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Cannabis et point de vue de toxicothérapeute

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
20 juillet 2022
dans Société(s)
1
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Joint de cannabisJ’ai donc travaillé plus de vingt ans, en tant que psychanalyste d’inspiration jungienne, dans le domaine de la prévention des addictions d’une part et du soin des toxicomanes d’autre part… Je n’ai jamais cru à une prise en charge purement médicale des addictions.

J’ai connu les temps dramatiques des grands désordres thérapeutiques de l’apparition du sida chez les toxicomanes qui fit le quotidien Libération m’appeler « Docteur » alors que je n’étais qu’un analyste admirateur des mouvements historiques d’antipsychiatrie américaine. J’ai toujours défendu l’évidence que la méthadone n’était pas un traitement miracle de l’héroïnomanie mais un placebo social. J’ai inventé et mis au point et en place des dispositifs de prévention des addictions en entreprise au Centre d’étude Atomique de Saclay, à la SNCF, dans les gares, et chez Peugeot notamment. J’ai passablement bousculé la conventionnelle MILDT1 par mes initiatives citoyennes. J’ai exercé ce métier avec passion et j’ai eu la chance de pouvoir côtoyer des confrères exceptionnels, médecins ou non, surtout dans le cadre du mythique Centre Didro.

Mon heure est venue sans doute de m’exprimer sans entrave. D’esquisser un bilan. Comment n’aurais-je pas beaucoup d’émotion en évoquant le souvenir du Docteur Claude Olievenstein, qui était médecin-chef de l’hôpital Marmottan, à Paris, ou celui de Gaston Lefebvre, fondateur, avec Danny-Marc, de l’Association

« Drogue et Jeunesse », missionnaire atypique2 qui devint mon « patron » (profane et spirituel !) en créant le Centre DIDRO, ou même celui de l’aventurier Lucien Engelmayer, dit le « Patriarche », animateur « écologiste » avant la lettre qui monta un réseau de centres de post-cure « baba-cool » autant critiqué que loué par les instances officielles de l’État, jalouses souvent de son efficacité pour enseigner l’abstinence des drogues, cannabis y compris.

À vrai dire, beaucoup de ronds de cuir de la toxicomanie d’autrui me pensent mort même si j’ai écrit plus de 3 000 pages3 sur le pourquoi et le comment des addictions. Je me suis exprimé en effet en toute franchise sur les pièges du cannabis, les périls de l’héroïne, des opiacés, de la cocaïne, des hallucinogènes, des amphétamines et des acides, comme nous disions alors. J’ai souligné dans la Presse les effets noirs des drogues sur l’organisme et ses conséquences psychiques. J’ai informé les béotiens sur la constitution des produits utilisés, le syndrome d’abstinence et les crises de manque, les ambivalentes législations nationales et internationales… J’ai préconisé des conduites à tenir pour les parents. J’ai pris des risques insensés pour intervenir en tant que préventeur dans les médias (télévision, radio, Presse). Il m’est même arrivé de dialoguer en tant que thérapeute dans un livre pour le grand public avec un flic de la Brigade des stupéfiants en exercice !4

Qu’ils soient socialistes ou gaullistes ou dans l’hypocrisie de l’entre-deux, les gouvernements en place ne me pardonnèrent jamais de n’être point un médecin prescripteur de pilules inutiles, publiciste de pharmacologie douteuse. Et puis ils se méfièrent tous de la poésie mise en action.

De plus – un comble ! – j’avais la passion d’écrire et l’élan vital du mystique de surcroît. Autre tabou brisé : j’étais même l’époux insolite de Danny-Marc, mon égérie affichée, si longtemps Directrice du Centre Didro.

C’est vrai (à 70 ans, il est peut-être grand temps d’être lucide) je ne pouvais rassurer personne. Et surtout pas les ministres de la Santé et les « Monsieur ou Madame Drogue » désigné(e)s trop souvent pour paraître, dans notre pays, plutôt que pour réagir. Autre menace pour nos politiques de pleutres : j’avais aussi en poche ma carte de journaliste et j’étais secrétaire du Conseil d’Administration de Toxibase, Réseau national d’information et de documentation qui avait comme partenaires l’OFDT, l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies, l’ELISAD (Association Européenne des Centres d’Information et de Documentation sur les Drogues et l’Alcool) et l’OEDT, l’Observatoire Européen des Drogues et des Toxicomanies !

Un triste bilan français

À l’aube du vingt-et-unième siècle, le 15 mars 2000 pour être précis, dans LE FIGARO, je co-signais comme Directeur du Centre Didro, avec un conseiller régional d’Ile-de-France, Florent Longuépée, un article Assez de dogme, l’heure est au pragmatisme dans lequel j’avais l’audace de mettre en garde : « La seule parole ne suffit pas. Les colloques style grand-messe pour nous convaincre que tout va mieux dans le meilleur des mondes polytoxicomaniaques possibles, ne sont que des manigances de magistrats doués pour l’éloquence, visant à flatter dans le sens du poil un grand public souvent peu informé. (…/…). « Encourager les énergies est indispensable mais ne signifie jamais vouloir obtenir de tous les intervenants en toxicomanie de ce pays une pensée unique, un programme commun, des outils de prévention labellisés par la MILDT, Didro, la Brigade des stupéfiants, le Conseil Régional, le parti Machin ou le parti Truc ! ». J’ajoutais même, en fin de tribune : « Agir en profondeur et sur une durée est une politique. Briller de mille éclats l’espace d’une législature n’a jamais remplacé une véritable stratégie d’utilité et d’efficacité publique ».

En 2017, je pense encore cela même si l’outrecuidance de la liberté de parole du Centre Didro lui a valu une enquête de la DASS ordonnée par Nicole Maestracci, enquête qui conclut à la parfaite honnêteté économique de l’association et de ses dirigeants, certes, mais qui fut menée avec un esprit partisan et notamment par un inspecteur totalement sourd qui déformait systématiquement nos réponses les plus pointues, espérons-le sans trop le vouloir !

Que faut-il faire du cannabis ?

Aujourd’hui, la question est de savoir s’il faut dépénaliser ou légaliser l’usage du cannabis et de l’herbe par les jeunes générations pour mieux combattre le gros trafic, comme de bien entendu.

Depuis l’année 1983, je me suis efforcé d’aider de jeunes consommateurs de cannabis à devenir abstinents et, on s’en doute aisément, j’ai assisté parfois à des drames aussi évitables que stupides. Sans entrer dans des définitions d’oxymores aussi oiseuses que nuisibles pour l’efficacité des soins, je n’ai pas besoin de faire preuve d’un grand talent de communicateur pour convaincre de l’absurdité indéniable de ces scènes vécues comme « intervenant en toxicomanie », accompagnant de souvent jeunes prévenus se rendant au Tribunal afin d’être jugés et condamnés pour usage ou abus de cannabis, d’abord à des peines de prison avec sursis et sous contrôle judiciaire, puis, parfois, à de la prison ferme.

Du Palais de justice, je garde des souvenirs tragiques. Même si faire pleurer Margot m’a toujours semblé vain, j’ai la conviction que la Loi, en France, concernant l’usage du cannabis, est à réformer sans tarder dans le sens d’une dépénalisation de l’usage et d’un renforcement des moyens de lutte contre les trafiquants.

Fabriquer des délinquants sous prétexte d’usage de joints est une absurdité totale.

Sur ce point précis, le temps a fait son œuvre. Ce que nous défendions le siècle dernier (à savoir une rigueur éducative judéo-chrétienne) est devenu absurde, idiot et coercitif à l’excès.

Je continue à penser toutefois que tant que les adultes n’auront pas su donner envie aux jeunes générations de donner un sens à leur individuation, notre pays restera enfumé de paralysies artificielles et d’impuissance éducative. On le sait maintenant parfaitement et les pionniers des soins (Claude Olivenstein, Francis Curtet, Marc Valleur) nous l’ont appris en toute clarté pédagogique : c’est toujours sur un terrain psychologique social et familial « tristement favorable » qu’une addiction sévère s’installe. Isolement et échecs scolaires, fugues et dépressions, névroses d’angoisse traduisent toujours un malaise général (de civilisation ?) comme antichambre des toxicomanies déferlantes.

Quand on demandait autrefois au professeur Olivenstein ce qu’il pensait de l’attitude à adopter au plan national concernant le joint, il n’omettait jamais de rappeler que « chaque société avait besoin d’un mythe » et que les grandes figures d’après 68 croyaient naïvement que le H facilitait la créativité et la sensibilité sous toutes ses formes. Mais il ajoutait aussitôt qu’il fallait de toute façon, ne pas emprisonner. Il prônait un refus de passage d’un laxisme galopant à une grande répression. Et il situait l’opposition parents-enfants « en amont » de toute toxicomanie des enfants. Au fond, Claude Olivenstein comme Gaston Lefebvre avaient deviné le futur et notre catastrophique état des lieux en 2017.

Au siècle dernier, je me souviens des très longs dialogues que nous avions ensemble. Je leur serai jusqu’au bout reconnaissant d’avoir toujours su se rapprocher de moi avec audace quand j’avançais à l’époque l’idée antipsychiatrique vitriolée que le plus malade et le plus coupable des deux accusés à l’incitation aux drogues, la société et l’individu dépendant, était la société !

Quant à moi, je ne me lasserai pas d’affirmer que toute dépendance aux produits toxiques, cannabis y compris, signe l’arrêt de mort de toute liberté intérieure de la personne humaine.

Le « pétard » ne tue pas, il fait d’abord plaisir, puis il abrutit. Mais, de toute façon, emprisonner une personne qui ne peut se passer de ses joints quotidiens la rend encore plus chloroformée. Prétendre le contraire est mensonge et désertion. Et les gros trafiquants s’amusent bien des imbécilités majeures de l’État.

  1. Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la toxicomanie, devenue, le 13 mars 2014, la Mildeca (Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives)…
  2. Gaston Lefebvre, Itinéraire d’un missionnaire atypique (Presses de la Renaissance, 2003)
  3. Jean-Luc Maxence, L’anti-psychiatre et le toxicomane, Le Centre Didro : seize ans de cheminement thérapeutique, Collection « Éducation et Société » (Éditions Fleurus, 1989), épuisé

Jean-Luc Maxence, La métaprévention au temps du Sida (Le Nouvel Athanor, 1991), épuisé

Jean-Luc Maxence, La défonce médicamenteuse (Éditions du Rocher, 1996), épuisé

  1. Patrick Mauduit/Jean-Luc Maxence, Le Flic et le Thérapeute (Éditions Médicis-Entrelacs, 2004)

Tags : CannabisClaude Olivesteindepenalisationdrogue
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Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

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Commentaires 1

  1. MPZ says:
    Il y a 8 mois

    Grâce à Dieu il est possible de retrouver une vie propre et une liberté intérieure.
    Je n’ai absolument rien de plus à ajouter.

    Répondre

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