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Les méga dealers de l’industrie pharmaceutique

Michaël Sens Par Michaël Sens
21 juillet 2022
dans Tribune(s) Libre(s)
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Pilules bleues sortant d'un flacon renversé

Il y a une certaine schizophrénie mondiale qui pousse à considérer normal que des molécules similaires soient considérées comme des produits criminels ou non selon l’identité de celui qui les commercialise.

La plupart des médicaments psychotropes produits par l’industrie pharmaceutique sont plus addictifs et plus dangereux que les drogues illégales comme la cocaïne ou l’héroïne. Pourtant, on jettera en prison les dealers des secondes, et on protégera légalement toute la chaine de distribution des premières.

Un modèle marketing de dealer

Et ce n’est pas que les méthodes diffèrent vraiment. Le dealer de rue sait que l’addiction au produit est sa meilleure garantie de profits sur le long terme et qu’il suffit d’augmenter le nombre de clients pour connaître une croissance ininterrompue. Il n’y a bien souvent que la mort qui vous fait perdre un client. Idem pour l’industrie pharmaceutique qui développe ses stratégies marketing de manière à toucher un public de plus en plus large, et de plus en plus jeune. A titre d’exemple, en 2008, après un lobbying de forcené par la firme Eli Lilly, les prescriptions de Prozac pour les enfants à partir de 8 ans ont été autorisées, alors même que l’AFSSAP (ancien nom de l’Agence du Médicament) qui les a autorisées reconnaissait que l’usage du Prozac : « est déconseillé pour cette classe d’âge dans le traitement de la dépression, en raison du risque de comportement suicidaire (idées suicidaires, tentatives de suicide) et de comportement hostile (agressivité, comportement d’opposition, colère) mis en évidence chez des enfants et adolescents traités. » Idem pour la Ritaline, surnommée à juste titre « la cocaïne des enfants »,  dont les prescriptions dans les écoles sont montées en flèche, poussées par les effarantes cohortes de lobbyistes que l’industrie pharmaceutique emploie tant en France qu’auprès des institutions européennes (Les laboratoires dépensent chaque année plus de quarante millions d’euros pour payer des lobbyistes à plein temps rien qu’au sein de la Commission Européenne de Bruxelles).

Des molécules plus dangereuses que les drogues illégales

Ces dangers (comportements suicidaires, comportements agressifs pouvant mener au meurtre), ont été reconnus par la plupart des agences de contrôle du médicament du monde. Et pas que pour le Prozac, mais pour la plupart des drogues censées traiter les symptômes de maladies psychiatriques : Paxil, Deroxat, Cymbalta, Zoloft, et des dizaines d’autres. Les essais cliniques sont trafiqués par des méthodes éprouvées, par exemple en excluant les patients présentant des symptômes trop graves en cours d’étude, afin qu’ils n’apparaissent pas dans les résultats finaux présentés aux autorités (ou alors on fait disparaitre ceux qui se sont suicidés suite au traitement, en les classant dans la catégorie des « divers effets secondaires »). Et ensuite, on s’allie avec les « autorités » du monde psychiatrique, le plus souvent des psychiatres dont les liens avec Big Pharma sont si serrés qu’on se demande comment ils respirent encore, pour élargir le champ des prescriptions en inventant de nouvelles « maladies mentales » chaque année, dans une constante médicalisation de nos émotions, comme l’explique très bien le Professeur Christopher Lane dans son ouvrage « Comment la psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont médicalisé nos émotions »[1].

Les dégâts créés par ces drogues légales sont peut-être pires que ceux créés par nos drogues illégales. Une recherche simple révèlera que dans la plupart des faits divers où l’on voit un tueur de masse à l’action, ou un père de famille qui massacre femmes et enfants sans raisons, ces drogues pourtant parfaitement légales sont à l’œuvre. Quelques exemples récents célèbres, au milieu de tous les drames moins célèbres à base de psychotropes qui peuplent notre quotidien : le jeune Adam Lanza, auteur d’une fusillade dans l’école de Sandy Hook en 2012 qui coûta la vie à plus d’une vingtaine d’enfants, et qui était sous Fanapt, un « médicament » antipsychotique aux effets secondaires dévastateurs. Ou encore Andreas Lubitz, le pilote de la Germanwings qui sous la double influence du neuroleptique Zyprexa (Eli Lilly) et de l’antidépresseur Valdoxan (Servier), a crashé volontairement son avion le 24 mars 2015 dans les Alpes françaises avec à son bord 150 victimes.

Des méga dealers aux réseaux ultra infiltrés

Les rapports officiels sur l’emprise des méga dealers de l’industrie pharmaceutique ne manquent pas, même dans notre pays. En 2007 déjà, l’Inspection Générale des Affaires Sociales rendait un rapport au Ministre de la Santé dans lequel il était écrit : « Ces tentatives réitérées d’accéder directement au public et au patient sont problématiques quand on considère l’emprise de l’industrie pharmaceutique sur quasiment l’ensemble des secteurs du système de santé. Cette emprise, en France comme dans d’autres pays paraît d’autant plus excessive qu’elle n’est pas manifeste… L’industrie pharmaceutique intervient également dans le financement d’associations de malades, au point, parfois, de les créer de toutes pièces. Certaines associations soutenues se voient positionnées comme interlocutrices privilégiées par les institutions internationales, notamment par la Commission européenne ; Les entreprises ne sont pas absentes de la formation initiale des médecins ; elles contribuent très largement au financement de leur formation continue ; Elles s’immiscent dans celui de l’évaluation des pratiques professionnelles ; elles assurent de façon sinon quasi-monopolistique du moins très excessive l’information des professionnels de santé ; elles participent à l’information des patients, en étant parfois à l’origine de campagnes de sensibilisation précoces au caractère parfois trompeur ; elles contribuent au financement de campagne d’éducation pour la santé ; elles participent, largement, à la définition de nouveaux périmètres de définition de maladies, de critères permettant d’évaluer les thérapeutiques nouvelles ; elles interviennent pour abaisser les seuils de facteurs de risque ; contribuant ainsi, pour certains, à une « médicalisation » excessive de la société ; dans certains cas même, elles induisent la création de nouvelles pathologies. Au point que ces interventions ont été à l’origine d’une expression nouvelle pour les caractériser aux Etats-Unis : le façonnage de nouvelles maladies (disease mongering). »

Les méga dealers en prison ?

Peut-être est-il temps d’imaginer que peu importe si le dealer est agréé ou pas, il reste un dealer. C’est sur le produit que doit porter la criminalisation, par sur l’identité de celui qui vous le refourgue. Personnellement, entre le dealer d’en bas de la rue qui tente de refourguer son shit aux jeunes de la cité, et le dealer en col blanc qui amasse des millions pour empoisonner et rendre dépendantes des millions de personnes avec la caution de la légalité, c’est le second que je préfèrerais jeter en prison sans ménagement.

[1] COMMENT LA PSYCHIATRIE ET L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ONT MÉDICALISÉ NOS ÉMOTIONS (SHYNESS. HOW NORMAL BEHAVIOR BECAME A SICKNESS) de Christopher Lane. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par François Boisivon. Flammarion, 384 p.

Tags : droguesindustrie pharmaceutiqueProzacpsychotropesZoloft
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Michaël Sens

Michaël Sens est le pseudonyme d'un auteur à la célébrité modérée, chroniqueur dans plusieurs magazines, adepte pour Rebelle(s) de l'écriture pamphlétaire modérée, un style créé ad hoc, grand pourfendeur de pas grand chose, grand promoteur de la raison quand elle n'est pas d'Etat, et amoureux des libertés publiques.

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