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Accueil » L’ésotérisme : voie de salut pour le Rock ? Le Rock : voix de salut pour l’ésotérisme ?

L’ésotérisme : voie de salut pour le Rock ? Le Rock : voix de salut pour l’ésotérisme ?

Bertrand Pavlik Par Bertrand Pavlik
20 novembre 2020
dans Art(s), Philo-spirit(s)
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Copyright Bob M. – The End – CC Flickr

« Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse ».
Friedrich Nietzche cité par Jim Morrison.

On va commencer de manière bien scolaire, en précisant ce qu’est pour nous l’ésotérisme. Comme tout le monde, on ne va trop se fouler et on va aller mater la page Wikipédia sur ce sujet. Elle est parfaite, concise, et pas « prise de tête ». Déjà que le comité de rédaction de Rebelles me file toujours des sujets pas possibles pour traiter de la musique rock, je ne vais pas m’embêter à me coller des tonnes de livres sur l’ésotérisme. La plupart, beaucoup trop épais, partent dans tous les sens. L’ésotérisme, ce doit être comme le rock : court, efficace. Ça claque et on reste toujours un peu sur sa faim. C’est le principe des fast-food comme Mac Do et Burger King aussi, mais bon, hein, on va s’arrêter là dans ce genre de digression sinon je vais faire ce que je dénonce, de la logorrhée pseudo-ésotérique… On va éviter les trucs du genre « je coupe la pomme en deux et j’y vois une étoile à cinq branches ! » Le seul truc ésotérique que je peux distinguer dans ce que je viens de vous écrire, c’est que le groupe punk français Les satellites avait raison : «… les américains sont les plus forts, ils n’ont jamais de problèmes, ils fument des clopes qui font maigrir, ils fument des clopes qui font rire,… même Jean-Marie Le Pen n’est pas aussi malin que les Américains… ». Les Américains, ils inventent des trucs qui te donnent toujours plus envie d’en consommer ; comme l’ésotérisme actuel quoi ! Aujourd’hui, plus on s’intéresse à l’ésotérisme, plus on a envie d’en consommer. L’ésotérisme est devenu un produit de consommation courante. En plus, si on met un peu de cul – sous prétexte de tantrisme et autre – ça fait bien vendre.
Le rock, invention musicale américaine, n’échappe pas à ce principe. Ian Dury ne chantait-il pas “Sex and drug and rock n’roll” ? Le film Easy Rider ne nous faisait-il pas passer de l’autre côté du miroir, comme le hurlait si bien le « back door man » Jim Morrison ? Ben oui, le rock « c’est comme tout aujourd’hui, ma brave dame » me dirait mon épicier, c’est devenu un objet de consommation courante. L’ésotérisme c’est pareil ! On saupoudre le tout de cul, de trucs bizarres vaguement mystérieux qui ont l’air vachement savants et on obtient les écoles de Kabbalah popularisées par Madonna et d’autres stars du rock. Super cool, non ? Les Américains ont bien compris le filon. Ils n’ont pas d’histoire, ils en inventent une, pseudo-ésotérique en plus ! C’est pour cette raison que nous sommes inondés de séries Netflix, HBO, comme Game of Thrones, American Gods, etc. qui constituent le corpus historique fantasmé des Américains. C’est tellement simple tous ces trucs inventés par d’anciennes entités. Avec tout cela tu vas retrouver l’origine du monde. Tu seras même plus fort que Gigalmesh, Man ! L’immortalité te tend les bras. C’est là que cela devient intéressant, Bro ! Avec tous ces trucs de Kabbalah, de New Age, et autres bricolos du dimanche pseudo ésoterico-spiritualistes, ils oublient de te renseigner sur l’essentiel. Dude, essaye de piger la cabale, sans même parler l’Araméen ou, au moins, l’Hébreu de Spinoza ! Connais-tu le Grec ancien ? Je n’ose même pas te demander si tu déchiffres couramment les hiéroglyphes égyptiens ? On oublie que Gurdjieff était un escroc qui a fini poivrot et que son ennéagramme devrait s’appeler plutôt « neuneugramme ». Bref, l’ésotérisme actuel, c’est comme l’essentiel de la guimauve pseudo-rock qu’on essaye de vous faire avaler à grands coups de taille dans le larfeuille ! On ne va pas leur en vouloir d’essayer de vous arnaquer. C’est pour votre bien-être. Allégé du portefeuille, il ne vous reste plus que le cœur. Vous voyagerez plus léger sur une autoroute à quatre voies. Qu’est-ce qu’on leur dit : « Merci, Messieurs les marchands du temple » ? Tout ça c’est de la gerbe alors que nous, on aimerait plutôt se concentrer sur le Rameau d’or. Merci Sir James George Frazer, en passant !
C’est pour cette raison que René Guénon me donne de l’urticaire. Il était fort le René, il te raisonnait en mode chrétien, mais si ça ne collait pas, il te rajoutait un petit bout de soufisme, un morceau d’hindouisme, et hop, le tour était joué. Ah René, c’était le meilleur bricolo du dimanche de l’ésotérisme. Un sacré précurseur car il a ouvert la voie à tous les gourous de l’ésotérisme d’aujourd’hui. Franchement, plutôt que de lire un René Guénon, je préfère me mater un film de Tarzan avec sa guenon Cheetah !
Tous ces gourous, tous ces grands initiés vous font croire que l’ésotérisme, c’est facile, et que vous allez pouvoir tout comprendre pour ne faire qu’un avec votre moi cosmique. Or, l’ésotérisme, c’est dur ; c’est même très dur et vous n’aurez jamais fini. Pourquoi ? Parce que l’ésotérisme – sans faire un cours dessus – implique l’étude de la philosophie, des mathématiques, de la littérature, de courants de pensées théologiques ou religieux comme la gnose, et surtout l’utilisation des symboles. Un symbole dont on a fait le tour complet est mort. Il n’est plus un symbole. L’ésotérisme est tout sauf simple ! Lisez Baudelaire, Borgès ou Pessoa.

Le Rock comme ésotérisme

Le rock est pareil à l’ésotérisme. Les émissions de The Voice, la Nouvelle Star, etc. font croire que la musique, c’est simple. Tout le monde peut devenir musicien, donc rocker ! Hélas non, il faut du talent et du travail. De la même manière, la plupart des radios de grande écoute vous font écouter de la musique préfabriquée et préformatée pour les consommateurs de musique. Cette musique n’est pas destinée aux musiciens ni aux mélomanes. Elle a juste pour but de vous accompagner au supermarché, de vous amuser en boîte de nuit, et de vous faire bouger le boulard dans un club de sport ! C’est juste de la musique d’accompagnement de l’instant présent. Comme les objets, son obsolescence est programmée. Jacques Attali l’a très bien vu dans son essai sur l’économie de la musique. Pour faire simple, le rock et l’ésotérisme ont perdu leur caractère sacré. La vache n’est plus sacrée, elle s’est transformée en vache à lait, juste bonne à être traite. Le hic, c’est que la vache, c’est vous !
Patti Smith, dans Just Kids, l’avait bien définie, cette perte de sacralité du rock. Elle écrivait : « On avait peur que la musique qui nous avait nourri se trouve en danger d’inanition spirituelle. On avait peur qu’elle ait perdu sa raison d’être, qu’elle tombe entre des mains engraissées, qu’elle patauge dans la fange du spectacle, de la finance et d’insipides complexités techniques ». C’est la même chose pour l’ésotérisme d’aujourd’hui. Remplacez dans cette citation de Patti Smith, le mot « musique » par celui d’« ésotérisme ». Trouvez-moi un groupe de rock aujourd’hui qui soit ésotérique, qui pratique le symbolisme, ou qui fasse du texte à plusieurs niveaux d’interprétation possible ? Il n’y a pas un groupe de rock d’une tribu musicale qui ne pratique un ésotérisme de pacotille ! Tous les jours, on annonce la mort du rock ! C’est flippant car les grandes icônes du rock disparaissent les unes après les autres : Bob Marley, John Lennon, David Bowie, Lou Reed, etc. Pour elles, le rock était une culture donc une spiritualité, dans le sens où toute activité culturelle de l’homme est spirituelle.
Ces stars transcendaient leur matérialité par la musique, la langue des dieux ! Elles bâtissaient dans les airs des cathédrales de sons mais aussi, avec l’arrivée de Dylan dans le rock, des cathédrales de mots. Led Zeppelin composait Stairway To Heaven, John Lennon faisait sa dernière prophétie, les Stones et les Beatles partaient en Inde, Bowie se comportait en démiurge en prétendant venir d’un autre monde, John Entwistle, le bassiste des Who, était franc-maçon.
Les textes des chansons des Doors, écrits par Jim Morrison, nécessitaient plusieurs niveaux de compréhension. Ce dernier n’était-il pas nourri de William Blake, de Baudelaire, de Milton ? Ne voulait-il pas initier son public pour qu’il passe de l’autre côté du miroir, en ouvrant les portes de la perception ? Cette spiritualité dans le rock avait son propre ésotérisme. Marcus Gravey dans son Lipstick Traces ne compare-t-il pas le punk à la gnose ? En voulant revenir à l’essence du rock, à sa pureté originelle, un beat bien simple, loin de toutes les longues virtuosités des gros groupes de la FM taillée pour la FM américaine, les punks sont des gnostiques pour cet auteur.

Et le mouvement punk ?

Le mouvement punk est d’ailleurs caricatural de la perte de spiritualité du rock. Il s’est transformé à son tour en une « marchandise musicale » avec l’arrivée de Sid Vicious dans le groupe des Sex Pistols. C’était fini : « punk was dead » et « no future » ! Pour percer et devenir riches et célèbres, les groupes de rock devaient vendre leur âme au Diable, comme le bluesman Robert Johnson, premier membre du club des 27 – à la croisée des chemins – mais au moins avaient-ils créé leur univers musical. Aujourd’hui, plus besoin de vendre son âme au Diable ; celui-ci lance ses propres légions de groupes de rock, bien proprets, consommateurs de produits bios, ne buvant que de l’eau et pré-formatés musicalement pour correspondre au goût des consommateurs musicaux.
Il serait bon de relire le prologue de Ainsi Parlait Zarathoustra de Nietzche, que citait Jim Morrison partagé entre ses énergies dionysiaque et apollinienne, pour résumer la démarche artistique des Doors, : « Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse ». Tous ces groupes voulaient être des intermédiaires aux frontières du réel, des portes de la perception, des guides vers des mondes invisibles, souvent découverts sous l’emprise des acides et autres. L’évocation jalonne non seulement leur musique mais les textes de leurs chansons. Encore une fois, Morrison l’a parfaitement résumé dans un interview : « Il y a le connu. Et il y a l’inconnu. Et entre les deux, il y a la porte, et c’est cela que je veux être. Je veux être la porte ». Pour eux, la musique n’était pas un simple rapport sonore mais un véhicule vers l’Autre-Monde, comme dans les pratiques chamaniques.
Aujourd’hui, comme pour le rock, ce n’est plus le cas pour l’ésotérisme. On n’interprète plus, on n’étudie plus, on consomme. Le grand mensonge est celui-ci : l’ésotérisme n’a jamais eu pour but de mener au bien-être, ni au mieux-être ! Tenter de comprendre le monde dans son unité, en rassemblant ce qui est épars, le sacré et le profane, c’est peut-être devenir un Emerech 1 . Bref, ce n’est pas très vendeur, car trop difficile et trop long, sans obsolescence programmée ! « Ça » ne vous éclaire pas sur ce que vous voulez entendre mais sur ce que vous pourriez comprendre ! D’ailleurs, l’initié, qu’il soit ésotériste ou rocker, ne s’y trompe pas ! Il néglige tous ces kits de prêt-à-penser ésotérique, comme les groupes de prêt-à-écouter calibrés et « panelisés », pour s’orienter vers les vrais mystères, qui ne sont pas des « consommables ». La musique, donc le rock, vise à vous faire ressentir ce que le langage ne peut exprimer : l’ineffable.
L’ésotérisme vise à faire comprendre ce qui n’est pas visible sans une initiation du regard, comme de tous les autres sens, dont l’ouïe. L’ésotérisme et le rock entraînent leur adepte dans un voyage qui, comme tout voyage, le ramène à son point de départ, transformé, modifié. Seul le voyage vers l’Orient éternel est sans retour, d’où l’attirance de Jim Morrison comme d’autres musiciens vers la Mort, pour passer de l’autre côté du miroir. La musique, l’ésotérisme – devenus biens de consommation aujourd’hui, notamment dans le marché du bien-être – ne sont plus des moyens de transport initiatique mais des viatiques destinés à nous rassurer. D’où peut-être cette impression qu’aujourd’hui nous ne sommes plus mortels, que la société n’évoque plus la Mort et qu’elle cache ses vieux – sauf s’ils ont du pouvoir temporel – parce que l’intemporel n’a aucun intérêt. On a même commercialisé le slogan des anciens Égyptiens : « La mort n’est qu’un commencement » (sic !). Plus besoin d’évoquer la mort, elle est prégnante dans l’aseptisation eugéniste de la société, donc du rock et de l’ésotérisme aujourd’hui. Les rockers ne créent plus de monde. L’ésotérisme ne dévoile plus Isis.
La jeunesse d’aujourd’hui ne s’y trompe pas, en revenant à l’écoute des Doors, de David Bowie, de Led Zeppelin, en créant ses tribus musicales avec ses religions hors-piste et leurs ésotérismes propres. Les groupes les plus populaires, comme Rammstein, sont ceux qui ne font pas partie du marché ou qui en caricaturent les codes comme Mötley Crüe ! Il serait temps de laisser chanter son chaos intérieur, pour le maîtriser en lumière capable de faire flamboyer à nouveau notre petite étoile ! Paraphrasons Hermès Trimégiste : « L’ésotérisme est une voie pour le Rock ; le Rock est une voix pour l’ésotérisme ».

Bertrand Pavlik

1. Homme vrai en toute circonstance

Tags : Bertrand PavlikJim MorrisonL'ésotérisme aujourd'huimouvement Punkrock'n rollThe Doors
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Bertrand Pavlik

Bertrand Pavlik

Avocat, Conseiller du 6ème arrondissement de Paris pendant près de 20 ans, chroniqueur sur Sud Radio, chargé de cours à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Bertand Pavlik a également été sept fois champion de France de Football américain.

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