coordonnées reprenant au mieux l’ensemble de ces points de vue, les divergents et les concordants. L’idéal est que les décisions d’actions qui sortent de la synthèse briment tout le monde et satisfont un peu tout le monde à parts égales. Là, au terminal, on peut compter les parts de satisfaction ou de frustration, après les débats contradictoires. Et si tout le monde est content et mécontent de façon semblable, la démocratie a réussi et peut continuer.

Se sentir responsables d’une ligne de pensée, de conduite, d’évaluation des conduites des autres tellement sûre qu’elle permet de juger les autres sans entendre les accusés est le contraire de la démocratie. Son incompatible contraire.

Ces censeurs ont du pain sur la planche, rien que dans la bédé : Gotlib et son hamster jovial… le pirate noir d’Astérix, qui ne prononce pas les « r »… L’alcoolisme du capitaine Haddock… Manara…

Comme ils se sentent légitimement juges et parties, l’accusation commence au simple de fait de nommer ou dessiner le phénomène ! Les romans et films policiers ne poussent pas au meurtre, les récits et films de guerre ne poussent pas à la guerre. Si on suit ces censeurs « woke », on ne va pas tarder à brûler les bibliothèques.

C’est dans une idée semblable que le mot race a été supprimé de la constitution. Comme si le mot créait la chose ; cette inversion impossible est, semble-t-il, devenue crédible pour nombre de mes contemporains. Admettre une réalité négative serait la valoriser, et même, la promouvoir. En ce qui concerne le mot race, à peine fut-il enlevé de la Constitution, qu’il réapparu sous une forme nouvelle, « racisés », lesquels racisés réclament que l’on prenne en compte en permanence et à propos de tout, leur victimisation.

Cette mentalité nouvellement créée est fondée sur un hyper-individualisme : il n’y a que des individus. Ce qui est oublié, c’est que le mal ne sort pas des actions des hommes (au sens de l’humanité, parce que certains nous affirment que le mot homme n’existe que dans la division sexuelle des hommes, homme-femme). Les hommes posent des actes dans un monde qui est fait de bien et de mal. Vouloir définir le mal, lui trouver une source (des producteurs de mal) et un flux (un sens unique sans complexité), vouloir chasser les « producteurs de ce mal » est une des pires attitudes que l’humanité est capable de prendre. Se sentir tellement supérieur aux autres qu’on peut se permettre de les empêcher de vivre et de s’exprimer est l’opposé exact de l’égalité (en droit) que soi-disant notre civilisation recherche (le soi-disant signifie que cette recherche a peut-être pris fin et, même, est devenue coupable). Se sentir tellement dans son « bon droit » qu’on peut écarter ceux qui s’écartent de ce bon droit est un abus de pouvoir qui détruit l’idée d’égalité. Ce fait que les censeurs « woke » obtienne, condamner à l’exclusion sociétale, est exactement ce contre quoi ils (les mêmes, ces tenants de la censure non-étatique) prétendent lutter.

René Girard a bien montré cette équivalence des combattants, qui se ressemblent de plus en plus au fur et à mesure que leur combat avance dans le temps.

Contre ce phénomène, humain, proprement humain, qui fait que nous agissons dans le bien et le mal, nous n’avons comme moyen de résolutions des différends, des conflits, des erreurs et des fautes que l’échange respectueux de paroles, respectueux de la parole de l’autre, fut-il clairement coupable. Mettre à l’écart de la société quelqu’un « sans autre forme de procès » est une violence faite à la société qu’il faut faire cesser.

Il faut être radicalement démocrate, sans quoi la démocratie va fondre et disparaître, la société devenant un puzzle de groupes hargneux les uns envers les autres, chacun persuadé d’avoir le bien, de façon indiscutable, un bien auquel tous les autres groupes devraient se soumettre.

Pauvres de nous.

Tags : censurewokewokisme
Article précédent

La poétique désabusée de « La Maman et la Putain »

Article suivant

Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà…

Orélien Péréol

Orélien Péréol

Écrivain, auteur de théâtre, essayiste… Danseur quelques fois. Libertaire et scientifique. Pense par lui-même. Décalé chronique. A fait de nombreux métiers : comédien, metteur en scène, auteur, professeur de sciences économiques et sociales, professeur des écoles, a beaucoup publié dans les « cahiers pédagogiques »… Divorcé, père de trois enfants, habite de 4 à 10 mois par an, suivant les années, à Dakar, Sénégal… à Paris le reste du temps.

Article suivant
Disco danseurs 1980

Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà...

Commentaires 1

  1. Emmanuel Gambet says:
    Il y a 1 mois

    Et que dire de ce député LFI de Haute-Garonne, Hadrien Clouet, qui prétend dénazifier l’espace public en s’attaquant aux noms de rues !
    Ce député toulousain ne s’indigne pourtant pas qu’une rue de sa mairie (de droite) continue à s’appeler avenue de l’URSS. N’y a-t-il pas urgence à débaptiser ? Proposons immédiatement de l’appeler avenue de l’Ours, c’est plus contemporain et neutre. Encore que… Ne va-t-on pas tomber sous le coup de l’article L214 ?
    https://www.ladepeche.fr/2022/12/05/le-depute-toulousain-qui-veut-denazifier-lespace-public-10846313.php

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie I 16 octobre 2022
  • Altered carbon – Richard K. MORGAN 16 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie II 10 octobre 2022
  • La radicalité est une exigence de liberté 9 octobre 2022
  • Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ? 9 octobre 2022
  • Orthographe, sexe et cinéma 7 octobre 2022
  • Le col de Tichka 7 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I 7 octobre 2022
  • La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ? 7 octobre 2022
  • La guerre à sept ans 2 octobre 2022
  • À Corps Perdu 2 octobre 2022
  • De la nécessité de croire 2 octobre 2022
  • De Goya à Rushdie 1 octobre 2022
  • Écouter, sentir… 1 octobre 2022
  • Rêve d’une poésie indépendante des partis au pouvoir… 25 septembre 2022
  • Coriolan 25 septembre 2022
  • Le dernier homme 25 septembre 2022
  • L’improbable métamorphose du monde 24 septembre 2022
  • Dérive séductrice en Écosse 18 septembre 2022
  • Du coquin et du sauvage ! 18 septembre 2022
  • L’économie : une religion inconsciente? 18 septembre 2022
  • L’ensorcellement du monde 18 septembre 2022
  • On ne peut vivre qu’à Paris 11 septembre 2022
  • 2015, retour vers le futur… 10 septembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Slade 10 septembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?