• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 5 février 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Blake Edwards

La fête et le désenchantement

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
1 septembre 2022
dans Cinéma(s), Art(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
The Party – film de Blake Edwards – United Artists, 1968 –

La fête sans fin

Aucun cinéaste ne sait filmer une fête comme Blake Edwards. Personne n’a su traduire comme lui l’esprit de la fête, sa folie douce, ses rythmes contrastés, son tempo. Un tempo en deux temps, comprenant une phase ascensionnelle plus ou moins lente suivie d’une vertigineuse descente teintée de mélancolie, comme dans Breakfast at Tiffany’s (1961), ou ponctuée de catastrophes en chaîne comme dans The Party (1968), avec, entre ces deux moments, un point d’équilibre, le point culminant de la soirée, le moment précis où le délire prend forme.

La fête est omniprésente chez Blake Edwards. Tantôt simple intermède musical, comme dans La Panthère rose (1963), quand les convives font la chenille au rythme endiablé de « Meglio stasera », chantée par Fran Jeffries ; une scène confirmant par ailleurs la merveilleuse efficacité du tandem que formaient Henri Mancini et Blake Edwards ; un trio, si l’on ajoute Peter Sellers. Tantôt illustration satirique d’un milieu social, comme les scènes « d’orgies » alcoolisées de S.O.B. (1981). Tantôt mise en branle d’un véritable film-catastrophe comme dans The Party. On pourrait dire, au fond, que tous les films de Blake Edwards sont une seule et même fête continuée d’un film à l’autre, une fête qui se prolonge indéfiniment pour se teinter à chaque fois d’une nuance différente.

L’engrenage implacable de la fête

C’est que la fête est à l’image du cinéma. Et plus précisément, du cinéma comique. En effet, toute fête s’articule en séquences que dirige un mécanisme inaperçu mais toujours prêt à jaillir en plein jour, comme dans un gag. Parfois, sa durée s’étend sur la totalité du film : cas exemplaire, The Party. Mais même alors, elle se différencie en épisodes qui montrent tout particulièrement son déterminisme imprévisible, sa cruauté, sa rigueur potentiellement cataclysmique : ainsi, la scène où, pris au piège d’une succession d’actions ayant chacune des conséquences imprévues et incontrôlables, le pauvre Hrundi V. Bakshi détruit de fond en comble la luxueuse salle de bains d’une villa, avec la prouesse de provoquer en même temps une gigantesque inondation et un début d’incendie en essayant de débloquer une chasse d’eau. Cette scène contient en condensé le mouvement d’ensemble du film, qui évolue d’un rythme poussif, celui d’une soirée qui ne promet que l’ennui, vers la catastrophe du dénouement final, quand surgit la troupe des danseurs russes, accompagnée d’éléphants de cirque, pour précipiter tout ce petit monde dans la piscine, sous le regard stoïque et imperturbable du propriétaire des lieux.

The Party, un film existentialiste

The Party, chef d’œuvre absolu, dont l’art renoue avec la tradition du burlesque (on pense, bien sûr, à Buster Keaton), est presque un film muet : les dialogues y sont, jusqu’au dernier tiers du film, quasi inexistants. C’est pourtant un film de son temps : on dirait que Blake Edwards parodie Antonioni en faisant de l’incommunicabilité le coeur de sa mise en scène. Hrundi V. Bakshi est un acteur indien qui a été invité par erreur à une soirée très mondaine suite à un « accident » provoqué par sa maladresse sur un plateau de tournage. Le personnage apparaît d’emblée parfaitement déplacé ; il ne trouve littéralement pas sa place (et pour cause, puisqu’il n’en a pas) ; à table, il doit siéger sur une chaise trop petite. Toute l’amorce de The party nous décrit les tentatives infructueuses de l’invité indésirable pour entamer une conversation, par des remarques intempestives qui tombent à plat, des sourires auxquels ne répondent que des sourires gênés, des regards en coin qui manquent invariablement leur cible. Même les animaux n’ont aucune commisération pour lui (le fameux « birdy nam-nam », tragique et désopilant à la fois). Sa solitude existentielle est infinie.

Le ressort de The Party repose tout entier sur l’impossibilité pour ce personnage de trouver sa place dans le milieu de circonstances où il évolue : il est condamné à rester « hors contexte », comme une liberté sartrienne jetée dans un monde hostile. Ce pourrait être un drame métaphysique, c’est la comédie la plus hilarante que je connaisse. Son comique impitoyable tient en particulier à l’absence totale d’humour de ces producteurs et acteurs qui passent leur temps à jouer un rôle. Leurs réactions, ou absence de réactions, aux pitreries involontaires de Hrundi V. Bakshi, sont irrésistibles. Plus ils sont sinistres, plus le film est drôle. The Party, c’est l’envers facétieux de l’existentialisme : à l’instar du garçon de café, évoqué par Sartre dans L’Être et le Néant, qui joue au garçon de café, chaque participant de la fête tient ici son rôle avec obstination, comme à la perfection, comme une caricature de lui-même ; c’est alors celui qui n’en a pas (l’acteur raté, le figurant congédié !) qui, par son incapacité à trouver le sien, révèle, non pas tant l’absurdité de la condition humaine, que le ridicule accompli et la vacuité profonde de l’existence sociale des participants. Jusqu’à la chute finale dans la piscine, libératrice, qui déchaîne enfin le potentiel de délire de cette société pathétique, coincée, obsédée  par le souci permanent de la compétition, du rang et du statut, où des messieurs bedonnants et portant la perruque pour cacher leur calvitie racontent des histoires pas drôles à des femmes qui font semblant de rire.

Producteurs en folie

Image du cinéma, la fête devient alors une image de la vie. Elle se double, chez Blake Edwards, d’une méditation désabusée sur ses déboires et ses échecs, comme dans S.O.B., où le ton se fait beaucoup plus sombre, mêlant le registre de l’humour noir à celui du gag : ainsi, l’homme victime d’un infarctus qui se traîne sur la plage pendant toute la durée du film en cherchant de l’aide et dont personne n’aperçoit la présence, suggère un contrepoint sarcastique à l’histoire principale, puisqu’il est question d’un producteur qui, à l’inverse, cherche désespérément à se donner la mort mais rate toutes ses tentatives de suicide. Si la fête, à la différence de The Party, ne constitue pas l’objet principal de S.O.B., elle y figure tout de même en bonne place, à l’occasion d’une satire de mœurs traduisant avec amertume la contradiction entre la pruderie des films américains de l’époque et le dévergondage des producteurs alors que la vague hippie déferle encore sur les plages californiennes. Au passage, une toute jeune Rosanna Arquette y fait sa première apparition.

La fête et son désenchantement

C’est pourquoi la fête se teinte volontiers de mélancolie chez Blake Edwards. La meilleure illustration en serait Breakfast at Tiffany’s, romance douce-amère dont la toile de fond est le destin contrarié d’une jeune femme idéaliste récemment installée à New York. Même là, cependant, la fête  ne perd jamais sa folie, une folie douce qui la traverse discrètement, avec, toujours, ce contraste entre la montée et la descente, mais un contraste étiré en longueur, ayant la fluidité du plan-séquence, comme le porte-cigare de Holly qui circule en dansant sous les yeux héberlués du chat, comme cette encombrante rousse qui s’amarre à la façon d’une ventouse sur tous les hommes qui passent dans son voisinage, comme cet improbable chapeau à la mousseline foisonnante qui prend feu sur la tête de sa propriétaire puis qu’on éteint en renversant un verre de whisky sans qu’elle se soit aperçue de rien, séquence qui trouve sa réplique dans le moment de The Party où le morceau de poulet va se poser délicatement sur la couronne princière d’une convive, également à son insu. Comme dans The Party, la soirée chez Holly culmine en catastrophe (l’arrivée de la police), mais de façon plus légère : Holly s’absente à temps de son appartement, le mafieux brésilien parvient à s’échapper par la sortie de secours, tout finit bien.

Préparez vos mouchoirs

Pourtant, c’est bien au cours de cette soirée que commence à se nouer la romance malheureuse entre Holly et Paul, quoi que jamais de façon explicite. On retrouve le chat dans le dénouement, pathétique et larmoyant, certes, mais… qu’importe. Quant au Brésil, c’est la destination où Holly disparaît, peut-être définitivement. Aussi bien, Breakfast at Tiffany’s est tout sauf une comédie (en dépit de quelques scènes humoristiques avec le voisin japonais, qui n’ont pas très bien vieilli). C’est un mélo.

D’ailleurs, le ton élégiaque est donné dès la première scène : sur la Cinquième Avenue, au petit matin, Audrey Hepburn descend d’une limousine noire, s’arrête devant la vitrine de Tiffany, y contemple longuement son reflet en rêvant peut-être d’une autre vie. Elle porte des lunettes de soleil. Aux premières notes de « Moon river » (Henri Mancini, déjà !), tout est dit : coeurs sensibles, s’abstenir !

N’est-ce pas que la fête nous parle d’autre chose que la fête ? La fête ne contient-elle pas au fond une arrière-pensée : à savoir, le pressentiment que la jeunesse, avec ses soirées festives, ses rencontres, sa ronde folle de plaisirs et d’aventures, ses tourments, son ivresse et ses brusques accès de fièvre, doit tôt ou tard s’achever ? Qui dit « fête » dit aussi « lendemain de fête » . La fête annonce la gueule de bois et le désenchantement. Toute fête doit par conséquent s’achever sur une « descente » (à défaut d’une descente de flics), sauf à vouloir rester scotché dans son extase pour l’éternité.

Que la fête continue !

Ainsi se loge au coeur de la soirée festive le sentiment amer et désabusé que le restant de nos jours va s’engouffrer dans  son « après », comme si en chaque fête s’épuisaient toutes les fêtes du monde. Et rien n’est plus poignant que d’éprouver cette certitude lorsque la fête bat son plein : car la suite, on la connaît, on la pressent. C’est dans ces moments-là que les rires des convives, le tintement des verres, le bruit continu de la vie, sa musique de fond, tout le fracas familier dont on s’entoure, dont on aime à s’enivrer, annoncent douloureusement la solitude qui vient, ou bien la solitude qui est déjà là, au fond de l’existence humaine. Et le cinéma de Blake Edwards s’apparente à une élégie dont le projet, l’idéal, l’utopie, ou mieux, la prière, serait de prolonger indéfiniment la fête, de faire en sorte qu’elle ne s’arrête jamais. Alors… que la fête continue !

Breakfast at Tiffany’s (la soirée chez Holly)

https://www.youtube.com/watch?v=IxqAfIGpaVc

La panthère rose (« meglio stasera ») :

https://www.youtube.com/watch?v=paWt-vWYbyU

The party (scène du poulet)

https://www.youtube.com/watch?v=H3mDOHGBRs8

Tags : Audrey HepburnBlake EdwardsBreakfast at Tiffany'sClaudine Longetfilm américainfilm de 1968Henri ManciniLa Panthère roseMiguel CoelhoPeter SellersS.O.B.United Artists
Article précédent

L’Œil du Volcan

Article suivant

Faut-il se rebeller contre le culte du corps ?

Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

Article suivant
© Johnny Silvercloud The Perfect Body CC

Faut-il se rebeller contre le culte du corps ?

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie I 16 octobre 2022
  • Altered carbon – Richard K. MORGAN 16 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie II 10 octobre 2022
  • La radicalité est une exigence de liberté 9 octobre 2022
  • Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ? 9 octobre 2022
  • Orthographe, sexe et cinéma 7 octobre 2022
  • Le col de Tichka 7 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I 7 octobre 2022
  • La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ? 7 octobre 2022
  • La guerre à sept ans 2 octobre 2022
  • À Corps Perdu 2 octobre 2022
  • De la nécessité de croire 2 octobre 2022
  • De Goya à Rushdie 1 octobre 2022
  • Écouter, sentir… 1 octobre 2022
  • Rêve d’une poésie indépendante des partis au pouvoir… 25 septembre 2022
  • Coriolan 25 septembre 2022
  • Le dernier homme 25 septembre 2022
  • L’improbable métamorphose du monde 24 septembre 2022
  • Dérive séductrice en Écosse 18 septembre 2022
  • Du coquin et du sauvage ! 18 septembre 2022
  • L’économie : une religion inconsciente? 18 septembre 2022
  • L’ensorcellement du monde 18 septembre 2022
  • On ne peut vivre qu’à Paris 11 septembre 2022
  • 2015, retour vers le futur… 10 septembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Slade 10 septembre 2022
  • Buster Keaton est un génie ! 9 septembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2022

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2022

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?