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Elephant

Alan Clarke, 1989 - Gus Van Sant, 2003

Lionel Gerin Par Lionel Gerin
29 novembre 2022
dans Cinéma(s), Art(s)
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Elephant – Gus Van Sant, 2003 –

Histoire sans parole.

Un film comme une gifle, comme un coup de poing à l’estomac.

Un homme marche, en suit un autre, le croise, se retourne, dégaine un pistolet et le tue. Cette scène, avec quelques variantes de lieux et de personnes, est répétée 17 fois en 39 minutes. Sans un mot.

Dans ce film de 1989, Alan Clarke tente d’approcher et de traduire la violence qui sévit alors, et depuis longtemps en Irlande du Nord. Causes, effets, appartenances, justifications, revendications ? Tout cela balayé d’un grand coup de caméra. La violence brute. Celle de cette guerre, celle du terrorisme, celle des trahisons, des règlements de compte, des exécutions. Tout cela réduit à sa plus simple et horrible expression. La mort des hommes et des femmes, soudain. Et c’est tout.

Alan Clarke est un grand cinéaste anglais, récemment redécouvert grâce à des sorties DVD. Son œuvre, quasi documentaire cerne beaucoup des problèmes qui traversent la société britannique des années 70/80. Elle témoigne d’une violence inouïe et fulgurante dans une société pourtant réputée policée où l’émotion n’est pas de mise. Keep your upper lip tight, my boy!

La plupart de ses films furent réalisés pour la télévision qui les trouva parfois si choquants qu’Alan Clarke se tourna vers une sortie cinéma.

Quelques exemples, enfin disponibles:

En 1979, Scum traite de la condition des adolescents en maison de redressement.

En 1982, Made in Britain nous fait découvrir une tranche de la vie d’un Skinhead. Tim Roth, dont c’est le premier rôle, est époustouflant.

En 1988, The Firm nous montre l’univers des hooligans. Première apparition de Gary Oldman.

Les trois sont des docufictions puissants.

Au début des années 2000, on propose à Gus Van Sant, metteur en scène américain, de réaliser un long-métrage à partir de la tuerie de Columbine, alors le dernier « school-shooting » qui a choqué l’Amérique.

Il a déjà tourné 9 films et vient de sortir Gerry, film radical et indispensable, qui sera finalement le premier volet de ce que l’on peut considérer comme un triptyque expérimental consacré à la jeunesse américaine.

Gus Van Sant accepte la proposition mais cherche la forme à donner à son film. Il pense alors à Elephant, d’Alan Clarke, et va s’en inspirer grandement. Il y voit en effet des similitudes. Selon lui, bien que de façon autre que les habitants d’Irlande du Nord, les adolescents américains sont plongés dans la violence, et les causes de cette violence sont complexes.

Comment rendre compte de la vie d’un lycée américain, combien de personnages doit-il intégrer à l’histoire, sur quelle période ?

Il opte pour un dispositif radical: une dizaine de personnages, une seule journée. Un format d’image carré (1.37:1), une durée ramassée, 81 minutes, des acteurs pour la plupart amateurs.

Le film s’ouvre sur le ciel, puis sur une voiture qui zigzague, vient heurter des véhicules en stationnement, pour finalement s’immobiliser. En descend un adolescent qui vient prendre le volant à la place de son père, ivre. Seule vision des parents de tout le film, ce moment inaugural nous suggère une dérive irresponsable, un abandon de responsabilité, une inconscience destructrice, bien que rien ne soit ni dit, ni appuyé.

Arrivé au lycée, la caméra suit l’adolescent. Commence alors un ballet qui va durer plus d’une heure. Longues déambulations d’étudiants qui se croisent dans des couloirs interminables d’un univers montré comme surdimensionné et déshumanisé, voire carcéral. Scènes répétées, vues de plusieurs points de vue. Pièces d’un puzzle, chemins d’un dédale.

Ralentis. Musique limpide. Les personnages sont suivis de dos le plus souvent, comme dans le film d’Alan Clarke. On devine pourtant les affinités, les amours naissantes ou désirées, les rancunes et les brimades. Quelle économie de mots, de gestes ! Tout cela jusqu’au massacre final.

Il émane de ce dispositif des impressions contrastées. Ces adolescents semblent vivre ensemble, mais dans des bulles séparés qui ne se croisent que fortuitement, sans réel échange. Sentiment d’immense solitude. Malgré tout, il y a aussi de la grâce, de l’élégance dans ces mouvements, dans ces corps, dans cette lenteur. Une gifle, donc, mais avant la gifle, une caresse.

Il ne s’agit pas pour Gus Van Sant d’expliquer quoi que ce soit. Il veut, tout comme Clarke, nous plonger d’emblée dans « l’action », en l’occurence la routine d’une journée scolaire ordinaire, banale et répétitive, puis dans l’horreur qui va la conclure. Pas d’analyse, pas de jugement.

Là où le film est très puissant, c’est qu’il arrive à nous donner une impression de réel, ou tout au moins de vérité, en ayant recours à des artifices et des dispositifs très voyants.

Se dégage aussi une impression totalement poétique, dans tous les sens du terme.

Elephant devait remporter la Palme d’or à Cannes en 2003.

En 2005 sortait Last Days, dernier volet du triptyque, évoquant les derniers jours de la vie de Kurt Cobain, le leader défunt du groupe Nirvana.

Il faut également signaler dans la filmographie de Gus Van Sant, My Own Private Idaho, en 1991, dérive amoureuse de deux jeunes adultes. Et, en 2008, dans un genre et une forme tout à fait classiques, Milk/Harvey Milk, biopic du militant éponyme, pionnier de la cause homosexuelle et transgenre. Bien sûr, tous les autre films de Gus Van Sant sont intéressants à divers titres, De Psycho à Paranoid Park, de Malanoche à Good Will Hunting/Will Hunting.

*Pourquoi ce titre ? Quel rapport y-at-il entre un éléphant, le conflit en Irlande du Nord, ou les tueries dans les lycées américains ?

Il semblerait que cela fasse référence à une vieille parabole Indienne. Si vous faites rentrer des aveugles dans une pièce où se tient un éléphant, ils en sortiront tous avec un témoignage différent. L’un, ayant touché ses défenses, dira qu’il est lisse et froid comme l’ivoire, l’autre dira au contraire que sa peau est rugueuse. Un autre dira qu’il a un long nez, tandis qu’un quatrième, ayant touché la queue, dira qu’il a contraire un petit appendice. Ils auront tous raison, mais aucun n’en saisira la totalité. Ainsi en est-il des conflits et des massacres.

Soyons donc aveugles, mais voyons ou revoyons Elephant.

 

Tags : Alan Clarkecinéma américaincritique de cinémaGary OldmanGus Van SantKurt CobainLionel GerinPalme d'or à CannesSchool Shootingtuerie de Columbine
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Né à Roannes, Lionel Gerin est un poète publié notamment au Nouvel Athanor. Il enseigne et vit à Lyon. C'est un poète passionné de cinéma et de voyage.

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