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Brian Jones, le peintre des couleurs sonores, le troubadour des Rolling Stones.

William H. Miller Par William H. Miller
21 juillet 2022
dans Rock and Folk et Musique(s)
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Brian JonesLors de leur introduction au Rock ‘n’ Roll Hall Of Fame en 1989, les membres passés et présents des Rolling Stones étaient là. Pendant son discours, Mick Jagger déplorera que deux membres passés et défunts ne puissent être présents à la cérémonie : leur pianiste Ian Stewart qui les a toujours maintenus dans l’esprit du Blues et Brian Jones qui les en a fait s’évader pour explorer de nouvelles voies. Et c’est bien là l’apport gigantesque de ce guitariste. Sans lui, les Stones seraient restés au début des années 60 un groupe s’inspirant du Blues, un groupe comme il y en a tant eu en Angleterre…

Et pourtant, Lewis Brian Hopkins Jones était dès le début ce qu’on pourrait appeler un puriste du Blues. Il avait tout étudié sur le sujet, connaissait tous les artistes du genre. Il était même, au début des années 60, le seul guitariste anglais capable de jouer avec authenticité de la slide guitar (style de jeu de guitare où on produit les notes en faisait glisser un goulot de bouteille sur les cordes), car il avait longuement étudié le grand spécialiste du genre, le bluesman américain Elmore James. A tel point que dans les clubs on l’appelait Elmo’ Lewis.

Malgré tout, ils vont créer avec l’autre guitariste Keith Richards un système à deux guitares carrément inédit à l’époque. Plutôt que de reproduire la répartition amidonnée des rôles propre aux 50’s (guitare solo et guitare rythmique), ils vont élaborer un arrangement où les deux guitares se suivent, se précèdent à tour de rôle et se répondent. Un enrichissement sonore qui sera leur marque de fabrique.

La prestation scénique en vogue à l’époque était : le chanteur bien devant sur la scène et tous les musiciens agglutinés au fond. Keith et Brian vont au contraire être au même niveau que Mick Jagger, tout aussi extravertis que lui et apparaîtront finalement un peu comme ses “hommes de main”, ses “tueurs”. Une innovation !

 

Mais c’est dans l’album Aftermath en 1966 que Brian Jones va vraiment apporter cette touche si particulière qui ne vient que de lui. Avant cet album, il avait été, comme tous les membres du groupe, un grand contributeur en tant que guitariste, harmoniciste et choriste. Sur Aftermath, il va commencer à exploiter son talent exceptionnel pour apprendre rapidement tout nouvel instrument et on peut dire qu’il a exploré toutes les voies possibles, y compris les plus intrigantes pour l’époque.

Le dulcimer sur Lady Jane :

 

Les marimbas sur Under My Thumb :

 

Le vibraphone sur Out Of Time :

Et ça va continuer ainsi sur les albums suivants jusqu’à Let It Bleed où sa contribution est devenue quasi inexistante, même à la guitare. On sait qu’il y était parfois présent aux séances mais les traces sur bande de son passage sont rares et de peu d’importance. Mais entre Aftermath et Let It Bleed, il a changé en profondeur le son des Stones et ouvert la voie de tous les possibles.

Le sitar sur Paint It Black :

Le vibraphone et le marimba sur Yesterday’s Papers :

Le saxophone, le trombone et la clarinette sur Something Happened To Me Yesterday :

La flute à bec et le piano sur Ruby Tuesday :

La trompette et le mellotron sur She’s A Rainbow :

La guitare acoustique et l’harmonica sur Parachute Woman :

Le 9 juin 1969, Brian Jones annonce qu’il quitte les Rolling Stones. En fait, c’est le groupe qui lui avait demandé de partir. Le 3 juillet 1969, il est retrouvé mort noyé dans sa piscine, probablement suite à un évanouissement provoqué par un abus de somnifères et d’alcool.

Que s’est il donc passé ? Comment ce génial musicien est-il devenu une épave pour lui-même ainsi qu’un boulet pour les autres ? Plusieurs faits, sans liens apparents, nous éclairent sur la descente aux enfers de Brian Jones :

Il était au départ le leader du groupe, il l’avait créé et lui avait trouvé son nom. Assez rapidement, Jagger et Richards sont devenus les auteurs compositeurs, ce que le guitariste n’a pu que considérer comme une énorme perte d’influence et une baisse de statut. Nous n’avons aucun élément qui nous permette de penser qu’il a essayé de composer pour le groupe et encore moins qu’il ait soumis une chanson aux autres membres. Il est vrai que son talent était peut-être ailleurs, comme le dit le titre de cet article : Brian Jones, le peintre des couleurs sonores, le troubadour des Rolling Stones.

Certaines attitudes du guitariste le rendaient dangereusement imprévisible : absences aux séances d’enregistrement, apathie complète parfois quand il était là. Jusqu’à cette anecdote qui montre jusqu’où ça pouvait aller : alors qu’ils étaient dans un bouchon sur une autoroute, en pleine tournée américaine, Brian Jones, sans crier gare, est sorti de la voiture et a disparu plusieurs jours, obligeant Keith Richards à assurer seul sur scène pendant cette période des morceaux conçus pour deux guitares.

Brian Jones était certainement au début le plus “débridé” des membres du groupe. Il avait déjà eu plusieurs enfants, l’un reconnu, les autres non. Sa consommation de drogues et d’alcool n’a fait que s’amplifier au fil des années, ce qui n’a pas dû beaucoup l’aider à reconstruire un équilibre personnel déjà fragile, mais c’est un doux euphémisme.

L’une des rares femmes qu’il ait aimé et respecté, Anita Pallenberg, l’a quitté pour Keith Richards. A partir de là, une ambiance à couper au couteau a régné entre les deux anciens complices.

Ses arrestations et condamnations pour usage de stupéfiants ont eu sur lui un effet beaucoup plus dévastateur que sur Jagger et Richards qui pourtant risquaient, eux, la prison ferme.

Les biographies des Stones alignent à n’en plus finir les faits qui montrent que Brian Jones était devenu au fil des années incapable d’assumer et la célébrité et la rébellion qui était sa marque.

La vérité est que si à un artiste débutant on explique abondamment ce qu’il faut faire pour devenir célèbre, on lui dit rarement ce qu’il faudra faire pour le rester, et qui plus dans un bon état mental. En fait, tout le monde l’ignore et chaque artiste qui s’élève dans les hautes sphères doit le découvrir par lui-même et pour lui-même spécifiquement.

Les Stones ont été beaucoup critiqués pour avoir viré Brian Jones mais ces critiques omettent le fait qu’à l’époque la vie sur la route pour un groupe de Rock ‘n’ Roll ressemblait fort à un raid commando. Chacun devait garder la tête sur les épaules pour contribuer efficacement à chaque concert. Chacun avait trop à faire à maintenir son propre équilibre pour pouvoir, dans le même temps, prendre en charge à 100 % l’équilibre de quelqu’un d’autre. C’est là où on rejoint un peu la “philosophie” des commandos : celui qui ne fait pas son travail est non seulement un boulet mais il met en plus en danger le travail des autres.

Les Stones se préparaient à une tournée américaine marathon fin 1969, cette tournée où on les sacrera “plus grand groupe de Rock ‘n’ Roll du monde”, pour le meilleur et pour le pire. Il n’y avait aucune place possible dans ce marathon pour ce merveilleux troubadour, génial mais instable, qu’était Brian Jones. La vérité est cruelle mais limpide : « the show must go on ».

Pour terminer sur une note positive, il est bon de se remémorer l’une des plus belles contributions de Brian Jones à la musique des Stones. Pendant les séances de l’album Beggar’s Banquet, Jean-Luc Godard est venu filmer le groupe. On y voit souvent Brian avec une mine de déterré, complètement absent et jouant à peine. Parfois, il n’est même pas là. Puis, à un moment, Jagger et Richards présentent au groupe la chanson No Expectations, une très belle ballade. Soudain, Brian Jones sort de sa torpeur et rajoute sur le morceau une partie de slide guitar magnifique, sans laquelle on a du mal à concevoir l’existence même de la chanson désormais. Le dernier état de grâce du troubadour magnifique…

 

La traduction des paroles dont le texte semble prophétique désormais :

https://www.lacoccinelle.net/246421.html

William H. Miller

Tags : Brian Jonesmusiquerockrolling stones
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William H. Miller

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Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

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