• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 5 février 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Ozu ou le goût amer des choses

Série : "Les maîtres Jedi du cinoche"

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
6 février 2022
dans Art(s), Cinéma(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Yasujiro Ozu – 1903-1963 –

Un coin de table

D’où vient que le réel a tant d’épaisseur dans le cinéma d’Ozu ? D’où vient que les choses s’y revêtent d’une étoffe matérielle presque tangible ? D’où vient qu’on y respire le parfum des arbres, de la rue en été, qu’on y éprouve la chaleur et la consistance imperceptible d’une saison ? Qu’une enseigne de bar ou l’éclat d’un néon suffise à dire l’arrière-fond sonore de la ville anonyme aux heures de sortie de bureau, le sentiment poignant du soir ou d’une vie qui décline ? Qu’un coin de table dans la cuisine s’imprègne d’une mélancolie tenace ? Cela tient-il au paysage que cerne une prise de vue parfaite ? Serait-ce l’effet de l’éclairage, du jeu exact de l’ombre et de la lumière sur les objets d’intérieur, découpés avec une netteté que même le noir et blanc ne parvient pas à brouiller ? Ou serait-ce, enfin, la durée qui passe sur tout ça, qui effleure les surfaces et qu’on laisse flotter librement dans le cadre immobile des choses ?

Chez Ozu, la vie ne dure qu’une saison : le printemps, l’été, parfois l’automne, tantôt précoce, tantôt tardif. Dans le Japon d’après-guerre, où l’art du temps a su faire disparaître comme par magie le traumatisme de deux déflagrations atomiques ainsi que le goût amer de la défaite, le bonheur et la paix sociale sont la douce consolation des vaincus. Hommes et femmes sont enfermés pendant une bonne partie de leur journée dans des bureaux pour s’affairer à des tâches routinières dont on ne connaîtra jamais la teneur ; l’autre partie de la journée s’écoule dans des domiciles confortables de classes moyennes, où se joue l’enfer de la vie domestique. Ce qui reste est consacré aux loisirs : une représentation de théâtre kabuki, ou, plus exaltant, un match de base-ball, une course cycliste, une partie de pachinko, un verre de saké entre hommes au bistrot du coin ; une visite aux parents ; une courte (trop courte) escapade dans une station balnéaire… Les journées se ressemblent. On ne lit pas beaucoup : sinon le journal, peut-être.

On ne se donne pas de gifle

Une fois dans le foyer conjugal, Ozu filme avec une distance cruelle ses personnages désemparés : on s’aperçoit que c’est invivable. Une guerre larvée, impitoyable, oppose l’homme et la femme, couple marié de force et sans amour, l’un et l’autre sans liberté, à merci du regard des amis, des voisins, des domestiques, des parents jamais très loin… La même guerre oppose les générations : parents et enfants, cette fois. Entre les membres de la famille, d’invisibles cloisons se dressent, ruinent (ruminent) toute communication, dissolvent toute entente possible. Guerre feutrée, guerre de position interminable, faite de combats qui se livrent à demi-mots : chaque sourire cache une violence contenue ; on ne se donne pas de gifle (même si la tentation est grande), mais par moments, une inflexion de voix trahit l’émotion qu’on étouffe depuis des années, une vérité s’énonce sur un ton très doux, à peine différent du ton habituel. Les dialogues sont des champs de bataille truffés de bombes à fragmentation.

Mêmes rôles, même narration ?

Après 1945, tous les films d’Ozu se ressemblent : en zappant d’un film à l’autre, on se prend à douter d’avoir vu ailleurs, ou non, une scène entre le père et la fille, entre le père et le promis de la fille, entre le mari et la femme, un repas arrosé au saké, ponctué de chants traditionnels, un plan sur une cuisine, un séjour, un couloir de bureau, une fenêtre ouverte sur l’été, des arbres, une structure métallique, une enseigne de café, une dune au bord de la mer, le vent. C’est comme si Ozu avait fait dix fois le même film, avec les mêmes acteurs (Chishu Ryu, toujours dans le même rôle, Setsuko Hara, Shin Saburi, Nobuo Nakamura…), et toujours la même histoire de fille à marier, souci permanent qui tourne à l’obsession pour les parents : marier la fille, c’est d’ailleurs la seule finalité de leur existence, dirait-on.

Et les mariages, lorsqu’ils ont lieu (fatalement) sont filmés comme des enterrements : c’est ce qu’ils sont, réellement, car une fois dans son cocon familial, l’épouse n’en sortira pas, sa vie est finie ; elle n’a plus pour fonction que de mettre au monde les enfants, d’assurer la reproduction de l’espèce. Puis de marier sa propre fille, à présent. Le mari n’est guère mieux loti : son cocon à lui, c’est le bureau ; une mort lente l’y attend également.

Le jeu des sept différences

Pourtant, il y a du bougé dans le cadre en apparence immobile. Et tout l’art d’Ozu est dans ce bougé, ce léger frisson irisant la surface de l’eau qui foisonne de poissons insaisissables au premier regard. C’est peut-être d’ailleurs le secret de ces énigmatiques plans fixes (faussement fixes) sur les espaces vides : une science du déplacement minime, par petits réajustements. Ainsi, le plan qu’on retrouve à intervalles réguliers dans « Le goût du riz au thé vert », sur le couloir de l’office où travaille le mari, devant le bureau du supérieur ; on y remarque au début du film un certain désordre : deux bouteilles vides au sol, un escabeau, un ventilateur, une théière, et  quelque chose qui ressemble à un lampion ; lorsqu’on retrouve ce plan presque une heure plus tard, il ne reste plus que trois seaux espacés de plusieurs mètres, alignés impeccablement : le ménage est fait (ou en train de se faire) ; l’espace laissé vacant respire plus librement, selon l’esthétique du « Ma ». Les films d’Ozu sont autant de variations sur un même thème qui ressemblent au jeu des sept différences : d’insensibles transformations opèrent en sous-main. En effet, dans ces histoires de fille à marier, le personnage principal n’est pas toujours le même : tantôt l’accent est mis sur la fille en question (dans sa relation au père, comme dans « Printemps tardif »), tantôt il est mis sur le couple de l’oncle et de la tante qui veillent sur elle (comme dans « Le goût du riz au thé vert »), tantôt sur le père de la fille (comme dans « Le goût du saké », dernier film de la carrière d’Ozu, récit poignant de la vieillesse inéluctable, de la solitude qui attend les parents une fois que les enfants sont partis ; vieillesse étrangement festive, ayant les allures d’une fin de repas et le goût amer du saké), tantôt ce sont deux femmes qu’il faut marier, la mère et la fille (comme dans « Automne tardif »).

Le charme discret des classes moyennes

C’est alors que les choses révèlent leur signification précise. Comme le réfrigérateur (au premier plan, mais très discret) dont la surface chromée reflète le couple au cours d’une scène de réconciliation entre le mari et la femme dans « Le goût du riz au thé vert ». C’est qu’il y a eu auparavant un léger déplacement qui a permis les retrouvailles. Il a suffi d’un mot du mari (« j’aspire seulement à une vie confortable, quelque chose d’intime et de primitif »), puis d’une escapade en train de l’épouse vers une ville lointaine (là aussi, le plan bouge un peu : comme s’il subissait le roulis du train ; la voix du haut-parleur égrène les horaires, et l’on saisit d’un coup la réalité des distances : Hamamatsu, 12H20, Nagoya, 14H04, Kyoto, 16H22, Osaka, 17H). Ce n’est que par ce détour salutaire, par cette palinodie imprévue, que la scène de réconciliation peut avoir lieu, avec un réalisme saisissant, dans une cuisine qui semble n’avoir jamais été aussi matériellement incarnée qu’en cet instant précis.

Certes, la « morale » (j’allais écrire : « la chorale ») de l’histoire peut paraître bien passéiste. Elle mène à l’acceptation d’un ordre social plus puissant que les individus. La femme conserve sa place : le foyer. Le mari conserve aussi la sienne, même s’il a eu l’occasion d’un bref séjour en Uruguay. Mais le détour a fait bouger les lignes en modifiant la texture du réel. Le retour de l’épouse n’est pas un plaidoyer pour la restauration du couple : l’une des premières conséquences de son départ est d’ailleurs de libérer la nièce de ses engagements et de lui laisser le choix d’épouser l’homme qu’elle jugera le plus fiable. De sorte qu’un équilibre nouveau, mais tout aussi précaire, s’ébauche à partir de là, entre l’obsession de la sécurité et un sourd désir de liberté, un peu à l’image du Japon tiraillé entre le poids des traditions dont il tarde à se défaire et l’appel irrépressible de la modernité.

https://www.youtube.com/watch?v=kLJqFxPH7Rg

Tags : cinéaste japonaisMiguel CoelhoYasujiro Ozu
Article précédent

Deux rebelles identificatoires

Article suivant

Dernières fleurs avant la fin du monde

Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

Article suivant
Dernières fleurs avant la fin du monde

Dernières fleurs avant la fin du monde

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie I 16 octobre 2022
  • Altered carbon – Richard K. MORGAN 16 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie II 10 octobre 2022
  • La radicalité est une exigence de liberté 9 octobre 2022
  • Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ? 9 octobre 2022
  • Orthographe, sexe et cinéma 7 octobre 2022
  • Le col de Tichka 7 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I 7 octobre 2022
  • La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ? 7 octobre 2022
  • La guerre à sept ans 2 octobre 2022
  • À Corps Perdu 2 octobre 2022
  • De la nécessité de croire 2 octobre 2022
  • De Goya à Rushdie 1 octobre 2022
  • Écouter, sentir… 1 octobre 2022
  • Rêve d’une poésie indépendante des partis au pouvoir… 25 septembre 2022
  • Coriolan 25 septembre 2022
  • Le dernier homme 25 septembre 2022
  • L’improbable métamorphose du monde 24 septembre 2022
  • Dérive séductrice en Écosse 18 septembre 2022
  • Du coquin et du sauvage ! 18 septembre 2022
  • L’économie : une religion inconsciente? 18 septembre 2022
  • L’ensorcellement du monde 18 septembre 2022
  • On ne peut vivre qu’à Paris 11 septembre 2022
  • 2015, retour vers le futur… 10 septembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Slade 10 septembre 2022
  • Buster Keaton est un génie ! 9 septembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2022

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2022

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?