• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 28 juin 2022
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Accueil » Gilets jaunes et fascisme

Gilets jaunes et fascisme

Michaël Sens Par Michaël Sens
8 mars 2020
dans Politique(s), Société(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Si l’on décide de parler de fascisme à la sauce moderne, on doit à la fois y voir au minimum la trace de la définition historique relative à la doctrine mussolinienne, et y retrouver les caractéristiques de la définition moderne par exagération, c’est-à-dire le caractère totalitaire d’une attitude, que ce soit dans le domaine politique ou non. En ce qui concerne la doctrine mussolinienne, nous retiendrons principalement l’interventionnisme à outrance de l’État, le développement de l’appareil répressif, l’importance donnée à l’exécutif par rapport au législatif et le nationalisme exacerbé.

Drouetistes contre levavassauriens
Parlons des gilets jaunes. C’est difficile pourtant, parce que sous le gilet se cachent différents types de revendicateurs, de revendications, avec ou sans programme, avec ou sans agenda politique. On l’a vu, les gilets jaunes se déchirent parfois entre eux, entre les « drouetistes » (suiveurs d’Éric Drouet), les levavasseuriens (suiveurs d’Ingrid Levavasseur), etc., et certainement une majorité qui ne se réclame de personne. C’est pourquoi je parlerai du « mouvement » des gilets jaunes en tant que tel, tout en lui reconnaissant une nature protéiforme. Et mes accusations et opinions connaîtront la limite de cette diversité : elles ne s’appliqueront pas à tous les gilets jaunes, ni à tout le mouvement, même si elles auront l’air de le faire. Certainement s’appliqueront-elles aux plus extrémistes d’entre eux. Préambule fait, quid du fascisme en relation avec la jaunisse qui a touché la France, cette maladie du foie que le pays a contracté certainement à force de vouloir faire ingurgiter à sa population trop d’injustices, de corruption et de carburant trop cher, mais dont l’élément déclencheur a certainement été médiatique, tout comme l’élément qui en empêche la guérison ?
Les gilets jaunes, à première vue, s’opposent à l’arsenal répressif, surtout quand il est dirigé contre eux. On est loin d’un mouvement général contre la répression étatique. La plainte formulée par les gilets jaunes est née du fait que certains d’entre eux ont été les victimes de cette répression gérée à coup de flashballs et de grenades de désencerclement. Mais il existe tout de même une contestation de l’arsenal répressif.
De ce point de vue on pourrait voir là une lutte du gilet jaune contre une caractéristique du fascisme mussolinien (même si la répression actuelle est assez faible comparée à l’Italie fasciste ou à des gouvernements dictatoriaux similaires). Mais c’est là que s’arrête la lutte antifasciste du gilet jaune. Et, nous allons le voir maintenant, c’est là que commence son fascisme propre, au sens historique autant qu’au sens exagéré.

De la dictature du Peuple
Que crie un gilet jaune ? Il crie d’abord (ou après, je donne dans le désordre) sa défiance du régime parlementaire. Il lui préfère la démocratie directe et participative. Si cette démocratie dans laquelle « le Peuple » est censé gouverner directement par la voie du vote référendaire semble s’opposer à la toute-puissance de l’exécutif, elle est avant tout une négation du parlementaire, qui est chez nous le pouvoir législatif. « Mais le législatif deviendrait le Peuple lui-même ! » me répondrait-on. Malheureusement, au grand dam de l’idéaliste qui espérerait que « le Peuple » puisse avoir toujours raison collectivement, l’histoire nous a montré le contraire. La démocratie directe de la révolution française est rapidement devenue la source du pouvoir exécutif, et bientôt ce dernier est devenu tout puissant, dans les mains de certains des chantres de la première, tel Robespierre. La Terreur y a trouvé sa source. Certes, des pays comme la Suisse ont un système participatif et direct qui semble plutôt bien fonctionner. Cela ne veut pas dire que c’est mieux. Mais surtout nous ne sommes pas la Suisse. La petitesse du pays helvète rend beaucoup plus praticable ce système de référendum. Cependant, on pourrait argumenter sans fin sur l’intérêt de la démocratie directe par rapport à la démocratie représentative. La vérité est que la dictature du plus grand nombre est toujours une dictature. Ce sont les lois fondamentales, les constitutions, celles qui font la part belle aux droits fondamentaux auxquels toute décision législative ou exécutive ne peut déroger, qui à mon sens empêchent le mieux les dictatures, qu’elles soient celles d’un homme, d’une assemblée ou du « Peuple ». Et même elles ne suffisent pas…

Macron dehors !
Les gilets jaunes crient qu’ils vont mettre Macron dehors. Pourtant Macron est un Président élu. Il a peut-être tous les torts du monde (ce qui est cependant bien difficile, de les concentrer en un seul homme, tant ils sont nombreux ces torts potentiels, vous en conviendrez) mais sa position présidentielle est le produit d’un vote au scrutin universel, dans un pays où, bon an mal an, les fraudes électorales sont suffisamment faibles pour qu’on ne puisse le comparer à d’autres pays à la démocratie plus contestable. Il est difficile de faire plus « démocratique » que le scrutin universel. Donc, alors que crier qu’on va renverser un dictateur qui se serait auto- proclamé chef d’État par l’usage de la force, est une action de résistance à l’oppression légitime, vouloir renverser celui qui est élu dans les règles par le « Peuple » selon un mode de scrutin universel est une action anti- démocratique. Bien sûr, il y a des exceptions à cela. Hitler a accédé au pouvoir absolu en Allemagne par plébiscite, c’est-à-dire avec un vote de tout le peuple (au passage la voilà la raison du « Peuple » pris collectivement, la dérive totalitaire de la démocratie directe).
Mais soyons décents, ou à défaut soyons pragmatiques, Macron n’est pas Hitler, et ce n’est pas un dictateur. Le gilet jaune crie aussi bien souvent son rejet du libéralisme, et que ce soit dans le domaine des prix ou de la « justice fiscale », il exhorte l’État à réguler, intervenir, étatiser. Finalement, il crie à l’État d’intervenir, intervenir, intervenir. Peut-être a-t-il raison, peut-être pas. Mais qu’on ne me dise pas que c’est là une lutte antifasciste. Le « Peuple » italien des années 1920-30 a soutenu Mussolini pour des raisons similaires. L’aspect outrancier de l’interventionnisme réclamé tend à rapprocher les gilets jaunes du fascisme mussolinien.
Pour ce qui est du nationalisme, je laisse ceux qui ont été sur le terrain des manifestations des gilets jaunes se faire une idée de l’existence d’un nationalisme ambiant dans les cortèges et dans les opérations coup de poing, ou de son absence. Je pense qu’il y a en effet chez certains des gilets jaunes un nationalisme exacerbé, et que chez d’autres cette caractéristique est inexistante.

Quid du totalitarisme gilet jaune ?
Mais en fait, après avoir dit cela, je dois dire que je ne me suis pas complètement convaincu moi-même à 100 %. Ce n’est pas vraiment sur le terrain de la définition historique du fascisme que je me sens réfractaire au gilet-jaunisme. C’est sûrement beaucoup plus sur le terrain du totalitarisme de l’attitude. Je ne veux pas me faire le défenseur absolu d’un appareil d’État où la corruption est une réalité à tous niveaux, législatif, exécutif, local ou national, même si pas pour tous. Je ne veux pas faire croire que l’injustice décriée par les gilets jaunes n’existe pas, que les inégalités de droit sont des chimères, que la France va bien ou tout du moins qu’on ne devrait pas la critiquer, ni se rebeller. Ce n’est pas le cas. Mais tout est dans la manière. Je n’aime pas celui qui quand on lui tend la main pour dialoguer crie qu’il ne souhaite pas parler et rejette toute tentative de médiation. Je n’aime pas, pour être plus concret, que lorsqu’une revendication première voire unique se voit accordée, comme l’annulation de la hausse du prix du carburant, on se gausse de cette victoire et on invente d’autres revendications ayant pour effet de ne pas permettre au conflit de se résoudre. Je n’aime pas celui qui dit : « soit tu fais ce que je te dis, soit je te renverse ». En tous cas je n’aime pas ça dans le contexte démocratique. A la guerre oui (et encore, tant que la paix ne peut être obtenue par le dialogue). Entre nous non. Et je n’aime pas celui qui s’octroie le monopole de la pensée du « Peuple ». Non, les gilets jaunes ne représentent pas « le Peuple ». Ils ne représentent finalement qu’eux-mêmes, c’est-à-dire une portion non négligeable mais minoritaire de la population, et même cette portion est divisée sur de nombreux sujets. Et c’est normal. On ne peut pas tous penser la même chose. Le totalitarisme du gilet jaune c’est aussi son attitude sur le terrain, sur les ronds-points. Le quidam qui conduit sa voiture et se retrouve bloqué pendant plusieurs heures par des gilets jaunes est une victime d’un totalitarisme malsain. S’il râle on lui reprochera certainement un manque de solidarité avec ceux qui sont persuadés qu’eux-seuls détiennent la vérité, comme tout bon peuple dictateur. On lui reprochera son esprit petit-bourgeois. C’est ça aussi la dictature. Une dictature de la pensée. Sans parler des morts aux ronds-points, victimes directes, qu’elles soient gilets jaunes ou pas, du totalitarisme du mouvement.

Des accents d’harmoniques de la Révolution Française
C’est ce côté harmonique de la Révolution Française qui donne au mouvement sa couleur totalitaire : des revendications, légitimes en pagaille. Une protestation légitime contre l’attitude « qu’ils mangent de la brioche ! » des gouvernants. Des problèmes sociaux en pagaille (quoiqu’en comparaison avec les citoyens de nombreux autres pays, le Français ne soit pas à plaindre). Mais à côté de ça, la réponse est totalitaire et révolutionnaire. Lors de la Révolution française, la formidable Déclaration des droits de l’homme et du citoyen a été occultée par la dictature du « Peuple » (qui en fait se retrouvait concentré dans quelques personnes), par les « mesures d’exception », la chasse aux « ennemis intérieurs », par la Terreur.
Les révolutions n’ont jamais donné rien de bon. C’est dommage. Ça serait si bien : on renverse le mal par la force et le bien apparaît… Malheureusement ça ne marche pas comme ça. Peut-être parce que ce qu’on renverse n’est pas le mal absolu. Peut-être parce que celui qui renverse n’est pas le bien absolu. Peut-être parce qu’il manque toujours un véritable programme constructif et fédérateur qui permettrait de sortir des ruines de la révolution pour se diriger vers plus de justice. Peut-être parce que les Lénine, Staline, Robespierre, Mao et autre Hitler sont toujours avides de profiter du pouvoir que leur offre la révolution.

Au Diable !
Le gilet jaune a parfois raison. Il est parfois légitime. Il a le droit de manifester. Il a le droit de crier son dégoût de l’injustice, de la corruption. Il a le droit de revendiquer. Mais soyons clairs : au diable celui qui veut m’imposer de penser comme lui. Au diable celui qui se prend pour l’émanation du peuple et prétend le représenter en globalité face au pouvoir en place. Au diable celui qui impose aux autres ses revendications sans aucun respect pour celui qui veut différemment. Au diable celui qui refuse le dialogue. Au diable celui qui justifie la violence au nom d’un soi-disant droit de se faire entendre par les sourds, dans un pays proche de l’État-providence. Au diable celui qui dit « donne-moi de l’argent parce que j’en veux ou je te renverse et je prends ta place ». Vive le rebelle ! Au diable le révolutionnaire totalitaire qui se cache derrière la masse pour faire croire qu’il est tout le monde !

Michaël Sens

Tags : Eric DrouetGilets jaunesIngrid LevavasseurMichaël Sens
Article précédent

Crise de la démocratie ou crise de la parole ?

Article suivant

Bitter Winter : 45 reporters arrêtés par le Parti Communiste Chinois

Michaël Sens

Michaël Sens

Michaël Sens est le pseudonyme d'un auteur à la célébrité modérée, chroniqueur dans plusieurs magazines, adepte pour Rebelle(s) de l'écriture pamphlétaire modérée, un style créé ad hoc, grand pourfendeur de pas grand chose, grand promoteur de la raison quand elle n'est pas d'Etat, et amoureux des libertés publiques.

Article suivant
Bitter Winter : 45 reporters arrêtés par le Parti Communiste Chinois

Bitter Winter : 45 reporters arrêtés par le Parti Communiste Chinois

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)

Articles récents

  • Enfin des psychanalystes qui sortent du trou ! 26 juin 2022
  • Avec moi, le monde s’éteindra 24 juin 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 8 24 juin 2022
  • Chaque jour est une fin 23 juin 2022
  • Attention! Vous êtes tous infectés 23 juin 2022
  • Ciné-poème : Ida 23 juin 2022
  • Astérix et Obélix au paradis 16 juin 2022
  • Geek Theory 16 juin 2022
  • Contre la présidentialisation, un régime présidentiel ! 15 juin 2022
  • 8 1/2 15 juin 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 7 15 juin 2022
  • Corrida, le corps sacrificiel 13 juin 2022
  • Street Fighting Man : si Che Guevara était guitariste… 12 juin 2022
  • Trois questions à… Gilles Pudlowski 12 juin 2022
  • Trois questions à… Alain Bauer 11 juin 2022
  • Cycle disco : 1978 (2ème partie) 5 juin 2022
  • L’Ultime secret, Bernard Werber, 2003. 5 juin 2022
  • Le vieux-croyant, la guerre et le Pape 27 mai 2022
  • Cycle Glam Rock : T. Rex 2/3 – L’album Electric Warrior 26 mai 2022
  • Cycle disco : 1977 – 1978 (1ère partie) 24 mai 2022
  • Editorial 16 mai 2022
  • Dossier des cons, Alexander Makogonov, médaille d’honneur 16 mai 2022
  • Penser «Les Cons» 16 mai 2022
  • Dialogues de pervers 16 mai 2022
  • Le Grand Catalogue des livres imaginaires 16 mai 2022
  • Faut-il se battre contre les cons? 16 mai 2022
  • Que vive le con ! 16 mai 2022
  • Le «vote con» 16 mai 2022
  • Génération offensée – De la police de la culture à la police de la pensée 16 mai 2022
  • La foire aux « cons », c’est maintenant! 16 mai 2022
  • Il en tient une couche ! 16 mai 2022
  • Les cons, quel sujet à la con ! 16 mai 2022
  • Vous sentez-vous à l’article de l’humour ? – suivi de – Toutes mes cons sidérations 16 mai 2022
  • Tout syncrétisme éloigne les “cons” 16 mai 2022
  • Nous voilà bien entartuffés 16 mai 2022
  • Ce qu’un patron peut faire 16 mai 2022
  • Mais qui a tué Harry ? 8 mai 2022
  • Parfum de poudre  8 mai 2022
  • Dictionnaire amoureux de l’entreprise et des entrepreneurs 8 mai 2022
  • Interview exclusive d’Antoine Fratini 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 6 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 5 7 mai 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 4 1 mai 2022
  • Le corps augmenté et l’âme réduite 1 mai 2022
  • Rosnay le magnifique 29 avril 2022
  • l’infini de la nature 29 avril 2022
  • L’esprit Jedi du ludosport, ce combat au sabre laser… 29 avril 2022
  • L’étrange maladie des oligarques russes 29 avril 2022
  • Cette goutte qui manquerait à l’océan 24 avril 2022
  • Le bon vin de l’ivresse 24 avril 2022
  • Président écrivain… 23 avril 2022
  • Jim Harrison, rebelle américain amoureux de la France, mort son bic à la main 22 avril 2022
  • Juliette Cazes, à propos de son livre Funèbre ! 22 avril 2022
  • La France de face 20 avril 2022
  • L’OTAN a-t-elle vraiment promis à la Russie de ne pas s’étendre vers l’Est ? 20 avril 2022
  • Nier « la mission humanitaire de l’URSS » devient un délit en Russie 19 avril 2022
  • Un président, ça sert à quoi? 16 avril 2022
  • À la veille des Présidentielles, faut-il se rebeller contre les économistes? 16 avril 2022
  • Le président, c’est celui qui doit obéir? 14 avril 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 3 14 avril 2022
  • De Las Vegas au Ladakh 13 avril 2022
  • A quoi peut encore servir un président? 13 avril 2022
  • Fric et poésie font mauvais ménage 13 avril 2022
  • La poste, irremplaçable service public 12 avril 2022
  • Impossible 10 avril 2022
  • Rencontre avec Emmanuel Desjardins 10 avril 2022
  • Coup de Jarnac contre la poésie 10 avril 2022
  • Fais-moi peur ! 9 avril 2022
  • Quand ma lune bleue redevient or 9 avril 2022
  • L’ambivalence du sacré 9 avril 2022
  • Qui sont et que feront les nouveaux Rebelle(s) ? 3 avril 2022
  • Sacré rêveur, le « rêveur sacré » ! 3 avril 2022
  • Le sacré, c’est Vuitton, c’est du luxe ? 3 avril 2022
  • L’amour aux temps du nucléaire 3 avril 2022
  • L’arbre monde 3 avril 2022
  • Le chemin de croix du mythe… à la casse 3 avril 2022
  • Même pas peur… 27 mars 2022
  • Gouvernés par la peur 27 mars 2022
  •  Comment reconnaître un « grand » poète ? 27 mars 2022
  • À fond la caisse ! 27 mars 2022
  • Un rêve « fin de siècle »  27 mars 2022
  • Mémoires Démasqués : chapitre 2 24 mars 2022
  • À tous ceux qui ont oublié de saluer la mémoire d’Alain Krivine 22 mars 2022
  • Poutine sur le front 22 mars 2022
  • Il Paradiso, subito ! 20 mars 2022
  • Ibrahim Maalouf et le Free Spirit Ensemble 20 mars 2022
  • En attendant la résurrection des morts, un chef-d’œuvre à voir ou à revoir 20 mars 2022
  • Jedi never die 20 mars 2022
  • Socrate à vélo 20 mars 2022
  • Le punk : épiphanie et eschatologie 20 mars 2022
  • Les acteurs de la diversité spirituelle ont plein de choses à nous dire ! 20 mars 2022
  • Poèmes du grand poète Ukrainien Taras CHEVTCHENKO 20 mars 2022
  • Le pape François et l’Ukraine: en a-t-il dit assez ? 20 mars 2022
  • Quand le mouvement antisecte traque les pacifistes pour Poutine 16 mars 2022
  • Russie : Un premier prêtre orthodoxe arrêté pour avoir critiqué la guerre 14 mars 2022
  • Somebody To Love de Jefferson Airplane 13 mars 2022
  • Sting réinterprète “Russians” 12 mars 2022
  • L’attaque du monde sportif contre la “sportokratura” de Poutine 10 mars 2022
  • L’île d’or 9 mars 2022
  • Poème de Anna Akhmatova 7 mars 2022
  • Kirill Patriarche de Moscou : la guerre est une guerre contre la gay pride 7 mars 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2021

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2021

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?