• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mercredi 6 décembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Sans ésoterisme, Rebelle(s) n’existerait pas ! – Editorial du n°19

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
27 mars 2020
dans Edito(s), Le Mag papier
1
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Jean-Luc Maxence

Comprendre d’intuition l’ésotérisme, c’est croire que derrière la matière et l’apparence des formes de notre habitat (la planète), il existe des correspondances plus ou moins cachées, un critérium secret qui élucide le sens du monde. À travers siècles et générations, vivants et fantômes, des liens se font signe, des itinéraires sacrés et discrets se croisent, des idéologies se heurtent de plein fouet et cherchent désespérément une certaine Lumière unificatrice que quelques-uns appellent Dieu, avec ou sans majuscule.

Mon père, René Daumal et moi

Ainsi, en 1928, mon père (Jean Godmé, qui signa quelques années plus tard Jean Maxence, puis Jean-Pierre Maxence) avait fondé et dirigeait un Cahier qui paraissait huit fois par an, était estampillé de la date de l’année, et défendait une approche stricte du Christianisme et du Néo-thomisme de l’époque, une quête du spirituel, éloigné de la politique stricto sensu, et très proche de la chaîne invisible et ininterrompue des poètes ésotériques de son pays, à savoir Victor Hugo, Gérard de Nerval, Charles Baudelaire, Saint-Pol-Roux, Stéphane Mallarmé, Xavier Forneret, Oscar V. de L Milosz ; et surtout Arthur Rimbaud le « voyant », proclamant avec la force d’un adolescent révolté : « JE est un autre ». En 1928, mon père avait 21 ans, et René Daumal 22. Le premier sortait d’un séminaire d’inspiration thomiste qui le rapprochait logiquement des très « catholiques » Jacques Maritain et Henri Massis, Paul Gilson et Henri Ghéon. Le second, très tôt dépendant de l’alcool, du tabac, du noctambulisme, de l’exploration des limites suscitée par les dépendances aux drogues, fit paraître Le GRAND JEU (qui devait s’appeler La Voie !) avec Roger Vailland, Robert Meyrat et Roger Gilbert-Lecomte, comme par hasard en 1928 lui aussi ! Daumal ne pouvait que se rapprocher peu après des Surréalistes, et d’André Breton, et d’Antonin Artaud. Dès lors, il ne pouvait que se heurter de plein fouet au ton ecclésiastique de Jean Godmé et de ses jeunes acolytes ! Et la violente confrontation eut bien lieu. Grâce contre grâce, en quelque sorte. Le « tout est politique » provoqua en duel le « tout est métaphysique ». Comme l’écrit Daumal : « Le Grand Jeu est un jeu de hasard, c’est-à-dire d’adresse, ou mieux de grâce : la grâce de Dieu, et la grâce des gestes. ». Mon père, le futur J-P Maxence, émit le désir de se rapprocher du groupe qui gravitait autour de René Daumal, écrivant dans sa revue un écho de séminariste contrarié. À savoir : « Le Grand Jeu publie dans son premier numéro une déclaration sympathique, parmi d’autres qui le sont moins. Il ne s’agit plus de réformer la chose la moins importante du monde – une technique littéraire – mais d’abattre toutes ses cartes, avec son âme pour enjeu ».
Dans le second numéro du Grand Jeu, au printemps 1929, René Daumal accuse Jean Godmé d’être « un modèle de fétide onction ecclésiastique » (sic). Il précise : « la seule prétention de votre ton protecteur et pseudo-fraternel peut être considérée à juste titre comme offensante ; autrement dit, en quelque circonstance qu’il vous rencontre jamais, chacun de nous obéira à la nécessité de vous donner une leçon de correction. (…/…). Au fond, vous avez cédé uniquement au désir d’exhiber tout gratuitement vos petits talents de prédicateur néo-thomiste. La pauvreté de votre dialectique, il faut l’avouer, est bien décevante. Si vous avez peur de situer le problème, voulez-vous que nous vous y aidions ? Et d’abord que vient faire Gide dans votre galimatias ? S’il se peut que nous ayons parfois quelque sympathie pour un certain Gide, il est parfaitement ridicule de nous faire les disciples d’un écrivain pour qui le problème éthique se pose en des termes qui nous sont entièrement étrangers.
Au contraire, sans rien fausser, il est facile de vous situer parmi la lie de ces rumeurs de larves, Massis, Maritain et autres, qui ont édifié sur la Somme de Thomas d’Aquin le bluff le plus naïvement prétentieux de ce siècle. Il n’est même pas besoin de faire intervenir la critique kantienne pour être en droit de juger imbécile ou hypocrite tout intérêt porté aujourd’hui à cette pauvre singerie de métaphysique, à cette imparfaite machine à calculer les attributs de Dieu. Sous la même condamnation tombe toute tentative pour adapter une mystique à de misérables fins temporelles, sociales en particulier. La Somme théologique est le tombeau du christianisme. Les religions en s’organisant tuent la révélation immémoriale à chaque instant nouvelle en nous ; et plus particulièrement parmi les religions, le christianisme ; et dans le christianisme, le thomisme ; et dans le thomisme, vous et vos complices. Et nous ne parlons pas dans le vague ; nous savons ce que nous voulons dire : il n’y a pas si longtemps, le symbole de la Croix (qui est aussi bien, soit dit en passant, australien, fuégien, bantou, aztèque, que chrétien), ce symbole de l’union du Mâle et du Femelle, et du Feu, ce Signe qui est notre écartèlement dans notre symétrie bilatérale d’homme, dominait la salle des tribunaux. Et, en son nom, l’homme jugeait ! (…/…) Nous ne sommes pas des sceptiques. Nous ne sommes pas des jouisseurs. Cette mystique du plaisir que vous semblez nous reprocher, on ne la voit guère que chez quelques dévots des vôtres. Pensez-vous convertir les croyants que nous sommes, croyants à nous faire tuer, et plus, en une foi éternelle et sans nom, auprès de laquelle s’en vont en cendres les petites saletés des argumentations thomistes ? Vous, avec votre pauvre ritualisme, vos cadavres de dogmes, votre morale inerte de castrats, nous vous défions de vivre une semaine le régime que nous impose l’incessante contemplation d’une Évidence noire, gueule absolue. Et vous parlez de pureté des corps… ».
Ces amabilités sont signées conjointement de Roger Gilbert Lecomte et de René Daumal. Dès lors, toutes les correspondances ésotériques me parlent au cœur. Et quand, je lis, un peu plus loin dans cette chronique, que Gilbert Lecomte et Daumal affirment « être de la race de fer et de feu des prophètes, des inspirés, ennemis des religions assoupissantes », je ne peux que « tuer » mon père « analytiquement » et me retrouver le désapprouvant et rejoignant, au début du siècle suivant, les rebelles de R.B.L et tous ceux et celles qui en font l’âme. Je ne peux qu’admirer le camp de René Daumal et de ses adeptes.
Selon la Loi des cycles et des générations se tuant symboliquement, je trahis sans hésiter les reliques de l’Ancien Régime. J’en appelle à ma revue Présence et Regards qui, dès 1972, militait ouvertement pour la rébellion généralisée des poètes « en faveur de l’universalité de l’expérience mystique » comme précisait Roger Gilbert-Lecomte.
Je ne suis pas dupe. En ne cachant pas ma sympathie, voire mon admiration, pour Alexandro Jodorowky et pour sa psychomagie (cf. notre n° 18), j’avoue ma toxicomanie « littéraire » pour toutes les expériences individuelles de dépersonnalisation, pour toutes les voyances à la Rimbaud. Je donne des gages même aux énigmes du tarot, à la pensée orientale, au yoga et aux enseignements védiques sacrés et profanes. Je me fais « alpiniste spécialisé en Mont Analogue », au nom de l’ésotérisme de toujours. C’est sans doute pour cela que REBELLE (S) est accusé parfois de jouer les Planètes d’antan. Tant pis, je persiste et je signe en lettres de Feu. Un peu comme Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019, quand l’incendie commença son rappel à la mémoire d’un peuple.

Jean-Luc Maxence

Tags : éditorialJacques MaritainJean GodméJean-Luc MaxenceJean-Pierre MaxenceL'ésotérisme aujourd'huiRené DaumalRoger Gilbert-Lecomtethomisme
Article précédent

Christophe Guilluy – La France périphérique

Article suivant

L’Ésotérisme aujourd’hui, pourquoi ?

Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

Article suivant
Grand Temple de la Grande Loge de France 2012

L’Ésotérisme aujourd’hui, pourquoi ?

Commentaires 1

  1. lhomeau franck says:
    Il y a 1 an

    Bonjour,
    Pas un commentaire de votre article, mais une question…
    Je souhaiterais savoir dans quel texte/article de Jean-Pierre Maxence a paru : “ Un vers de Rimbaud et une pensée de Pascal rendent le même son ”. Il est probable que l’article soit de 1942. JP Maxence ferait également un parallèle entre Rimbaud et Nietzsche. J’ai cru un instant qu’il s’agissait de l’article sur Pascal paru dans la NRF de janvier 1942. Que nenni !
    Cette référence me serait très précieuse, pour un ouvrage à paraître.
    Franck Lhomeau
    éditions Joseph K.

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Une lecture d’Oncle Vania de Tchekhov : Elena ou l’inutile et dangereuse Beauté 29 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Deuxième et dernière partie 27 novembre 2023
  • Guerre : les conciliateurs ne meurent pas dans leur lit 27 novembre 2023
  • Le féminisme n’a jamais tué personne, la misogynie tue tous les jours 22 novembre 2023
  • La Femme changée en renard  20 novembre 2023
  • Entretien avec Emmanuel Pierrat 18 novembre 2023
  • Ferruccio Brugnaro, celui qui ne veut pas se taire 18 novembre 2023
  • Fantaisies polychromes 17 novembre 2023
  • Le Doigt 11 novembre 2023
  • Du bon usage du mais et du signe égal 6 novembre 2023
  • Au secours ! 2 novembre 2023
  • Larmes 2 novembre 2023
  • Incendie 2 novembre 2023
  • La beauté, sitôt menacée 2 novembre 2023
  • Métamorphose du langage 2 novembre 2023
  • Sous la censure et la répression de la parole poétique 2 novembre 2023
  • “Démocratie”, qu’ils disent… 2 novembre 2023
  • Référendum 2 novembre 2023
  • Précieuses rebelles 2 novembre 2023
  • Forfait 2 novembre 2023
  • Flaques d’espoir 2 novembre 2023
  • Zhortott 2 novembre 2023
  • L’Apocalypse selon Nolan 2 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Première partie 24 octobre 2023
  • La laïcité est un sport de combat 15 octobre 2023
  • Fleetwood Mac, troisième et dernière partie   7 octobre 2023
  • Russie de Poutine : Félix Dzerjinski et l’éternel retour vers l’URSS 7 octobre 2023
  • Le Grand Orient d’après Michel Maffesoli 29 septembre 2023
  • Variation sur le retour du fils prodigue 29 septembre 2023
  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?