• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 22 septembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Le dernier homme

L’homme qui ne se posait pas de questions

contributeurs ponctuels Par contributeurs ponctuels
25 septembre 2022
dans Politique(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
L’homme qui ne se posait pas de question © Eric Desordre –

Nietzsche, Fukuyama, Huxley. A priori, trois auteurs différents. Mais une direction en commun: entre le dernier homme, la fin de l’histoire et le meilleur des mondes, un funeste destin nous est prédit. Sommes-nous voués à subir ces mauvaises prédictions ? Qu’est-ce qui cloche, dans nos bonnes vieilles démocraties occidentales ? Comment réagir ? Tentative d’éclaircissement à travers le prisme de l’anticonformisme.

Et si la grande crainte de Friedrich Nietzsche était devenue réalité? Et si le dernier homme, cet être sans ambition autre que de vivre sa vie dans le bien-être et la sécurité, était le prototype de l’homme actuel, incapable de se défaire d’un certain conformisme ambiant, et qui tendrait, dans les démocraties occidentales, à avoir admis définitivement que le seul bonheur possible est de se fondre dans le moule de la création de richesses?

Et si la défaite de la pensée était avérée, et si l’impossibilité de faire évoluer le monde dans un sens différent était irrémédiable, et si la fin de l’histoire de Fukuyama était en fait en train de se produire sous nos yeux, et si, en l’absence d’un autre modèle économique, social et politique, l’ultralibéralisme avait définitivement remporté la bataille idéologique?

Que dire à nos enfants ?

Qu’expliquera-t-on à nos enfants, dans quelques années? Que faute de mieux, on a opté pour le moins pire des systèmes possibles? Qu’au moins, on a pu éviter d’autres grandes guerres avec moult sacrifices de fantassins? Que les guerres économiques ont le mérite, elles, d’éviter la violence visible, et de ne tuer qu’à petit feu?

Comme le disait Aldous Huxley, «Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.» C’était en 1939, et déjà pointait à l’horizon le danger du désastre nihiliste qui allait menacer la civilisation occidentale. Huxley encore: «Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie.»

De la subtilité du conditionnement des possédants

Précisément, ici se repère toute la subtilité du conditionnement opéré par les possédants, sur les possédés. Le véritable combat se situe désormais à ce niveau-là : donner suffisamment à chacun pour maintenir le peuple dans une certaine forme de passivité, sans toutefois qu’il ne pense même à réagir, ou à se rebeller contre l’ordre établi. Finalement, on a remplacé l’esclavagisme par le salariat. Si les conditions de vie des possédés se sont améliorées, ils n’ont toujours aucun choix: par le passé, ils devaient obéir aveuglément à l’oppresseur; de nos jours, ils passent leur vie à devoir racheter la condition même de leur existence.
Dire aujourd’hui, dans nos sociétés contemporaines, «on a toujours le choix», relève de l’imposture. Considérer aujourd’hui qu’on peut se sortir facilement du déterminisme économique, social, culturel de nos origines relève non pas d’une réalité, comme on veut nous le faire croire, mais d’une utopie absolue.

Des barrières invisibles ont été construites autour de nous, pour empêcher tout à chacun de se poser trop de questions. Un conditionnement nous entoure, et nous fait voir la vie d’une certaine façon. Dans les médias, le divertissement a gagné, et l’emporte petit à petit sur toute forme de réflexion. Internet est à double tranchant: possible outil de savoir, pour qui veut bien chercher, il peut tout aussi bien mener à un abrutissement massif si on se contente des sites d’information basiques ou des forums de discussion, qui rabaissent le niveau d’une conversation, bien trop souvent, à celui du néant.

De la perte du sens

C’est la perte du sens qui nous guette, et la victoire du divertissement à tout bout de champ; une société qui serait régulée par plusieurs repères inamovibles : dans le meilleur des cas, avoir un travail pour survivre, et pour s’enrichir, rentrer chez soi pour consommer, fonder une famille si on le peut et reproduire les mêmes réflexes pour former une génération à venir qui se posera aussi peu de questions que la précédente. À qui profite le
crime de la diffusion du conformisme à tout bout de champ? Principalement aux entreprises et aux industries, qui peuvent faire consommer les citoyens sans difficulté, et en masse, ainsi qu’à l’État, qui assure sa perpétuité à mesure que s’éteint toute forme d’opposition ou de révolte.

Naturellement le mirage du plein emploi n’existe pas, pourtant seule solution pour que ce système soit parfait et puisse se reproduire à l’infini. Et quelques failles apparaissent, ici et là, venant ainsi mettre en danger cette apparition du dernier homme, celui qui ne réfléchirait plus qu’en des termes utiles et pratiques.

Le chômage, en premier lieu…

Le chômage, en premier lieu, une période pendant laquelle le citoyen peut être amené à se poser des questions (rappelons-nous, c’est surtout ce qu’il ne faut pas qu’il fasse). Parfois, s’il ne retrouve pas d’emploi, il subira une dépression, qui amènera à une remise en question, à des lectures (le citoyen aura alors tout le temps pour le faire), à des choix de vie drastiques liés à une économie en berne… Tout cela est dû, dans ce cas précis, à une modification de la perception du temps par l’individu: n’ayant plus d’obligation au quotidien de travailler entre huit et douze heures par jour, il se réapproprie son espace mental, et possède désormais le temps de réfléchir.

Or, le temps ne doit plus appartenir à l’homme, si on veut pouvoir le contrôler. Et cette société de contrôle sur les individus qui est en train de prendre le pas, ce totalitarisme douceâtre qui permet dorénavant à toute entreprise ou État de connaître le rythme de vie, les habitudes de consommation de chaque citoyen du moment qu’il possède une existence sur internet, par exemple, ou même… un téléphone portable intelligent. Il en résulte, au final, beaucoup de données à exploiter par des services de vente, des entreprises, des industries, qui n’ont qu’un seul but: que le citoyen dépense de l’argent; et à l’État, qui a pour but unique, en soi, que le citoyen obéisse à ses lois et à sa politique.

Et l’exclusion?

L’exclusion, en deuxième lieu. Car cette idéologie s’avère pernicieuse, dangereuse car pas franche ni massive, comme pouvaient l’être le communisme, le nazisme ou tout type de totalitarisme qu’on pouvait facilement et à juste titre qualifier de «grands méchants», de «vilains», ou de danger immédiat pour l’homme. Et cette idéologie-là, plus diffuse, plus masquée, écarte énormément d’individus, les met de côté, soit qu’ils ne sont pas assez productifs ou diplômés (on en revient au chômage) soit parce qu’ils ne rentrent pas dans le moule (la jeunesse, les immigrés, les personnes âgées.)

En effet, la jeunesse est laissée de côté, et complètement esseulée. Alors elle utilise internet pour de bonnes choses, comme créer des sites de partage en ligne, ou de troc. Ou elle tente d’affirmer, dans le meilleur des cas, une autre manière de voir l’existence humaine (les mouvements Podemos, ceux qui prônent un retour à la terre, ceux qui passent par des moyens de production locaux). Les immigrés sont également mis au ban du système: différents des autres, ceux qui étaient là avant sur le même territoire, trop pauvres, pas assez «formatés», on les exclue, et ça ne date pas d’hier. Enfin, la vieillesse est reléguée au rang de l’inutile, et malheureusement pour l’idéologie dominante, on vit de plus en plus vieux. Les maisons de retraite croulent sous les demandes, parce qu’une personne âgée, c’est encombrant, peu autonome, et souvent, ça garde son argent pour soi. Bref ce n’est pas intéressant pour la société au sens économique, on range donc les retraités au grenier en attendant de les enterrer.

Mais ces minorités-là peuvent-elles faire entendre leur voix à l’ère du tout numérique, de la mondialisation ultralibérale, et d’un internet qui noie tout, tant les informations vont trop vite?

Il le faut. Il le faut absolument.

Car si le monde continue sa marche vers l’avant, cet avant-là, constitué des tares évoquées précédemment, alors il aura écrasé les forces d’opposition idéologiques qui barreront sa marche organisée. Et tous les individus, formatés, ressembleront au dernier homme décrit par Nietzsche: dépourvu d’ambitions autres que son simple bien-être et sa petite sécurité, ne pensant guère au monde, et n’attendant même plus que le monde pense à lui.

Christophe Diard

Tags : Aldous Huxleyalternatives économiquesChristophe DiardFrancis FukuyamaFriedrich Nietzschelibéralisme économiquephilosophie politiquePodemossociété de consommationtotalitarismeutopie
Article précédent

L’improbable métamorphose du monde

Article suivant

Coriolan

contributeurs ponctuels

contributeurs ponctuels

Divers auteurs qui ponctuellement vont écrire un article pour Rebelle(s), sans pour autant être des contributeurs réguliers.

Article suivant
Coriolan © Brigitte Gins Cohen

Coriolan

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?