• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
samedi 23 septembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ?

Michaël Sens Par Michaël Sens
7 octobre 2022
dans Société(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Euthanasie, têtes de mortsLa Cour Européenne des Droits de l’Homme vient de se prononcer sur une affaire d’euthanasie (en Belgique) pour la première fois. La Cour a condamné la Belgique pour un manque de garanties dans le contrôle a posteriori des actes d’euthanasie. En l’espèce, le médecin qui avait pratiqué l’euthanasie sur une personne dépressive, avait ensuite siégé dans la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie chargée d’évaluer chaque acte d’euthanasie exécuté en Belgique. Il lui a donc été possible d’être à la fois juge et partie et la Cour a estimé qu’un tel manque d’indépendance de la Commission était dangereux et violait la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

Cependant, la Cour a jugé que la Convention ne s’opposait pas à la pratique de l’euthanasie en soi, de quoi refroidir les « anti » et rassurer les « pro ». Alors que penser de cette pratique, faut-il y voir un danger pour notre société, ou un progrès dans le respect de la dignité humaine, un « droit de mourir dans la dignité » comme le clament ses supporters ?

On pourrait tout d’abord objecter que se suicider, en tant qu’acte humain, n’est pas forcément le mouvement le plus digne qu’un homme et une femme puissent exercer, et que d’autres temps auraient plutôt vu dans la résistance à la souffrance la clé pour mériter le qualificatif « digne ». Mais d’un autre côté, nous avons tous (où beaucoup d’entre nous, en tous cas), l’idée qu’il serait préférable de mourir plutôt que d’être dans un état de dégradation totale et de souffrance insupportable. Quid de la situation d’un grand brûlé dont l’état ne peut s’améliorer. Quid de ce qui nous arriverait si nous étions atteints d’un cancer des os incurable, en phase terminale, ne pesant plus que quelques kilos et n’ayant plus la force de bouger tout en n’évitant la souffrance qu’à hautes doses d’opioïdes ? Ce sont des situations extrêmes qui sont certainement celles qui font pencher le débat du côté de la légalisation de l’euthanasie.

La loi belge sur l’euthanasie, le modèle

Mais puisque nous parlons de la loi belge, et que c’est cette loi qui sert de modèle aux pays qui, comme la France, envisagent la légalisation de l’euthanasie, discutons-en les tenants. Depuis 2002, l’euthanasie est devenue légale en Belgique. 12 000 personnes ont été euthanasiées en Belgique à leur demande depuis vingt ans. Mais le nombre augmente rapidement année après année. En 2021 c’est 2699 personnes qui se sont fait euthanasier.

C’est un médecin – ou deux selon les cas – qui prend la décision de l’autoriser et de la pratiquer. La demande doit venir de l’intéressé lui-même bien sûr, et le médecin doit s’assurer que la demande est volontaire, répétée et réfléchie, et qu’elle ne résulte pas d’une pression extérieure. La personne, si elle est majeure ou mineure émancipée doit en outre être « dans une situation médicale sans issue et faire état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable ». Pour un mineur non émancipé (oui, les mineurs peuvent aussi en faire la demande, s’ils ont la « capacité de discernement »), la situation est pour l’instant plus contraignante puisque qu’il doit être « dans une situation médicale sans issue de souffrance physique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui entraîne le décès à brève échéance ».

Ces formulations laissent une grande place à l’interprétation. Les motifs sont divers, mais la majorité des cas en 2021 concernaient des patients souffrant de cancers (62%). En ce qui concerne les souffrances physiques, la part d’arbitraire n’est pas mince. Une souffrance insupportable, c’est difficile à évaluer. Les gens réagissent différemment face à la souffrance. Pour Rambo, aucune souffrance n’est insupportable. Pour moi, la limite est clairement plus basse. Vient ensuite le critère de l’incurabilité. On pourrait croire qu’il est un garde-fou suffisant. Cependant, il a rapidement été considéré par la Commission que si vous refusez votre traitement, alors vous être incurable. Oui, c’est un peu déraisonnable, mais c’est vrai. Par ailleurs, la Commission a aussi estimé qu’en cas de polypathologie, le critère d’incurabilité était réputé rempli. On a donc des cas de patients âgés atteints d’incontinence, d’arthrite et de perte progressive de la vue, qui ont pu se faire euthanasier sans entraves. L’avocat Erwan Le Morhedec (bon, il est catholique, ce qui laisse planer un doute sur sa neutralité sur ce sujet, mais qui dit qu’il faudrait être neutre ?) parle même du cas d’une femme atteinte de DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age, une maladie de la rétine pouvant mener à une perte de la vue) qui craignait d’être envoyée en maison de repos, à laquelle on a proposé l’euthanasie pour lui éviter ladite maison de repos.

Les souffrances psychiques

Pour les souffrances psychiques, la place de l’arbitraire n’est pas mince non plus, elle est totale ! Qui peut dire si une souffrance psychique est incurable ? Aucun soi-disant spécialiste de la question n’a jamais réussi à déterminer avec précision les causes d’une souffrance psychique. Personne ne peut prétendre qu’une souffrance psychique serait incurable, si ce n’est en disant « on ne sait pas soigner ça ». Mais comme ils ne savent soigner aucune maladie psychique, la porte est ouverte, la porte de la boite de Pandore. Oui, c’est une boite à porte, tant elle est grande. La personne euthanasiée dont le fils avait fait appel à la CEDH dans le cas précité était « dépressive ». C’est d’ailleurs le cas d’un grand nombre de personnes euthanasiées en Belgique.

Oui, être « dépressif » ça peut être difficile, voire conduire à des situations insupportables. Mais est-ce incurable ? Eh bien, certains diront oui, d’autres non, mais aucun médecin ne peut aujourd’hui scientifiquement dire que telle ou telle personne ne se sortira jamais de sa dépression, parce qu’ils n’ont aucune idée de sa cause réelle. Des gens sont dépressifs pendant plusieurs années puis cessent de l’être tous les jours. Parfois il semblerait d’ailleurs que la cause de la dépression soit à chercher dans des traumas, ou dans des relations « toxiques » comme on aime à dire aujourd’hui. Elles peuvent certainement être dues à des carences en vitamines ou en autres micro-nutriments dans certains cas. Quoi qu’il en soit, en ouvrant la porte aux souffrances psychiques pour avoir le droit de se faire aider par l’État dans son suicide (par l’intermédiaire d’un médecin), on permet que n’importe qui puisse arriver et dire « je ne vais pas bien dans ma tête, c’est insupportable et ça fait des années que ça dure, abattez-moi et n’en parlons plus ». Et le médecin de s’exécuter.

Il s’agit d’un choix crucial de société. Si l’on peut comprendre le suicide, et l’envie d’en finir de personnes qui souffrent, la question est de savoir si en tant que société, on doit favoriser le geste, et aider la personne qui veut se suicider à le faire. Certes, on peut imaginer des cas, certainement rares, où l’empathie nous dicterait d’aider quelqu’un à en finir. Mais en légalisant l’euthanasie, on ouvre la boite de Pandore. Aujourd’hui on écoute le dépressif nous dire à quel point sa vie est dure (et elle l’est certainement), et on lui porte, à sa demande bien sûr, le coup fatal. Et demain ? L’handicapé qui le vit mal pourra-t-il arguer du sentiment qu’il a que son handicap est insupportable pour obtenir le coup de grâce de son médecin ? C’est déjà le cas. En fait, il n’y a quasiment aucun garde-fou pour parer aux dérives inévitables qui se produisent dans les pays où l’euthanasie est légale.

Des dérives et un changement de paradigme

La loi Leonetti qui empêche l’acharnement thérapeutique est en fait assez bien adaptée (pas parfaite certes, mais la loi n’empêchera jamais la souffrance humaine) aux cas extrêmes des malades incurables en phase terminale. D’ailleurs, l’augmentation des doses de morphine dans les soins palliatifs s’apparente presque à de l’euthanasie dans certains cas car elle accélère grandement la débâcle des organes vitaux et abrège les souffrances du patient, et sa vie. Mais on parle là de gens qui vont décéder très rapidement de toutes façons.

Le reste (la légalisation de l’euthanasie), c’est la porte ouverte à toutes sortes de dérives, jusqu’au jour où un médecin pourra décider à la place du patient. Mais c’est surtout un changement de paradigme complet en ce qui concerne le rôle de la société, le rôle de la médecine, et le rôle de l’État. Jusqu’à maintenant, ces trois entités étaient censées aider l’humain à vivre. Là, elles vont l’aider à mourir. C’est loin d’être anodin.

Tags : belgiquecedheuthanasieloi sur l'euthanasie
Article précédent

La guerre à sept ans

Article suivant

Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I

Michaël Sens

Michaël Sens

Michaël Sens est le pseudonyme d'un auteur à la célébrité modérée, chroniqueur dans plusieurs magazines, adepte pour Rebelle(s) de l'écriture pamphlétaire modérée, un style créé ad hoc, grand pourfendeur de pas grand chose, grand promoteur de la raison quand elle n'est pas d'Etat, et amoureux des libertés publiques.

Article suivant
La génèse la création dAdam Glam Rock I

Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?