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La psychiatrie : Il faut l’interdire

Antoine Fratini Par Antoine Fratini
15 octobre 2019
dans Société(s)
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Thomas Szasz, 1930-2012

La coercition comme cure : un examen critique de l’histoire de la psychiatrie

« Toute l’histoire moderne, comme elle est enseignée et pensée, est purement conventionnelle. Pour de suffisantes raisons toutes les personnes acceptent de se soumettre à une autorité, à une union heureuse basée sur la fraude et la dissimulation, promulguant le mensonge. »

Lord Acton

Depuis plus d’un siècle, les psychiatres soutiennent que la psychiatrie est difficile à définir à cause de l’ampleur de son but. En 1886, Emil Kraepelin, considéré comme le plus grand psychiatre de l’époque, déclarait : « Notre science n’est pas encore arrivée à un consensus sur ses principes les plus fondamentaux, ni sur ses buts, ni sur les significations de ses buts ».

Au contraire, j’affirme pour ma part que la définition de la psychiatrie est tout à fait claire. Le problème est qu’en la définissant avec honnêteté (c’est-à-dire en reconnaissant ses buts évidents et les moyens employés pour les atteindre), la psychiatrie s’avère socialement inacceptable et professionnellement destructrice. La tradition psychiatrique, l’attente sociale et la loi identifient la coercition comme une caractéristique particulière de cette profession. Par conséquent, je considère la psychiatrie comme la théorie et la pratique d’une coercition rationalisée en diagnostic et justifiée en tant que traitement médical visant à protéger, d’une part, le patient de lui-même et d’autre part, la société du patient.

L’histoire de la psychiatrie que je présente ici ressemble à l’histoire critique de la mission chrétienne. Les sauvages et les païens ne souffraient pas de l’absence de Jésus ou d’une aide théologique et ne cherchaient pas l’aide des missionnaires. Pareillement, les psychotiques ne souffrent pas de l’absence d’étiquette clinique et de traitement psychiatrique et ne cherchent pas les services des psychiatres. Ceci explique la tendance des missionnaires à mépriser les païens et des psychiatres à mépriser les psychotiques, et ce en cachant leurs vrais sentiments derrière le masque de la cure et de la compassion. Tout fanatique croit détenir la vérité, pense devoir améliorer les autres et avoir le droit d’intervenir dans leurs vies.

La coercition comme traitement

La non-reconnaissance du fait que la coercition est une caractéristique et un élément potentiellement présent dans tout traitement psychiatrique est intrinsèque à la définition que les dictionnaires proposent de la psychiatrie. L’Unabridged Webster définit la psychiatrie comme « une branche de la médecine traitant les troubles mentaux, émotifs et comportementaux ». Tout simplement, les relations psychiatriques volontaires diffèrent des traitements psychiatriques imposés dans la même mesure que les relations sexuelles volontaires entre adultes diffèrent des agressions sexuelles que l’on nomme « viols ». Parfois les psychiatres traitent avec leurs patients, mais comme je l’ai souligné dans mon ouvrage, il ne suffit pas de distinguer les relations psychiatriques imposées de celles qui sont consensuelles, il faut aussi que les premières soient contrastées. Le qualificatif de « psychiatrique » doit être appliqué aux unes ou aux autres de ces relations, mais pas à toutes. Tant que les psychiatres et la société refuseront de reconnaître ça, il ne pourra y avoir de vraie historiographie psychiatrique.

Les écrits d’historiens, médecins, journalistes et de tous ceux qui s’occupent de l’histoire de la psychiatrie se basent sur trois fausses prémisses : que les maladies mentales existent, qu’elles consistent en des maladies du cerveau et que l’incarcération de « dangereux » patients mentaux est une cure raisonnable et moralement juste. Les problèmes ainsi créés sont alors représentés par l’insuccès – volontaire ou non – à distinguer deux types radicalement différents de pratiques psychiatriques : consensuelle ou imposée.

Dans les sociétés libres, les relations entre adultes sont normalement consensuelles. Ces relations – au travail, dans la médecine, la religion, la psychiatrie – ne posent pas de problème particulier d’un point de vue légal et politique. Par contraste, les relations coercitives – une personne autorisée par l’État à obliger une autre personne à accomplir ou à ne pas accomplir un acte de son choix – concernent la politique et sont moralement problématiques.

La maladie mentale est une maladie factice et le diagnostic psychiatrique est une forme de dédain masqué. Le traitement psychiatrique est une coercition présentée comme cure ayant lieu dans des prisons appelées « hôpitaux ». D’un point de vue formel, la fonction sociale de la psychiatrie apparaissait plus clairement dans le passé. L’hospitalisé était emprisonné contre sa volonté. Il était considéré inapte à la liberté. Vers la fin du xix e siècle, un nouveau type de relation psychiatrique émergeait : les personnes souffrant de « symptômes nerveux » devenaient des patients pour médecins spécialistes des « troubles nerveux ». Les psychiatres distinguaient alors deux types de maladie mentale, les névroses et les psychoses : les personnes se lamentant de leurs propres comportements étaient rangées dans la classe des névroses, tandis que les personnes dont les comportements étaient objets de plaintes de la part d’autrui étaient rangées dans la classe des psychoses. La négation légale, médicale et sociale de cette simple distinction, avec ses implications de grande portée, caractérise la psychiatrie moderne.

L’Association Américaine de Psychiatrie, fondée en 1844, fut d’abord nommée Association de la Super-intendance Médicale de l’Institut Américain pour la Maladie Mentale. En 1892, elle fut rebaptisée Association Médico-Psychologique Américaine et en 1921 son nom changea à nouveau en Association Américaine de Psychiatrie (APA). Dans sa première résolution officielle, l’APA déclara : « Le sens unanime de cette convention est que la tentative d’abandonner l’usage des moyens de contrainte personnelle ne sert pas l’intérêt des patients ». L’APA n’a jamais contesté l’interprétation faisant de la folie une maladie et de la coercition une cure. En 2005, Steven S. Sharfstein, Président de l’APA, renouvela son appui professionnel en faveur des traitements coercitifs. Se plaignant de la réticence de certains psychiatres vis-à-vis de l’approche coercitive, il déclara : « Une personne souffrant de paranoïa et ayant été hospitalisée plusieurs fois déjà à cause de son caractère dangereux et de sa réticence à suivre des traitements en dehors des hôpitaux est un exemple parfait pour tous ceux qui voudraient bénéficier d’une telle approche (coercitive). Nous devons équilibrer la liberté et les droits individuels avec les politiques coercitives de cure ». Sept mois plus tard, Sharfstein oublia avantageusement d’avoir récemment placé la cure et la coercition dans un même acte, la « cure coercitive ». En défendant le « traitement assisté », un euphémisme pour la coercition psychiatrique, il déclara : « Dans le traitement assisté, en tant que loi Kendra de New York, le rôle primaire des psychiatres est le rétablissement de la santé du patient ».

Un couple paradoxal

Psychiatrie et société forment un couple paradoxal. Le progrès scientifique majeur que la psychiatrie est appelée à réaliser est d’accepter l’idée, pour l’instant intolérable, que la maladie mentale est un mythe et que les traitements mentaux sont des chimères. Le progrès scientifique majeur et indéniable de la médecine aujourd’hui consiste à reconnaître que les déséquilibres chimiques et les « sclérotisations neuronales » sont des clichés fascinants mais ne démontrent pas que les problèmes existentiels sont des maladies qui légitiment des cures sans l’accord des patients. Le plus souvent les psychiatres jouent le rôle de jurés, juges et gardiens de prison et le sentiment le moins agréable qui puisse vous assaillir est celui d’être en fait des tortionnaires médicaux, opportunistes et bien rémunérés par la société. Mais tout cela est bien trop horrible à affronter. On préfère appeler « maladies » des comportements indésirables et traiter de « malades » les personnes qui ont des troubles, en obligeant ces derniers à se soumettre à des « cures » psychiatriques. Il est donc aisé de comprendre pourquoi les bien-pensants sont peu enclins à remettre en question l’idée de maladie mentale. Où les mènerait l’abandon d’une psychiatrie dépeinte comme le drame de médecins héroïques combattant l’horrible maladie ?

Alexandre Soljenitsyne écrit pertinemment que « la violence peut être voilée uniquement par le mensonge, lui-même maintenu par la violence. Tout homme s’étant imposé la violence comme méthode est inévitablement obligé à prendre le mensonge comme principe ».

Tout discours psychiatrique reste malhonnête

Le discours scientifique se base sur l’honnêteté intellectuelle. Le discours psychiatrique reste intellectuellement malhonnête : le mandat social de la psychiatrie est basé sur la protection paternaliste du patient mental envers lui-même et du public envers le patient mental. Toutefois, dans la littérature professionnelle et même populaire, cette caractéristique de la discipline psychiatrique est de loin la moins notée. Souligner cet aspect est considéré comme de mauvais goût. Il serait difficile d’exagérer en voulant montrer jusqu’à quel point les historiens de la psychiatrie tout comme les professionnels de la santé mentale et les journalistes ignorent, nient et rationalisent les traitements psychiatriques involontaires. Cette négation s’est même enracinée dans le langage. Psychiatres, hommes de loi, journalistes, membres de comités d’éthique, tous appellent habituellement « hospitalisation » l’incarcération dans un hôpital psychiatrique, et « traitement » la torture imposée par la force aux patients. En continuant le même genre de raisonnement faussé dès le départ, les historiens de la psychiatrie associent l’avancement du diagnostic et du traitement psychiatriques au « progrès des neurosciences ». Au contraire, personnellement, j’attire l’attention sur ce que les psychiatres ont fait subir aux personnes qui ont refusé leur « aide » et sur la manière dont ils ont rationalisé leurs violations « thérapeutiques » de la dignité et de la liberté de leurs bénéficiaires apparents.

Je considère les relations humaines consensuelles, même quand elles sont détournées par l’une ou l’autre des parties radicalement différentes tant sur le plan moral que politique, des relations humaines dans lesquelles une partie, autorisée par l’État, prive l’autre de sa liberté. L’histoire de la médecine non moins que l’histoire de la psychiatrie abonde d’interventions de médecins ayant nui plutôt qu’apporté aide à leurs patients. La saignée en est l’exemple le plus fameux. Néanmoins, les médecins se sont jusqu’à présent abstenus de recourir aux sanctions d’État afin d’imposer systématiquement des traitements coercitifs à leurs patients. Au contraire, l’histoire de la psychiatrie n’est au fond que l’histoire de l’imposition de traitements dommageables sur personnes appelées « patients mentaux ».

En synthèse, là où les historiens de la psychiatrie voient des histoires de maladies terribles et de cures héroïques, je vois plutôt des histoires de personnes victimes de terribles injustices nommées « thérapeutiques ». Devant des problèmes personnels irritants, les gens préfèrent souvent un mensonge simple et à la mode plutôt qu’une vérité. Ceci est une des importantes et amères leçons à tirer de l’histoire de la psychiatrie.

Une des tristes vérités que j’ai voulu préciser est que, privée de son ornement pseudo-médical, l’histoire de la psychiatrie apparaît peu intéressante. Pour y trouver de l’intérêt j’ai tenté d’imiter ce que, selon Walt Whitmann, fait le poète le plus grand : « sortir les cadavres de leurs cercueils, les remettre sur pied… Il dit au passé de marcher devant lui afin de pouvoir le réaliser ». À tel propos, quand il m’a été possible, j’ai repris exactement les mêmes termes qu’utilise la psychiatrie pour justifier l’insistance obstinée, qui dure depuis trois siècles, à affirmer que la coercition psychiatrique est une cure médicale.

Thomas Szasz
Traduit de l’anglais par Antoine Fratini

Qui fut Thomas Szasz ?
Thomas Szasz (1930-2012) était un psychiatre et un psychanalyste hongrois, membre de l’Association Américaine de Psychanalyse, membre honoraire de l’Association des Psychanalystes Européens et Prof. émérite de Psychiatrie à l’Université de Syracuse dans l’État de New York. Docteur en médecine et en physique, sa double et imposante culture humaniste et scientifique lui permirent de devenir le critique plus important de la psychiatrie. Chaque année à New York un Prix portant son nom est décerné aux opérateurs du champ psy qui se sont particulièrement distingués dans la défense des droits des patients psychiatriques.

Tags : anti-psychiatrieAntoine Fratinicritique de la psychiatrieThomas Szasz
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Antoine Fratini

Antoine Fratini

Psychanalyste clinicien, président de l’Association Internationale de Psychanalyse Laïque, membre de l’Académie Européenne Interdisciplinaire des Sciences et de la New York Academy of Sciences. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont La statue du psychanalyste ? Jung animiste ? Psyché et Nature, et La psychanalyse au bûcher. Il gère le blog « psychoanimisme, quand la psychanalyse rencontre l’animisme ».

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