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Cycle Glam Rock : David Bowie 3/3 – Ziggy Stardust, maître du monde !

William H. Miller Par William H. Miller
10 août 2022
dans Rock and Folk et Musique(s)
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David Bowie Aladdin Sane CouvertureLe 13 avril 1973 sort l’album Aladdin Sane. Là où l’album précédent, Ziggy Stardust, arborait un son et une production “léchée”, charmeuse, Aladdin Sane se revendique d’un son brut, presque un peu “garage” par moments, même s’il y a quelques exceptions. D’une manière générale, Ziggy Stardust arborait la classe anglaise et Aladdin Sane pourrait s’appeler “Ziggy Stardust en Amérique” La tournée américaine que viennent de finir les Spiders a beaucoup impressionné David Bowie et le nouvel album est truffé de références à ce pays. Aladdin Sane est aussi censé être un nouveau personnage qu’incarne Bowie. Pas sûr que son public ait vraiment établi une différence avec Ziggy Stardust. Il l’a plutôt pris comme une évolution, une mutation.

“The Jean Genie” est le premier single issu de l’album et on peut dire que la musique comme la prestation scénique dans le clip en rajoutent encore dans le registre Glam Rock :

“Time” se lamente sur le passage irrésistible des années et le piano y crée une ambiance vaudeville / dixieland qui nous plonge dans un climat très « cabaret décadent » :

“The Prettiest Star” est un hommage à Angela Bowie, la femme de David, créée à l’origine en 1970 avec l’aide de Marc Bolan de T. Rex à la guitare. Mick Ronson reprend le style de Bolan avec brio et le pousse même un peu plus loin pour en faire du Mick Ronson typique. Comme dit Picasso : “les petits artistes copient, les grands artistes s’approprient” :

La version Bowie de “Let’s Spend The Night Together” des Stones reprend tout ce qui faisait la saveur de l’original mais en pousse beaucoup plus loin l’aspect sulfureux. Glam Rock oblige !

En bons fans de Lou Reed, Bowie et les Spiders reprendront fréquemment sur scène White Light/White Heat du Velvet Underground, une chanson qui parle des amphétamines. Il faut dire que la bande du Ziggy Stardust Tour en connaît un rayon en matière de drogues :

Pendant ce temps, le Ziggy Stardust Tour continue, justement. Comme nous le savons, Bowie déteste l’idée de prendre l’avion et le groupe prendra le train Transsibérien pour faire des concerts au Japon. Je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée amusée en imaginant l’impact créé durant le voyage par les Spiders From Mars quand ils descendaient du train aux arrêts, dans l’URSS d’alors, vêtus de leurs costumes chamarrés et maquillés, comme d’habitude. Les habitants de Sibérie qui les apercevaient devaient vraiment se demander de quoi il retournait exactement.

Sur les plans artistique et commercial, tout va pour le mieux et personne n’est en mesure de dépasser David Bowie à l’époque. Mais entre celui-ci et Ziggy Stardust, devenu plus réel que lui-même, le torchon brûle.

Inutile de dire à quel point le rêve est essentiel pour une Rock star. Mais quand le rêve finit par subjuguer la réalité et que l’esthétisme dans l’image devient une recherche sans âme, on arrive dans un pays vide et empoisonné qu’ont déjà exploré Oscar Wilde et Beau Brummell à la fin de leur vie.

Car comment interpréter en permanence le rôle d’un personnage adulé et garder un peu de santé mentale ? David Bowie pourrait nous en apprendre beaucoup sur le sujet. Ses déclarations ultérieures sur cette époque montrent qu’il lui était de plus en plus difficile de garder la tête froide, de faire la différence entre lui-même et le personnage qu’il avait créé et qui devenait totalement réel pour ses fans. La prise régulière de cocaïne ne devait pas beaucoup l’aider à trouver cette différence, cette substance étant connue pour surdimensionner l’égo.

Dans l’excellent film “Velvet Goldmine”, un protagoniste dit à mots voilés de Bowie : “il se prenait vraiment pour Ziggy Stardust… Et Ziggy Stardust se prenait pour Dieu.”

Sentant qu’il commence à sombrer dans la folie, David Bowie prend une grande décision : il va “tuer” sur scène Ziggy Stardust, alors au fait de sa gloire. Si la vie de David Bowie à l’époque, c’est son image, est-il seulement capable de se défaire de cette image pour être simplement lui-même ? C’est une liberté qu’on s’autorise ou pas. Il se l’est autorisée : le 3 juillet 1973, à l’Hammersmith Odeon où se déroule le dernier concert du Ziggy Stardust Tour, longue tournée marathon s’il en est, avant d’entamer la chanson “Rock ‘n’ Roll Suicide”, il fait la déclaration suivante : “ce concert est celui qui restera le plus cher à nos coeurs, non seulement parce que c’est le dernier concert de la tournée mais surtout parce que c’est le dernier concert que nous ferons jamais” Cris de protestation dans la salle. Mines sidérées de Woody Woodmansey et Trevor Bolder, respectivement batteur et bassiste des Spiders. Seul Mick Ronson avait été mis au courant.

Ziggy Stardust a laissé dans le coeur de ses fans inconsolables un rêve grandiose, improbable et vénéneux mais tellement délicieux : il existe quelque part dans la galaxie des gens comme nous, distingués pour leurs dons fabuleux et, un jour, l’un d’entre eux viendra des étoiles et nous délivrera de ce monde exécrable et de sa médiocrité érigée en vertu.

Après un album de reprises des 60’s et un album futuriste du nom de Diamond Dogs, David Bowie partira définitivement vers d’autres horizons après une sorte d’adieu au Glam Rock en chanson :

Tags : David Bowieglam rockmusiqueZiggy Stardust
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William H. Miller

William H. Miller

Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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Aie © Eric Desordre juillet2022 recadree scaled

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