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Faut-il se rebeller contre le culte du corps ?

Le corps aujourd'hui

Patrick Boccard Par Patrick Boccard
2 septembre 2022
dans Société(s)
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© Johnny Silvercloud – The Perfect Body – CC –

L’histoire du corps est une très longue histoire. Dès l’apparition d’Adam et Ève, le corps s’impose comme le référent de l’existence. De nombreuses étapes vont rythmer l’évolution de cette incroyable machine qui, depuis l’origine du monde, a mobilisé des cortèges d’intelligences pour tenter de comprendre ce qu’elle était vraiment. À force de mythes, de croyances et de rituels, les religions ont tenté, avec un succès certain, de s’approprier le savoir et le pouvoir sur le corps. Certaines en radicalisant la distinction âme-corps. D’autres en mettant le corps à distance par une conception «doloriste» de l’effort et le report du bonheur vers l’au-delà. Mais ce paradigme initial a été régulièrement contesté. Les sciences techniques – biologie, médecine… – ont peu à peu pris la mesure de sa dimension organique. Les sciences psychosociales, ont progressivement montré que ce «contenant» était aussi récepteur et producteur de «contenus» affectifs et émotionnels; elles ont rendu lisibles les mécanismes assurant les liens et interactions existant entre ces fonctions physiologiques et psychologiques, constitutives de la personne et porteuses de son identité. Le corps contemporain jouit d’une place proéminente, conférée par son irruption dans le champ socioculturel et par le statut de «religion» ou de «culte» qu’il a acquis. Une aubaine pour les marchands qui ont trouvé là un nouveau commerce, accréditant bien involontairement l’idée socratique que le corps peut être le «tombeau de l’âme».

De l’éphèbe harmonieux à la bimbo siliconée-connectée

Nos bras, nos mains, bâtis sur le même schéma que celui des mammifères, se sont allongés, pliés, déformés, renforcés, pour exercer des fonctions nouvelles: marcher, nager, voler, chasser… Cette gigantesque évolution s’est accompagnée du double phénomène de sélection naturelle et d’adaptation à l’environnement théorisé par Darwin. Des espèces ont résisté à ces mutations, mais d’autres ont disparu. Les projections des experts incitent à penser que ces évolutions ne sont pas figées. Les médecins confirment que l’espérance de vie, qui a cru de 40 ans en un siècle, va continuer de s’allonger. Les «transhumanistes» affirment que les caractéristiques physiques et mentales de l’être humain vont encore se transformer grâce aux sciences et aux techniques. Les futuristes prédisent que certaines parties du corps humain, comme le coccyx ou les dents de sagesse, vestiges génétiques d’usages et de fonctions passées, vont progressivement disparaître. Tel un vulgaire objet-machine, le corps «augmenté» semble bien être pour demain!

À l’origine, le statut du corps des femmes et de celui des hommes est assez similaire. Pour les pharaons, la beauté du corps est source de vérité et d’équilibre. Pour les Grecs et les Romains, la sculpture de soi prend valeur esthétique et morale – mens sana in corpore sano – et inspire une statuaire qui s’impose comme modèle de la beauté absolue. Au Moyen Âge, la blondeur élancée devient «la» référence. La Renaissance modélise les canons de la beauté dont «l’Homme de Vitruve» et «la Naissance de Vénus» sont les archétypes. Sous Louis XIV, le poudrage et le maquillage supplantent le naturel. Le culte naissant du corps se recentre alors sur celui de la femme. Sous l’Ancien-Régime, les femmes aristocrates affichent leur pâleur comme preuve qu’elles ne travaillent pas aux champs. À la fin du XIXe siècle, en même temps que s’invente la gymnastique, les ancêtres du féminisme combattent les théories eugénistes,et militent pour une pratique sportive ouverte aux femmes. Les «30 Glorieuses» entre-ouvrent la porte à la libération du corps féminin, dans laquelle s’engouffrent les florissantes industries du cinéma, de la mode, progressivement rejointes par celles des cosmétiques, de la diététique, de la chirurgie esthétique, du show-business, du sportswear et de la presse spécialisée. Au fil de cette évolution, la femme «bien en chair» cède le pas à la femme «mince», dont les mannequins adolescents anorexiques deviennent les icônes largement exhibées par les médias.

Aujourd’hui, l’impératif hédoniste règne en maître et oblige à donner et à prendre du plaisir, tout au long de la vie, Viagra et autres «béquilles» aidant si besoin est. Le corps est starisé, tonique, «body-buildé», les hommes grossissent les rangs de ces corps injectés, tatoués2, «piercés», addicts aux compléments alimentaires et aux nutriments, voire de substances à caractère dopant, s’adonnant aux multiples joies de la mise en «formes». «Nous entrons dans une nouvelle étape de la numérisation progressive du monde. Celle de la dissémination tous azimuts de capteurs. À terme, toutes les surfaces sont appelées à être connectées: corps, domiciles, véhicules, environnements urbains et professionnels.»3 La «bimbo» siliconée et connectée a ringardisé l’éphèbe aux proportions harmonieuses.

De l’objet de progrès technique au sujet de société, un lourd prix à payer

Les soins de santé et de beauté existent depuis toujours, mais le corps est maintenant au centre des pratiques et des représentations. L’essayiste Marcela Iacub4 va jusqu’à dire que le corps est devenu un vêtement, que l’on peut indéfiniment modifier, sculpter, renforcer. Cette tyrannie de la forme conduit imperceptiblement à la séparation du corps et de l’âme, réduisant l’identité de la personne qu’ils composent à un être pavlovien cédant à l’injonction d’être jeune, élancé, nerveux, bronzé, musclé, souple… Le «packaging corporel» est le mode d’expression de référence. L’épanouissement se gagne par la performance. «Objet» de progrès technique, le corps est
devenu «sujet» de société.

Cette compétition narcissique produit ses effets. Derrière le souci légitime de bien-être et de bonne santé, «ce culte du dépassement et de la perfection résulte d’une logique de sacrifice, car (ses «disciples») mettent leur santé et leur longévité, voire leur réputation, en question.»5. Les psychiatres observent l’émergence de la «bigorexie», trouble de santé mentale créé par l’obsession du corps parfait, incitant ceux qui en sont atteints à s’entraîner de longues heures, à se sous-alimenter et à ingérer des suppléments alimentaires. Des sociologues ont analysé les violentes discriminations entraînées par cette survalorisation du corps, prescriptive et normative, capital pour les uns, synonyme d’exclusion pour les plus vulnérables aux modifications qu’ils subissent, comme l’embonpoint, la maladie, le vieillissement ou le handicap. «Ce corps que l’on n’aime pas et que l’on veut transformer pour en repousser les limites, démontre d’abord un mépris de la condition humaine et, finalement, une haine de soi».6

Les femmes, et particulièrement les adolescentes, culpabilisent de plus en plus jeunes et souffrent fréquemment d’une mésestime de soi. «Dans les années 70, le corps ne posait aucun problème, hormis dans une dimension de  libération politique du désir. Il n’était pas le lieu de salut qu’il est devenu aujourd’hui (…). À l’époque, le souci était de changer le monde. Aujourd’hui on veut changer son corps.»7

Une culpabilisation rampante

Le corps est devenu une marchandise, cible privilégiée d’une hydre industrielle qui s’insinue partout, de la nourriture aux vacances, de l’habillement à la sexualité, de l’hygiène au crédit, traquant petits et grands. Ces pourvoyeurs de bonheur peuvent envisager un avenir radieux grâce aux perspectives infinies qu’offre la virtualisation d’accessoires à la performance humaine. Un clic suffit pour tester la forme de la «bête»: cardio-fréquencemètres, podomètres, calcul de l’Indice de Masse Corporelle (IMC), de la glycémie… Ces Marchands du Temple ont même réussi à trouver des alliés. Les banques et les assurances utilisent des critères de santé de leurs clients pour évaluer leurs risques, les compagnies aériennes sanctionnent financièrement les personnes en surpoids… On aurait pu espérer davantage de circonspection de la part des «institutions publiques». À coups de campagnes «d’intérêt général» contre l’alcool, le tabac, l’obésité… elles ajoutent aux injonctions installant une culpabilisation rampante qui tend à rendre chacun responsable de ses pathologies.

La critique de ce «biopouvoir»8 à têtes multiples nécessite des ressources qui sont souvent hors de portée de ses «obligés». Lui résister requiert une lucidité et une énergie considérables. Il parvient même à récupérer les dissidents de l’entrée du corps dans la rationalité technique. Ainsi des pratiquants des sports de glisse, désireux de se protéger des normes imposées aux sports traditionnels, qui se sont vus peu à peu infiltrés par les sponsors et autres promoteurs d’évènements, à coups de soutiens sonnants et trébuchants auxquels certains n’ont pu résister.

Comment en est-on arrivé là?

Les responsables de cette survalorisation du corps sont nombreux. Tous ont contribué «à l’éclatement des valeurs et des individus, au travers de comportements non plus fédérés, ni par des valeurs transcendantes, ni même, ou bien peu, par des valeurs collectives».9 La plupart des observateurs reconnaissent que la perte de transcendance, particulièrement vive depuis la moitié du xxe siècle, accélère ce processus d’individualisation: «la vieille expérience de la transcendance semble s’être rabattue sur l’expérience de soi-même, de la sensation». 10 Le «tout, tout de suite» et l’«ici et maintenant» semblent avoir remplacé la projection dans des «au-delà». L’attrait pour la consommation inclut le corps parmi les «biens».11 La perte de valeur de la connaissance a accompagné ce changement de statut du corps. «Le socle anthropologique sur lequel reposait la valorisation de la connaissance paraît s’être dérobé. D’une expérience millénaire, le corps était tenu pour le lieu de la souffrance et du malheur intimes. Or nous voici devenus, par la grâce de la médecine, de l’hygiène et de l’abondance, les premiers dans l’histoire pour lesquels le corps est le siège d’un bienêtre habituel».12 La traduction triviale tient en quelques mots: «que faire de savoirs» qui «prennent la tête» dans un monde où l’aspiration primordiale est à être «bien dans sa peau».13

La vacuité des idéaux laisse place à une rationalité instrumentale, à l’image des réseaux sociaux où l’amitié authentique est écrasée par le nombre «d’amis», de «followers» et de «like». Le cycle «absorption-élimination» ressemble étrangement à ceux, «similaires et inversés, des activités quotidiennes de remplissage des chariots de supermarchés et d’incorporation de nourriture.»14 La perfectibilité devient une obsession, avatar
puritain de la morale bourgeoise qui voit dans l’effort physique un facteur d’ordre et de canalisation des énergies. La souffrance physique joue un rôle clé dans ce processus proche du masochisme décrit par Freud. La «société liquide»15 dessaisit peu à peu la personne de son pouvoir de décision, lui faisant miroiter une parodie de liberté et de responsabilité qui, en fait, altère sa faculté d’analyser et d’agir librement et en conscience. Elle propose en échange des dispositifs d’intelligence «artificielle», capables de décider du «parfait» cours des choses et de pallier l’imperfection de l’humain, en vue d’annihiler la mort. La mort «évitable» est en effet la toile de fond névrotique de ce paradigme où l’apparente libération du corps serait en fait une fuite de la mort et de toutes les limites.

Faut-il se rebeller contre la «siliconisation» de la société?

La lutte contre cette aspiration perverse vers l’exponentiel est un énorme défi. La rénovation des transcendances semble temporairement illusoire. Tout autant que le contrôle des ressorts d’un système dont l’avidité et la toute-puissance prédatrice ont fait leurs preuves, en s’immiscant dans tous les replis de la vie collective et individuelle, de la cave au grenier, en passant par la cuisine et la chambre à coucher…

Puisque la société est incapable de ralentir et de réorienter cette hystérie, il revient alors à chacun de «s’empêcher» à emprunter cette échappatoire et de «cultiver son jardin». «J’ai aussi appris à m’écouter: revenir à son corps
et à sa respiration permet de garder la vraie cadence de la vie (…); le vrai temps, celui qui est ponctué par la respiration ou les battements du cœur, est le seul à procurer un sentiment d’éternité.»16 Il est aussi possible d’inventer un nouvel «art du quotidien»: «Je crois que les résistances à ces impératifs de façonnement du corps sont innombrables. La plus puissante, à mon sens, est celle de la marche. Les marcheurs sont des hommes ou des femmes, heureux de leur existence et de leur corps, ils prennent le temps et ne laissent pas le temps les prendre»17. Le Chemin de Compostelle comme planche de salut ? Les succès des ouvrages qui lui sont consacrés ainsi que celui réservé à l’ouvrage de Sylvain Tesson18, consacré à son itinérance pédestre du Sud au Nord de la France, attestent qu’il y a là une voie, sans doute plus salvatrice que celle de mourir de l’amour de soi au bord du Styx !

1. «Phédon», dialogue où Platon raconte la mort de Socrate et ses dernières paroles
2. Plus de 7 millions de français sont tatoués, enquête Ifop pour le Syndicat national des artistes tatoueurs, Le Parisien, 17.01.17
3. Éric Sadin, écrivain et philosophe, spécialiste des technologies numériques, « La silicolonisation du monde nous mènera du rêve au cauchemar », interview au Figaro, 17.07.17
4. Juriste et chercheuse franco-argentine, spécialiste de l’émancipation des femmes
5. D. Le Breton, anthropologue et sociologue, professeur à l’université Marc-Bloch de Strasbourg, «Dopage : jusqu’où ira le culte du corps ? » interview à Elle, 22.07.08
6. D. Le Breton, ibid
7. D. Le Breton, ibid
8. M. Foucault, « La volonté de savoir. Droit de mort et pouvoir sur la vie », Gallimard
9. I. Queval, « L’industrialisation de l’hédonisme. Nouveaux cultes du corps: de la production de soi à la perfectibilité addictive », Psychotropes, janvier 2012
10. « Le culte du corps dans la société contemporaine », conférence de Georges Vigarello, 5.12.00
11. J. Baudrillard, « La société de consommation», Denoël, 1970
12. M. Gauchet, Directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, «Conditions de l’Éducation», ouvrage collectif, « Les Essais », Stock, 2008
13. H. Juvin, « l’Avènement du corps », Collection Le Débat, Gallimard, 2005
14. J.J. Courtine, « Les stakhanovistes du narcissisme », Communications, 1993
15. Z. Bauman, interview à Libération, 12.01.17
16. P. Rabhi, «Comment échapper à la frénésie de notre société ? », Le Monde 21.01.17
17. D. Le Breton, ibid
18. «Sur les chemins noirs », Collection Blanche, Gallimard, 2016

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Patrick Boccard

Patrick Boccard

Patrick BOCCARD, de nationalité franco-suisse, est né en 1951 à Bourguignons, village situé à la frontière de la Champagne et de la Bourgogne, dans une famille de minotiers. Il est marié à la poéte Martine KONORSKI et père de trois enfants. De formation littéraire, il a effectué son parcours dans la communication et les ressources humaines, dans des institutions et des entreprises françaises et internationales, puis comme consultant indépendant. Il collabore régulièrement à des journaux et revues. Il est l’auteur de « Les femmes ne sont pas faites pour courir » consacré aux discriminations de genres dans le sport (Ed. Belin, 2015).

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