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Plutôt moche et remoche que belle et rebelle

Orélien Péréol Par Orélien Péréol
15 décembre 2021
dans Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?, Société(s)
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ça a débuté comme ça… Moi je n’avais rien dit…rien… – Lomo Zano ©photo Eric Desordre –

De toutes les figures qui ont animé nos espoirs de jeunesse, il ne reste plus que la victime et le radical. Exit le héros, l’aventurier, le militant, le révolutionnaire, l’explorateur, le visionnaire… exit Tintin, soi-disant reporter et en fait globe-trotter… exit les pieds nickelés, l’irréductible village d’Astérix… Place aux témoignages « glaçants » des victimes qui sont les nouveaux héros. Maintenant, pour bien vivre sa vie, pour se rendre important, il faut arriver à persuader le plus grand nombre que nos difficultés, notre malheur, proviennent des autres. Outre l’aspect peu joyeux et même, disons-le, mortifère de la perspective de se faire prendre pour le plus dominé, cette tentative, qu’elle soit réussie ou non, est fort peu dynamique, et même induit un attentisme forcené. Nietzsche avait bien vu : la morale était le discours par lequel les faibles reprennent de la force et font honte aux forts de leur force. Et la morale n’est pas tout-à-fait une ligne de conduite, elle est le jugement moral, sur les autres donc, dans lequel on est confortablement juge et partie. Tout cela nous ramène dans une vision du monde comme confrontations d’états, de natures, sans perspective de changement par l’échange, même sévère, dur ou cruel.

Être dominant est la pire des tares

Les choses sont figées et nous ramènent à ces figures statiques de « faibles » et de « forts », renommés « dominés » et « dominants ». Être nommé dominant est la pire des tares. La tristesse de notre époque est de compter sur des paroles pour résoudre les problèmes du passé. Ainsi, la Belgique a exprimé des regrets pour la colonisation du Congo, actuellement République Démocratique du Congo. C’est insuffisant, on envisage des excuses, et des réparations. Les révolutionnaires voulaient faire table rase du passé. C’était une tâche impossible mais qui faisait du temps un outil et un allié. Maintenant, nous avons renversé la conception : le temps nous domine, le temps passé nous écrase ; nous devons nous débarrasser de son influence totale, en le nettoyant du mal qu’il contient. Il n’est plus de vision progressiste de l’avenir, il est question de la vision d’un passé négatif qui nous coûte et que nous devons corriger. L’indignation, avec son livre best-seller, propose comme « valeur » un confort personnel tout-à-fait dommageable : comme je suis beau, trouvant le monde si mal fait qu’il faudrait se dépêcher de le refaire, comme sont beaux tous mes semblables autour de moi, indignés comme moi ! et de se conforter mutuellement dans la belle posture qu’on partage ensemble. L’entourloupe, pour contourner cet aspect par trop voyant de l’autosatisfaction contenue dans l’indignation, consiste à dire que les révoltés, les révolutionnaires, combattaient parce qu’ils étaient (en préalable) indignés. Peut-être, mais ils combattaient. Exeunt les projets d’actions, le calcul des structures, des institutions et de leurs évolutions possibles, les probables, les insupportables, les désirables, exit le travail militant pour favoriser les évolutions souhaitables.

Le web : le débat n’aura pas lieu

Le travail de nos nouveaux médias de masse dans la stabilisation de cet état de nos esprits n’est pas toujours bien vu. Le web est un espace d’échanges de paroles et d’images qui a une forme d’une certaine façon parfaite dans l’ordre de la liberté : l’accès est simple, peu coûteux, chacun émet et reçoit. Réciprocité impeccable, interchangeabilité des places, démocratie pure et parfaite. Cet agora magnifique produit l’inverse de ce qui semble en découler : sans doute, la liberté pèse trop aux hommes et ils s’empressent de se ré-enfermer dans des groupes d’affinités ; le web sans limite est trop dur, vite, retrouvons-nous entre semblables. Le débat permanent, ouvert, tel que le voyait Michel Serres par exemple, tombe de par les clôtures recréées. Le débat n’a pas lieu, les affirmations péremptoires abondent et les insultes aux « différents de moi et de mon groupe ». Le web ne fait pas qu’amplifier les tendances sociétales à la constitution de groupes se plaignant des mêmes choses, le web les crée de par sa construction. Le médium est le message disait Mc Luhan et le médium web porte ce message : le monde est trop vaste, regroupez-vous par affinités, jetez des boules puantes aux pas-comme-vous.

Ce découpage de l’humanité en groupes séparés comme les pièces d’un puzzle pose problème pour vivre ensemble. Certains ont inventé un mot : l’intersectionnalité. Il s’agit de contrer la concurrence des victimes (les victimes sont, de fait, en concurrence entre elles pour être la meilleure victime, c’est-à-dire la pire, la plus à plaindre) et au lieu de laisser faire cette tendance naturelle des victimes à s’opposer les unes aux autres, l’intersectionnalité additionne les valeurs victimisantes. Du point de vue statique des victimes, c’est un effort louable, qui risque de se présenter comme difficile voire impossible souvent.

Des victimes triomphantes ?

Avec la figure enviable de la victime, se crée la figure immonde du bourreau. Ce transfert d’indignité n’est pas objectivable, seule la victime est digne d’intérêt et de compassion. Le victimisme cache la création des catégories de bourreaux identitaires. Du côté de la victime, viennent l’intransigeance, la radicalité. Il s’agit de la force de l’affirmation et la monstration dont aucun discours, aucun argument ne saurait ébranler la certitude de savoir où sont les victimes, qui est victime (et qui est bourreau). Il va de soi que le caractère de victime n’est pas accordé à toutes et à tous. L’important est la reconnaissance publique et générale de certaines catégories de victimes. On est victime quand un malheur vient sur nous, qu’on n’a rien fait pour le faire arriver, qu’on ne pouvait rien faire pour l’empêcher, ou que si on pouvait quelque chose, on l’a fait et que c’était insuffisant, cela l’aurait été pour tout le monde. On ne croit pas les vraies victimes et le premier réflexe devant un récit de victime est de la culpabiliser : « pourquoi on t’a fait ça, à toi, alors que l’on ne le fait pas aux autres ? » On a les récits des victimes du génocide des juifs perpétré par les nazis. A leur retour, les juifs savaient qu’ils devaient se taire, qu’on ne les croirait pas, qu’on les rendrait coupables, même du nazisme ! C’est à force d’une insistance discrète et obstinée à dire les violences qu’ils avaient subies que peu à peu l’acceptation s’est faite (avec les films « Shoah » en 1985 et « de Nuremberg à Nuremberg » en 1988). Autrement dit, il n’y a pas de victimes triomphantes, c’est un oxymore. Les victimes sont honteuses et se cachent. Nous sommes dans un temps des victimes triomphantes qui nomment leurs bourreaux et arrivent, sans procès, à les exclure de la vie publique.

Ce dispositif systémique ne peut être mis en cause même par les aberrations claironnantes qu’il engendre. « Moi, les hommes, je les déteste » est un titre de livre. On n’arrive pas à imaginer d’autres catégories humaines à la place de « les hommes ». Sandrine Rousseau « préfère les sorcières qui jettent des sorts plutôt que des hommes qui construisent des EPR. » Car, pour elle, « le monde crève de trop de rationalité… » Quand j’étais jeune, il y avait une revue « les révoltes logiques » : il est logique de se révolter car « une société qui bannit l’aventure fait de l’abolition de cette société la seule aventure possible ». L’intersectionnalité des victimes construit une intersectionnalité des bourreaux : le vieux mâle blanc. Les discours politiques se gèrent par la scolastique : on ne les confronte pas à la réalité, ni à leurs effets envisagés (quelles luttes préfigurent-ils ? Avec quelle chance de succès ?), on le mesure aux discours des autres, avec une hantise : favoriser « l’extrême droite », voire en faire partie. Que cela survalorise ladite extrême droite qui devient, sans rien faire, l’arbitre des discours et des propositions échappe à tout le monde. Ce que tout le monde voit, c’est que « l’événement » est de ce côté détestable de la politique. On ne devrait pas s’en étonner. Nous sommes passés d’Aristote à Platon, du mouvement aux essences. Des révolutionnaires aux procéduriers plaideurs. Les rebelles (soi-disant) sont devenus « insoumis », auto-déclarés insoumis, une nature, une essence. Moyennant quoi, ils font la guerre à leur propre camp et se plaignent sans vergogne d’avoir manqué la victoire de si peu (800 000 voix tout de même) ! Pas de quoi reprendre la guerre et la gagner par le courage et la volonté.

Ou trouver (encore) des rebelles ?

Les gilets jaunes sont sans doute les derniers rebelles. Inorganisés, taiseux, refusant l’institutionnalisation de leur mouvement, ils sont allés à la castagne avec les flics et sous la présidence d’un homme peu scrupuleux et plutôt indifférent. Ils se sont épuisés à dépenser tant d’énergie sans stratégie. C’est le retour d’une émotion populaire qu’on croyait éteinte : les jacqueries. Où trouver d’autres rebelles ? Extinction Rébellion peut-être, Greenpeace ?… Cédric Herrou ? Il reste quelques traces de l’aventure de refaire société dans un monde qui va changer de base, mais il en reste fort peu. Le passé s’impose dans le présent, le remplit, l’envahit. Nous nous racontons que nous ne ferons rien d’intéressant sans avoir bien mesuré les culpabilités dans une binarité simple : « celles et ceux qui déclarent souffrir le plus fort disent le vrai ». Avec cette vision fixiste, nous vidons le présent de son sens : au lieu d’être le point d’appui, le tremplin vers l’avenir, il est devenu le pieu qui nous attache au sol, nous empêchant d’agir…

Je suis né chez des ouvriers en progrès social, j’appartenais au sel de la terre, le programme était magnifique. Je suis devenu un coupable sans droit de défense, sans rémission possible : un mâle blanc, un boomer. Il ne reste presqu’aucune des figures exaltantes de ma jeunesse. Que ta colère soit moche et remoche, qu’elle vise la dénonciation et la sanction des coupables de naissance. L’idéologie « Fais les taire » (woke en anglais dans les médias) a pris la place. La censure qui était un attribut de l’État, de certains États, ou de certains champs de l’action de l’État, cette insupportable censure qui rendait visible les raisons de notre colère belle et rebelle est devenue l’apanage de ces groupes de victimes juges et parties. Où puiser l’énergie de réenvisager l’espoir et les actions fortes qui nous rapprochent sans cesse, de façon asymptotique, de l’utopie ?

Orélien Péréol

Tags : culture wokeExtinction RebellionGilets jaunesidéologie victimaireindignation systémiqueintersectionnalitéOrélien Péréol
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Orélien Péréol

Orélien Péréol

Écrivain, auteur de théâtre, essayiste… Danseur quelques fois. Libertaire et scientifique. Pense par lui-même. Décalé chronique. A fait de nombreux métiers : comédien, metteur en scène, auteur, professeur de sciences économiques et sociales, professeur des écoles, a beaucoup publié dans les « cahiers pédagogiques »… Divorcé, père de trois enfants, habite de 4 à 10 mois par an, suivant les années, à Dakar, Sénégal… à Paris le reste du temps.

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