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Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus

William H. Miller Par William H. Miller
3 décembre 2022
dans Rock and Folk et Musique(s)
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Le Glam Rock tire grand parti de l’image, c’est même l’un de ses traits distinctifs. Comment alors s’étonner qu’il ait grandement inspiré le cinéma, autant à son époque que beaucoup plus tard ? Les films qui vont suivre vous donneront quelques paillettes de plus. Ils sont soit inspirés par le Glam Rock soit racontent son histoire.

Nous avons déjà parlé du Born To Boogie de T. Rex et du Ziggy Stardust Live de David Bowie. Ces films sont avant tout des films de concert.

Phantom Of The Paradise de Brian De Palma baigne totalement dans l’ambiance de l’époque même s’il reprend les mythes de Faust ou du Fantôme de l’Opéra. Les personnages sont largement inspirés du Glam Rock de l’époque.

The Rocky Horror Picture Show est une curieuse comédie sur un concept franchement loufoque : un chatelain transsexuel transylvanien (!) veut créer biologiquement l’amant parfait avec l’aide de ses serviteurs. Un couple BCBG s’égare au milieu de toute cette histoire. La référence au Docteur Frankenstein est évidente mais totalement dénaturée de manière absurde et finalement drôle. Le film n’a pas eu de succès dans les salles mais est devenu un film culte, les spectateurs dans la salle pendant les projections jouant les figurants pendant plusieurs scènes choisies.

Velvet Goldmine de Todd Haynes en 1998 : bâti sur un narratif à la Citizen Kane, avec enquête à la clé, ce n’est pas seulement un film sur le Glam Rock, c’est probablement le meilleur film qu’on ne fera jamais sur le sujet. Pourtant, tout avait très mal commencé. L‘idée de départ était de faire un biopic sur la carrière glam rock de David Bowie mais celui-ci, averti du projet, a expressément interdit qu’on utilise son nom et sa musique. Le projet aurait dû s’arrêter là mais Todd Haynes est un réalisateur très inventif. Il a pris cet obstacle et l’a contourné d’une manière très créative. Du coup, au lieu d’avoir un simple biopic comme il y en a tant, on a obtenu une allégorie hallucinante sur le Glam Rock, extrêmement documentée (le film est émaillé de citations d’Oscar Wilde et la costumière, Sandy Powell, a reçu une récompense pour la recréation de la mode vestimentaire de l’époque). De plus, le film est amené à un très haut niveau de qualité par de grands acteurs au début d’une carrière éblouissante : Christian Bale, Jonathan Rhys Meyers, Ewan McGregor et Toni Collette… Excusez du peu !

Pour le clin d’œil, les noms des protagonistes et des groupes sont des références aux acteurs du genre. Le personnage principal s’appelle Brian Slade (de Brian Ferry, leader de Roxy Music et de Slade, le groupe de glam rock). Le titre du film est le nom d’une chanson de Bowie de l’époque. Sous les noms inventés, on reconnait assez facilement David Bowie, Iggy Pop, Lou Reed, Angela Bowie, la femme de David, Tony Defries, le manager de Bowie à l’époque. Sous les dehors de Shannon, on reconnait facilement Coco Schwab, l’assistante personnelle de David Bowie.

Todd Haynes, bien que fan, n’a fait aucune concession au sujet traité et on perçoit aussi bien le génie des acteurs du glam rock que la superficialité qui le fera disparaitre.

La bande annonce :

Le générique de début :

Epilogue

Il aurait été laborieux d’énumérer toutes les chansons, albums ou artistes influencés largement par le Glam Rock. La vérité est que, depuis sa mort clinique annoncée en 1975, le Glam Rock n’a cessé de renaitre de ses cendres. Ses albums et singles phares ne cessent d’occuper le haut du panier. Il est partout, dans certains sons de guitare aux aigus crispés, dans certains arrangements vaudevillesques, dans certaines façons de chanter ou prestations scéniques, dans certains choeurs hauts perchés aux résonnances angéliques… Même les publicitaires ne cessent d’utiliser son imagerie car c’est l’une des plus fortes jamais créées. Alors, pour paraphraser un dicton normalement réservé au Disco, je dirais : Glam Rock never dies !

C’est sur ces quelques mots que se finit ce cycle sur le Glam Rock. Je crois avoir fidèlement représenté ce genre musical, de manière exhaustive mais non redondante. Comme un trait d’union entre le Rock progressif de la fin des années 60 et le Punk Rock de la fin des années 70.

Juste une étoile filante… Mais le Rock n’a plus jamais été le même.

Tags : glam rockmusiquerock
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William H. Miller

William H. Miller

Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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