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Coriolan

Splendeurs et misères  des démocraties

Brigitte Gins-Cohen Par Brigitte Gins-Cohen
25 septembre 2022
dans Théatre - Spectacle(s), Art(s)
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Coriolan © Brigitte Gins-Cohen –

S’attaquer à Coriolan reste une gageure : ce n’est pas la tragédie la plus connue de Shakespeare, même au sein de ses pièces romaines comme Troïlus et Cressida, Titus Andronicus ou encore  Antoine et Cléopâtre mais c’est la plus éminemment politique  avec nombre de personnages et de débats entre les représentants de la plèbe et les patriciens. En ce sens, elle interroge furieusement notre temps où les démocraties souffrent de poussées populistes et tyranniques. Dans son questionnement sur la représentation du pouvoir au théâtre avec ses mécanismes et ses déviances, François Orsoni poursuit sa réflexion initiée avec la Mort de Danton de Büchner en 2017 et Monsieur le député de Leonardo Sciascia. A ses risques et périls.

Une tragédie historique

Bonne idée bien sûr. Coriolan est l’exacte figure du héros en proie avec l’Histoire et ses passions. Coriolan, Caius Marcius surnommé Coriolanus par les Romains après la prise de Corioles aux Volsques, est un général romain dans une Rome républicaine balbutiante aux environs de 490-480 avant J.C. La pièce s’ouvre sur une mutinerie du peuple, auquel le Sénat, sur recommandation de celui qui n’est encore que Caius Marcius, a refusé d’accorder une distribution gratuite de blé. Le Sénat vient d’accorder à la plèbe, cinq représentants, les tribuns de la plèbe. La guerre extérieure occulte un moment la profonde division de la société romaine entre la classe dominante des patriciens tout puissants et la classe dominée des plébéiens. Vainqueur des Volsques, Coriolan, poussé par sa mère, s’affiche comme candidat au Consulat mais les tribuns de la plèbe l’accusent de maîtriser le peuple et d’aspirer à la tyrannie. Il se réfugie chez ses anciens ennemis les Volsques, trahissant donc Rome. Il faudra les supplications de sa mère pour qu’il renonce d’en faire le siège. Il meurt assassiné par des conjurés.

Une réflexion shakespearienne si juste aujourd’hui

Résumer la pièce revient à simplifier une exploration des possibles politiques qu’elle propose. D’un côté les plébéiens aux droits nouvellement acquis, de l’autre les Patriciens dont Coriolan et sa mère Volumnia sont les représentants. D’un côté, l’orgueil et la noblesse d’un héros tenté par l’oligarchie militaire, de l’autre une démocratie qui use de la démagogie. Christian Schiaretti en 2009 avait dévoilé toute la complexité d’une lecture contemporaine de la pièce axée sur le thème du traître, une conséquence inévitable des manœuvres politiques et des dissensions fratricides , le tout amplifié par la force des liens filiaux. 30 comédiens sur le plateau pour rendre compte de la virulence des débats au Sénat, de l’impossible concorde et d’une guerre civile pouvant verser à tout moment dans le populisme ou la tyrannie.

Une scénographie « cheap »

Dans quelle mesure l’esthétique scénographique, les choix des comédiens et de leur diction permettent-ils d’illustrer une lecture contemporaine de la pièce ?

La pièce comporte 16 ou 17 personnages mais François Orsoni a choisi de contracter tous les rôles avec 5 comédiens dont 3 ne joue qu’un personnage : Alban Guyon pour Coriolan, Estelle Meyer pour Volumnia, la mère de Coriolan et Thomas Landbo pour Menenius, le tribun patricien modéré. Pascal Tagnati joue plusieurs rôles, notamment Aufididius, le chef ennemi des Volsques et Jean Louis Coulloc’h incarne différentes figures du peuple . Le découpage est intelligent parce qu’il met en place des duos qui s’affrontent. Mais l’ampleur épique en souffre. Par ailleurs, si chacun de ces comédiens a des qualités, ils étaient presque à contre-emploi dans la plupart des scènes. Un Coriolan qui vocifère sans nuances, un Aufididius qui ressemble davantage à un bandit corse, un peuple dont on ne sent pas la volonté d’exister politiquement. Seule Estelle Meyer en mère redoutable de machiavélisme tire son épingle du jeu.

Un plateau noir, des chaises en gradin, l’acropole en toile de fond, quelques colonnes, des instruments de musique pour le bruitage sur le côté de la scène, les patriciens sur la scène, les plébéiens ou les ennemis en bas de la scène, à la hauteur des spectateurs : voilà une scénographie minimale à la mesure de la réduction des personnages. Des choix aussi peu compréhensibles : Jean-Louis Colloc’h représentant le peuple entièrement nu derrière Coriolan. Ou encore des scènes risibles comme l’imitation des cavalcades équestres du héros, les deux jambes sur deux chaises. Peut-être Orsini a-t-il voulu montrer l’inadéquation de Coriolan  au jeu politique ? Sa version prendrait alors les accents de la parodie. Mais il faut se donner les moyens de faire sonner le grotesque dans le tragique. Or ici l’économie de moyens peine à déboucher sur une finalité : elle ne fait que dévoiler une lecture qui place le modernisme de la pièce dans le décor, les costumes et la gestuelle sans arriver à une cohérence qui soit d’emblée comprise.

Heureusement, le texte de Shakespeare résiste : c’est le propre des grands textes de rester insubmersibles.

Coriolan

François Orsini/Shakespeare

Théâtre de la Bastille 6 rue de la Roquette

75011 Paris Réservations: 01 43 57 42 14

Tags : Brigitte Gins-CohenCoriolancritique de théâtreFrançois OrsoniThéatre de la BastilleWilliam Shakespeare
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Brigitte Gins-Cohen

Brigitte Gins-Cohen

Parisienne et charentaise. Professeure de lettres pendant 35 ans. Auteur d’ouvrages pédagogiques au sein des Éditions Magnard. Surtout amoureuse des arts du vivant. Regarder, interroger, comprendre les mœurs des hommes, leur ego, leur lucidité et leur aveuglement dans leurs représentations artistiques forme l’essentiel d’une observation critique passionnée.

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