Depuis les carnages du 13 novembre, nul besoin, hélas, de STAR WARS pour percevoir les SIGNES DU TEMPS ! Et l’attitude des médias devant l’horreur absolue des attentats en série commis par des terroristes kamikazes en plein Paris, après les crimes de DAECH (ou DAESH), sera de plus en plus délicate à définir juste.
D’ores et déjà, évitons les grandes phrases creuses et la surface des grands mots !
Plus que jamais il s’agit de RÉFLÉCHIR L’ACTUALITÉ, DE MIEUX COMPRENDRE POUR TOUT REVOIR. Gardons le sang-froid de la réflexion décalée et aidons les jeunes générations « au bord de la rupture » à se chercher « avec l’énergie du désespoir de nouveaux modèles identificatoires pour sauver toute la mise du monde et se débarrasser de tout djihad comme « solution » globale ou finale » selon la formule employée par Jean-Luc Maxence dans son éditorial.
Dès son premier numéro, REBELLE(S), en page 37, sous la signature de Michaël Sens, souligne aussi que « la terreur, c’est bien sûr la victoire du terrorisme ». Et notre bimestriel se propose de dire la vérité, oui, mais avec « un peu plus de recul, moins de sensationnalisme, avec plus d’intelligence et surtout de responsabilité déontologique ».
Par Rebelle(s)
Lire un extrait de l’article cité : Les médias sont-ils les complices de DAESH ?