• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 31 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Quelle spiritualité Rose Croix aujourd’hui ?

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
20 novembre 2020
dans Philo-spirit(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Figures secrètes de la Rose Croix – planche Rose Croix de la collection alchimique de Manly Palmer

Sous la désignation de « Rose-Croix », étrangement se retrouvent différents groupes (ou clubs) de la mouvance « illuministe », d’une part et, d’autre part, un Haut Grade de la maçonnerie, au R.E.A.A (Rite Écossais Ancien et Accepté) notamment, le 18 e degré.

Certes, les points de convergence entre ces deux ailes symboliques de la Rose (rouge comme le sang humain donné pour sauver toute la mise du monde) et de la Croix (celle du Christ crucifié, le Sauveur du monde) sont historiquement et mythologiquement indéniables. Et, dans le cas de l’histoire de la Rose-Croix depuis le xvi e siècle, il est bien difficile de savoir si par le trait d’union des Templiers, ou non, c’est la Rose-Croix qui a emprunté à la maçonnerie opérative et/ ou spéculative, ou l’inverse… Qui peut sérieusement affirmer la date d’origine de la rencontre de ces deux courants spirituels qui ont fait couler tant de sang rouge et ériger tant de croix sur les multiples calvaires du monde ? Une chose semble pourtant évidente : le symbolisme rosicrucien est mystique et Un. Sa tolérance bienveillante est partie prenante de son éthique. D’ailleurs, les plus grands philosophes sont concernés par cette quête de fraternité universelle et ce réflexe d’entraide qui nous unit tous et chacun. Et nul besoin de s’appeler Paul Arnold pour affirmer que les Roses-Croix de toutes les obédiences maçonniques d’aujourd’hui se reconnaissent tous sans exception sous le règne d’une même mentalité prônant l’ouverture du cœur, et au nom d’une même orientation des mêmes recherches métaphysiques et alchimiques ! D’où qu’ils proviennent ou d’où qu’ils disent provenir, avec les rosicruciens, il y a toujours de la philo-sophie dans l’air ! N’oublions pas que le mot philosophie est un mot d’origine grecque, il vient de philosophia et se décompose en : philo, du verbe philien, d’une part, qui signifie aimer, chercher, et de Sophie, la Connaissance, le Savoir, la Sagesse.
Et ça n’est par hasard si de nombreux grands philosophes de la pensée humaine, laissèrent sous-entendre qu’il faisait partie du vaste Cercle des R-C ! Ou qu’ils aspiraient à y entrer, ou à faire penser qu’ils en faisaient partie, en quelque sorte !
Au dix-septième siècle et surtout aux dix-huitième, dix-neuvième et vingtième siècles, on peut ainsi remarquer Francis Bacon, Goethe, René Descartes et Leibniz, le pasteur luthérien Comenius, précurseur de l’UNESCO, mais aussi Spinoza et Newton, sans oublier Jacob Boehme, et même, peut-être Napoléon-Bonaparte lui-même, le poète irlandais Yeats et le poète français Saint-Pol Roux, et bien d’autres encore !
Le mythe parfois semble davantage porteur d’héritages spirituels que la réalité généalogique si difficile à capter. Le mythe d’Hiram est commun à la Rose-Croix et à la maçonnerie spéculative. Je ne suis pas Roger Dachez pour trancher et savoir de qui l’une a le plus emprunté à l’autre, sous l’œil ô combien énigmatique des Templiers après leur persécution.

Rien sans le secours des autres

À l’ombre de la Rose et de la Croix, il y a un « état d’esprit » puisque « l’homme ne peut rien sans le secours des autres » comme le proclame un merveilleux rituel cherchant une voie dans la même vallée de la vie précaire.
En fait, la fièvre spirituelle de la Rose-Croix est ce qui inspire une confrérie utopique et mythique tout à la fois, née au début du xvii e siècle. Celle-ci s’enracine sur plusieurs textes, ou manifestes. D’abord, une biographie d’un certain héros fictif, le « très louable » Christian Rosenkreutz, qui aurait vécu une enfance studieuse, aurait été un voyageur impénitent (d’Orient en Arabie, sans oublier l’Égypte et l’Espagne, avant de revenir en Allemagne pour y mourir à 106 ans !).
Ensuite, un « manifeste », en 1614, intitulé « Échos de la fraternité du très louable Ordre de la Rose-Croix »… Enfin, un second manifeste titré « Confession de l’insigne Confrérie du Très Honoré Rose-Croix, à l’adresse des hommes de Science de l’Europe ». Sans omettre un troisième « manifeste » qui raconte « les noces chimiques de Christian Rose-Croix en l’année 1549, dans un château féérique où l’alchimie règne »… Tous ces manifestes fondateurs sont attribués au pasteur et théologien luthérien Jean Valentin Andrea (de Tübigen), né en 1586, et inspiré de Campanella et même de l’utopiste Thomas More.

Éclairage de Marie-Magdeleine Davy

Humblement, je l’avoue : j’ai toujours été très passionné par les objectifs des confréries de la Rose-Croix. Chemin faisant, lors des périples de ma vie d’aventurier spirituel, ce fut au 23 rue Racine, à Paris, au dernier étage sans ascenseur, dans le minuscule appartement enfumé et en désordre de l’érudite médiévale Marie-Madeleine Davy qui devint ma guide et mon gourou en spiritualité, que l’interpellant : « Dites-moi donc, qu’est-ce que l’état de Rose-Croix ? », celle-ci me répondit comme une évidence : « L’état de Rose-Croix rejoint une Sagesse et une largeur spirituelle, une intuition numineuse, un Souffle prônant, au bout du compte, un syncrétisme religieux vers lequel nous tendons tous plus ou moins. »
Telle était la conviction profonde de M.M. Davy qui, non seulement admirait l’inspiration Rose-Croix, mais encore la considérait comme un support de méditation spirituelle visant un élan de rapprochement homéopathique de toutes les religions monothéistes de la planète dans le futur. Évidemment, ce point de vue est audacieux, mais nullement gratuit à long terme, puisque la mystique Rose-Croix n’hésite pas à se donner un objectif universel de réconciliation dans la Lumière commune du Sacré. Certes, tout cela ressemble parfois à une sorte d’usine à gaz pseudo historique !
On sait ainsi qu’en 1622, des affiches apparurent sur les murs de Paris et informèrent la population de demandes d’affiliation à l’Ordre Rose Croix. En fait, les idées rosicruciennes mirent du temps à prendre corps, avant même leur infiltration dans la F-M spéculative notamment. Puis la R-C revint en France, aux Pays-Bas, en Allemagne, à Vienne, en territoire anglais.
Ainsi, en 1747, la R-C dite d’Or fondée par Herman Fictuld, substitua l’ésotérisme chrétien à la veine alchimique. Au xviii e siècle, en France, Martinès de Pasqually, Jean-Baptiste Willermoz, Claude de Saint Martin puisérent eux aussi beaucoup dans les idées rosicruciennes de rapprochement fraternel.
Chez les élus Coëns de l’Univers, on s’opposa au Grand Orient qui avait abandonné en 1877 dans son rituel l’exhortation de départ au GADLU. Eliphas Lévi et Stanislas de Guaïta et le Dct Gérard d’Encausse, alias Papus, et Saint-Yves d’Alveydre, représentèrent en France l’Union des forces spiritualistes. Au xix e siècle, on était volontiers à la fois
maçon et on se réclamait de la R-C. D’autres écrivains occultistes, hauts en couleurs romantiques, comme Joséphin Péladan, prônèrent une R-C Catholique qui trouva son prolongement logique avec Oswald Wirth et René Guénon même, mais en liaison avec la F-M spéculative du temps.
On le comprend, les courants de la Rose-Croix et de la franc-maçonnerie ne s’ignorèrent jamais vraiment. Ils formèrent un creuset d’inspiration, parfois spiritualiste, parfois farfelu, d’où émergèrent aussi bien des escrocs que des êtres de Lumière ! D’ailleurs le fameux Elias Ashmole (1617-1692) lui-même, dès le dix-septième siècle, organisateur et théoricien de la F-M spéculative, se déclarait un défenseur acharné des Roses-Croix… Goethe (mort en 1832), quant à lui, concluait un poème émouvant par deux vers : La Croix est enlacée étroitement de roses./Qui donc a marié des Roses à la Croix ? Pour résumer, je dirai que si trop de précisions historiques affaiblissent la puissance du mythe, un trop-plein de mythes appelé à la rescousse, tue l’Histoire. Alors, laissez-moi souhaiter que l’Espérance nous guide tous ensemble dans notre permanent tournoi de vivre. Ma conviction est que tout se passera bien dans ce vingt-et-unième siècle si c’est toujours l’Esprit qui précède la Lettre, puisque la prière (comme la beauté) sauve aussi le monde !

Jean-Luc Maxence

Tags : franc-maçonnerie spéculativeHiramilluminismeJean-Luc MaxenceL'ésotérisme aujourd'huiMarie Madeleine DavymysticismeRose-Croixsymbolisme
Article précédent

De l’Aube biblique à nos jours

Article suivant

L’ésoterisme aujourd’hui ou la connaissance du Grand Commencement

Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

Article suivant

L’ésoterisme aujourd’hui ou la connaissance du Grand Commencement

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?