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La guerre à sept ans

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
2 octobre 2022
dans Littéraire(s)
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Départ du drapeau du 266ème Régiment d’Infanterie en août 1914 © Wikimedia –

Les souvenirs de la guerre de 1914-18 sont devenus rares et précieux. Le texte qui suit est extrait d’un récit signé Jean-Pierre Maxence qui évoque le temps de la déclaration du premier conflit mondial en France. En guise de « nouvelle », ces quelques pages nous ont semblé peuplées d’Histoire et de talent paternel, il est vrai. Elles sont dédiées à la mémoire de Charles Péguy, Alain Fournier, Ernest Psichari, Paul Drouot, André du Fresnois et Émile Clermont…

Je savais lire et je voulais voir. Arrivé juste contre le mur une main se posa sur ma tête, c’était Rongard un peu courbé sur son bâton. Il eût vers moi un long regard, puis à voix haute, légèrement tremblée, comme s’il déchiff rait un papier de famille retrouvé au fond d’un tiroir et qui fait surgir des souvenirs vieux comme la vie, il prononça : Ordre de mobilisation générale. Par décret du Président de la République, la mobilisation des armées de terre et de mer est ordonnée, ainsi que la réquisition des animaux, voitures et harnais nécessaires au complément de ces armées. / Le premier jour de la mobilisation est le dimanche deux août 1914. Tout Français soumis aux obligations militaires doit, sous peine d’être puni avec toute la rigueur des lois, obéir aux prescriptions du Fascicule de mobilisation (pages coloriées placées dans son livret). Sont visés par le présent ordre tous les hommes non présents sous les drapeaux et appartenant: 1er A l’armée de terre, y compris les troupes coloniales et les hommes des services auxiliaires; 2e A l’armée de mer, y compris les inscrits maritimes et les armuriers de la marine. Les autorités civiles et militaires sont responsables de l’exécution du présent décret.

Le dernier mot, Rengard le dit d’un ton plus ferme, comme s’il voulait calmer un peu les dizaines de femmes pressées contre nous et qui, pour la centième fois, peutêtre, lisaient, entendaient lire, se répétaient l’ordre tragique. Derrière nous, le groupe se fendit, instinctivement nous nous séparâmes pour faire place. C’était le curé de Coisy descendu en hâte vers Bertangles pour demeurer avec son troupeau ce jour-là. Il était jeune encore, très blond dans sa soutane maculée. À chaque mouvement son rabat claquait. Tous se taisaient. Le dos appuyé à l’affiche, la cachant presque, il regarda les paysans. Une brève lueur d’hésitation parcourut ses yeux: puis d’une voix forte: «Mes Frères, nous allons réciter ensemble un Notre Père pour ceux qui partiront ce soir.

De toute la prière, je n’avais pas prononcé une seule parole. J’étais porté par ce murmure, exalté et bercé par lui; aux implorations du village je mêlais mes désirs secrets, je me sentais une pauvre chose parmi ces gens dont la douleur m’humiliait. Le creux de ma poitrine brûlait et j’avais envie de crier et de pleurer tout à la fois. Dans ces visages, hier étrangers et quelconques, je devinais je ne sais quoi de fraternel et de suppliant.

Les hommes restaient graves, sans une larme, sans un mouvement, la bouche pincée, les traits durcis, les joues livides ou en feu. Les femmes étaient pâles, prostrées, secouées de brefs frissons. Les paysans étaient venus dans leur costume de travail, surpris par la tragique nouvelle qu’on se transmettait de porte en porte. Le maire portait un sarreau troué, Zénoble avait ses plus belles chaussures, le vent plaquait un peignoir flottant sur la ligne oscillante d’un corps. Ils parlaient peu, s’étreignaient les mains rapidement, semblaient craindre de se regarder de peur d’accroître l’angoisse d’autrui de celle que révélaient leurs yeux.

C’est la guerre

Peu à peu les gens s’en allèrent. Comme ils s’éloignaient de la place, le ton de leurs propos s’élevait. Claudia la folle criait dans un groupe: «C’est la guerre», de façon si drôle, si imprévue, qu’on en riait. La vieille Julie, plus ratatinée que jamais, tenait ses deux gars par la taille en répétant:
— mes fieux! Mes fieux!… inlassablement.
— Viens, nous rentrons…
C’était maman qui me saisissait par la main et m’entraînait d’un pas fiévreux. Au tournant, je voulus cueillir des bleuets dans un champ de blé pour les rapporter à Manlie. Elle me gronda:
— Allons, viens vite, nous sommes pressés !
Je ne savais guère par quoi !

À la maison, personne encore n’était revenu et maman monta dans sa chambre sans m’adresser une parole. Pris d’un subit besoin de caresses je me dirigeai vers l’étable et m’agenouillait dans la paille chaude auprès de ma chèvre, je couvris son poil de baisers. L’affolement des gens du village, ma propre angoisse, le départ des hommes, mes amis, rien désormais ne comptait plus. J’étais un peu las, mais cette petite bête docile, toute frémissante dans mes mains, m’arrachait aux soucis présents. À sentir ma joue contre son col, je possédais toute la joie du monde! Compagne muette, de la savoir indifférente, perdue dans un monde mystérieux dont les mouvements m’échappaient, j’éprouvais une sécurité sans mélange, une paix toute neuve qui me délivrait.

Ceux qui partent et ceux qui restent

Non, ce jour-là, ce lundi torride, accablant, du 3 août 1914, impossible de vivre seul et de tenir des yeux d’enfant fixés sur d’autres horizons que la lourde peine des hommes! (…/…) Suzy ?… Les fées ?
De ce monde fantomatique et délicieux qui plane aux confins du sommeil, rien qui put compter désormais et m’assurer d’une espérance. Tout un pauvre bonheur violé, l’humble joie de manger et de vivre ensemble arrachée, un vide béant, creusé soudain au fond des poitrines, rappelait le changement tragique. Ces choses communes, dont on ne savait plus la douceur à force d’en jouir tous les jours; le toit, la lumière, le travail – tout cela révélait son prix et déjà nous abandonnait aux regrets.Ainsi, peut-être, ce 3 août 1914, des milliers d’enfants, surpris en plein jeu par les cloches, ont vu s’éloigner leur enfance, ont senti qu’ils participaient aux tribulations implacables d’un peuple attaché à une terre.

Maman apparut au perron, un cerne noir sous des yeux rougis. Alors seulement au contact de sa souffrance je m’aperçus que je l’aimais mieux, d’un autre amour plus décidé, plus pénétrant, et qu’avec cet amour nouveau un don inconnu m’était fait.
Le dernier repas: apparemment rien de changé! Six hommes, trois femmes autour d’une table couverte d’une toile cirée jaunie. (…/…) On épuisait les vieux sujets, les lieux communs, les bêtes, la chaleur, on évoquait rapidement toute chose, d’un ton qu’on voulait dégagé, mais qui, parfois, s’embarrassait, mettant à nu une anxiété. Ce mot qui planait au-dessus de nous, que chacun prononçait en soi-même, cette présence qui nous oppressait, qui donc l’abattrait sur la table d’une voix sans feinte, dépouillée?
— À quelle heure partez-vous, Gaston? demanda Manlie, sans se rendre compte que cette seule parole nous libérait.
— Je pars avec Charles à trois heures puisque tout est prêt, répondit-il.
À trois heures, dans 180 minutes ! Chacun se taisait. Rengard baissait la tête, tellement que sa barbe essuyait son assiette. Camille, dont les yeux ne cillaient plus, semblait figée dans une syncope indéfinie. Le moindre bruit de vaisselle heurtée, un verre qu’on posait sur la table, le sourd mouvement des mâchoires se détachaient comme des paroles. Maman retenait aux bords des lèvres des mots plus tristes que des larmes. Comme une main qui serre à la gorge, un brusque fou rire me saisit. Il éclata tel un cri rauque entre quatre murs inhabités. J’eus peur moi-même de mon rire; d’une peur d’enfant devant un mort. Là, sous mes yeux, ils mangeaient toujours, comme si de manger pouvait calmer leur angoisse. D’un ton mauvais, qu’il n’avait encore jamais eu, Gaston lança, la main crispée:
— Tais-toi, petit! (…/…) Papa est parti à trois heures, tu sais, Jean, il faut y penser !

Comme j’étais petit devant lui, balbutiant et soudain timide. Il vint vers moi, plaça sa main sur mon épaule et nous marchâmes jusqu’à la route, les yeux à terre, sans une parole. Au carrefour il dit: au revoir et me laissa seul.
Je m’aperçus que je pleurais.

Jean Maxence

Extrait de La guerre à sept ans
(Librairie de La Revue Française, Alexis Redier, éditeur, 1932)

Tags : Jean-Luc MaxenceJean-Pierre Maxencemémoiresmobilisation généralepremière guerre mondiale
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Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

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