• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 23 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison !

Patrick Boccard Par Patrick Boccard
22 février 2023
dans Société(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Droit des femmes - Demain s'ouvre au pied de biche oeuvre de MissTic - © photo Eric Desordre
Demain s’ouvre au pied de biche, oeuvre de Miss.Tic – droit des femmes © photo Eric Desordre

UN VÉRITABLE ANTI – DROITS DES FEMMES

La pertinence du conseil donné par Simone de Beauvoir aux femmes et à celles et ceux qui sont convaincus que l’égalité des droits des deux sexes est la base d’une société juste, est plus que jamais avérée par les divers événements qui bousculent l’actualité récente. Sans doute l’écrivaine féministe avait-elle anticipé cette situation en invitant à « ne jamais oublier qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse, pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devez rester vigilantes votre vie durant. »1

Jamais, alors que de nombreux progrès avaient contribué ces dernières années à l’amélioration du statut des femmes et à la déconstruction des discriminations de genre, ici en France, ailleurs à l’Ouest de l’Europe, au cœur de l’Afrique, au fond de l’Amérique du Sud ou aux confins des États-Unis, les droits des femmes n’ont été l’objet de tant de menées destructrices.

En juin 2022, le « backlash » a fait la une de plusieurs médias français, pour décrire ce qui se jouait dans l’annulation de l’arrêt Roe vs Wade. Cette décision de la Cour suprême des États­Unis a remis en cause le droit à l’avortement. Le terme « backlash » – traduit par « retour de bâton » en français et théorisé pour la première fois par Susan Faludi, journaliste américaine – est communément utilisé pour désigner l’action de mouvements conservateurs et « masculinistes » qui réagissent violemment dès que les droits des femmes connaissent de nouvelles avancées. Ils déploient des stratégies non seulement pour saper ces progrès, mais aussi pour faire reculer les droits des femmes de façon générale.

Un récent rapport2 démontre l’existence d’un véritable front anti-droits des femmes rassemblant des mouvements qui « se retrouvent autour d’un projet de société commun, basé sur une vision sexiste et hétéronormée de « la » famille et de « la » sexualité et sur le contrôle du corps des femmes. ». Un autre rapport3 portant sur une période de dix ans décortique l’action de plus de cinquante acteurs anti-genre opérant en Europe et démontre que leurs interactions dans la propagation de cet arsenal idéologique est financée par des fonds qui proviennent de « la dark money de la droite chrétienne américaine, mais aussi de la Russie ».

A ces fonds de l’ombre s’ajoutent des soutiens en provenance d’élites sociales et économiques qui œuvrent à visage plus ou moins découverts, y compris en France, à l’image de Claude Bébéar, fondateur du géant de l’assurance AXA, réputé proche de l’Opus Dei ou du vicomte Philippe De Villiers qui aurait financé le mouvement anti-genre de la Fondation Lejeune. En 2006 la Mission interministérielle française de veille et de lutte contre les sectes (MIVILUDES) avait décrit un mécanisme sophistiqué de collecte de fonds développé par la puissante association Tradition, Famille et Propriété (TFP), spécialiste de « l’astroturfing », technique consistant à simuler un mouvement spontané ou populaire pour influencer l’opinion.

Plus étonnant, de nombreuses organisations bénéficient du soutien des pouvoirs publics pour conduire leurs opérations d’activisme anti-genre. Ainsi, entre 2009 et 2018, les financements accordés par l’Union Européenne aux mouvements anti-genre a atteint un total de plus de 408 millions €. Ces financements publics sont concentrés dans cinq domaines principaux : induire les femmes en erreur, notamment celles qui souhaitent avorter, endoctriner les jeunes, servir de chambre d’écho aux gouvernements favorables à des politiques anti-genre, l’activisme politique et la diplomatie d’influence anti-genre.

Grâce à ces ressources, des mécanismes très sophistiqués sont mis en place pour canaliser l’activisme de certains adeptes des réseaux sociaux et les transformer en acteurs politiques anti-genre.

Ces mouvements, pour hétérogènes qu’ils soient, fédèrent une vaste collection de profils équipés d’armes de destruction très variées. S’y retrouvent des nostalgiques d’ordres anciens, des dominateurs frustrés, des dictateurs assoiffés, des prédicateurs sans foi ni loi, des tricheurs invétérés et d’autres escrocs viscéralement opposés au progrès humain, mobilisant sans vergogne menaces, mensonges, sévices physiques ou mentaux et autres crimes.

UN « BACKLASH » À L’ŒUVRE PARTOUT DANS LE MONDE

La liste est longue des atteintes dont les femmes sont actuellement victimes, certaines payant ces agissements de leur vie, d’autres perdant les bénéfices d’ardents combats plus ou moins récents, toutes, notamment les plus jeunes, réalisant que leur avenir peut être marqué d’un retour en arrière par rapport à des perspectives de parité et d’égalité qui leur paraissaient acquises à jamais.

L’Iran, l’Irak, l’Afghanistan, l’Ukraine… sont depuis plusieurs mois le théâtre de crimes contre l’équité dû aux femmes, au motif qu’elles rejettent les modes d’organisation sociale empruntés à des dictatures, qu’elles refusent les contraintes imposées par des religions, qu’elles s’associent aux combats contre des envahisseurs, qu’elles critiquent les privations d’étudier qu’elles subissent ou qu’elles revendiquent le droit à disposer de leur corps.

Plus inquiétante est la multiplication des reculs des droits accordés aux femmes de longue date, observée dans certains pays chantres du respect des droits des citoyennes et des citoyens ou des principes et des valeurs de la démocratie. Ainsi des dispositions projetées ou mises en œuvre par certains États américains en matière d’avortement. Ainsi également en France où de nombreux responsables politiques sont maintenus à leur poste alors qu’ils sont mis en cause pour des faits de violences sexistes ou sexuelles.

LA DÉNONCIATION POLITIQUEMENT CORRECTE NE SUFFIT PLUS

De nombreuses données prouvent qu’un climat aussi délétère, s’il contribue indubitablement à miner la santé physique et mentale des femmes, contribue incontestablement à libérer tous les fantasmes des frustrés du patriarcat et explique en partie le développement spectaculaire des crimes et violences sexistes, souvent impunis, dont sont victimes les femmes et les filles, dans leurs contextes privés et professionnels.

Cet état des lieux impose une vigoureuse mobilisation de tous les acteurs susceptibles de mettre fin à ces régressions criminelles qui fissurent la cohésion sociale et rongent le vivre ensemble. Parmi eux, les « mouvements féministes (qui) jouent un rôle important dans l’obtention et l’avancement des droits des femmes sur un large éventail de questions, notamment la violence à l’égard des femmes, les droits économiques, y compris l’accès aux services de garde d’enfants, les droits de succession et les droits fonciers, les droits reproductifs et la représentation politique »4. À défaut, il risque d’être bientôt trop tard pour sauver les acquis résultant de l’engagement et des luttes de générations passées, que l’honneur et le respect imposent de défendre pied à pied. Il est largement temps de passer de la parole aux actes, de remplacer la dénonciation politiquement correcte par la résistance active contre les mercenaires du sexisme et les barbares de l’anti-genre.

1Réaction de l’écrivaine face à l’enthousiasme de certaines féministes suite au discours de Simone Veil à l’Assemblée Nationale en novembre 1974, prélude à la loi du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de grossesse

2https://www.jean-jaures.org/wp-content/uploads/2023/02/Rapport_Backlash.pdf

3https://www.epfweb.org/sites/default/files/2022-03/EPF_EN_TOTI_9SEP%20DEF-FR_Final%20.pdf

4https://www.mamacash.org/fr/le-fonds-revolution

Tags : Claude Bébéardroits de la femmeMiviludesOpus DeiPatrick BoccardPhilippe de VilliersSimone de BeauvoirSimone WeilSusan Faludi
Article précédent

Le temps des féminismes

Article suivant

Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ?

Patrick Boccard

Patrick Boccard

Patrick BOCCARD, de nationalité franco-suisse, est né en 1951 à Bourguignons, village situé à la frontière de la Champagne et de la Bourgogne, dans une famille de minotiers. Il est marié à la poéte Martine KONORSKI et père de trois enfants. De formation littéraire, il a effectué son parcours dans la communication et les ressources humaines, dans des institutions et des entreprises françaises et internationales, puis comme consultant indépendant. Il collabore régulièrement à des journaux et revues. Il est l’auteur de « Les femmes ne sont pas faites pour courir » consacré aux discriminations de genres dans le sport (Ed. Belin, 2015).

Article suivant
Prison

Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ?

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?